Rollywoodland – Dark fate for judgement day
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Ici Chris Metalfreak, si vous lisez cette chronique, vous êtes la résistance !
Et si vous voulez que je vous dise ce que j’en pense ? No problemo !
Griffon – De Republica
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9.75/10
“Le comble du poète c’est d’être inspiré sans pour autant avoir de muse !” Fabien Blanchot
Attention ! L’alarme de la désobligeance et de la désobéissance va retentir ! On nous reproche souvent à nous, chroniqueurs, de manquer parfois d’objectivité dans nos chroniques et dans nos choix de chroniques. Récemment, entaché d’un léger scandale (à l’échelle infime d’un réseau social bien connu) qui a vu un chroniqueur d’un certain webzine copier tout simplement les lignes d’un précédent report de concert, les webzines sont pointés du doigt pour également le manque d’objectivité.
Dirty Fonzy – Full Speed Ahead
Note du SoilChroniqueur (Fast Freddy) : 8,5/10
Originaires du Tarn, dont ils sont fiers pour l’authenticité et le terroir, les Dirty Fonzy approchent les deux décennies d’existence, rien que ça ! Bientôt vingt ans à bourlinguer à travers un punk rock brut et enragé, à arpenter les scènes, à se relancer au gré des changements de line-up, à faire suer des hordes de keupons dans des pogos survoltés dans les pits et à ravir nos esgourdes à travers nombres de galettes qui viennent jalonner un parcours bien rempli !
Inexistence – Metamorphosis
Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10
D’habitude, je ne poste que des chroniques ayant trait au metal, hard rock et rock. Cependant, parfois, je fais exception, surtout quand il s’agit du groupe Inexistence qui donne dans le Darkwave / Dark Synth. Aux manettes, un seul homme en la personne de Psycho, guitariste et compositeur au sein du groupe de Black Metal Suicidal Madness.
Sycomore – Antisweet
Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 8/10
Il y a des styles qui ne font pas de bruit (sauf quand on les écoute, haha !), des genres qui continuent d’exister par le biais de passionnés comme pour le sludge/stoner. Certains groupes les font exister en mode pur et dur et d’autres, tel que les Français de Sycomore, formation originaire d’Amiens, s’amusent à en briser les codes pour en faire autre chose.
Necrowretch – Swords of Dajjal
Note de la SoilChroniqueuse (Musta) : 8,5/10
Il était temps que je sorte de ma zone de confort, moi qui fais surtout du live report, pour me mettre enfin à la chronique d’albums. Et quel plaisir de démarrer l’aventure avec l’excellent groupe de Black / Death metal français Necrowretch dont je suis une grande fan.
L’annonce de leur nouvel album “Swords Of Dajjal” m’a immédiatement poussée à le chroniquer.
Heads Up – The way of the cure
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Pfiouuuu, putain, ça décoiffe !
Il y a trente ans de ça, on pouvait se secouer la crinière – ou la crête – sur des musiques overspeedées, d’une simplicité qui n’avaient d’égal que leur simplicité et qui étaient bien souvent les bandes originales de films pour (post) adolescents.
Ah ça, à l’époque, du NOFX, Sum 41, Green Day, Blink-182, The Offspring et tous ces descendants directs des Ramones ou Bad Religion version moderne et passés en 45 tours, on en a bouffé par paquets de douze.
Eve’s Bite – Blessed in Hell
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Put**n, si quiconque m’avait dit un jour que Saint-Etienne était aussi proche de Los Angeles, je l’aurais sans doute invité à se faire interner directement sans passer par la case psy.
Et quand, en plus, on se retrouve à écouter pendant douze titres non stop un véritable voyage tant dans le temps que vers le Sunset Boulevard, on a des doutes quant à l’origine des quatre gaillards qui forment Eve’s Bite.
Non, ces mecs viennent bien du Forez et ce “Blessed in Hell” sort bien en 2024.
Prypiat – A Lifeless World
Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10
Le metal, même si ces dernières années n’a pas accouché d’un nouveau style novateur, continue pourtant à se mélanger, entre différents styles, à muter, se transformer dans des accouplements musicaux, parfois étranges ou improbables, chacun cherchant à se démarquer de l’autre… tout en s’y appuyant.
Inerte – S/C…
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9.5/10
“En science comme ailleurs, l’inertie intellectuelle, la mode, le poids des institutions et l’autoritarisme sont toujours à craindre.” Hubert Reeves
Il n’y a pas longtemps, j’ai été personnellement confronté au cas de figure du groupe qui se voit fermer des portes chez les labels parce qu’il ne propose pas de perspective de concert. Alors, j’avoue avoir eu beaucoup de mal à comprendre cet argumentaire que je trouvais de prime abord fallacieux, puisqu’à mon sens les contre-exemples existent comme Abduction ou Angellore, et que ces formations, parmi tant d’autres évidemment, n’ont jamais eu besoin de faire des concerts pour vendre leurs marchandises. J’avoue que si le manque de visibilité qu’offre la scène peut éventuellement être un frein, il n’en demeure pas moins que si le groupe voit sa musique appréciée (cela va de soi) et s’il fait le minimum syndical en matière de communication, je ne vois pas en quoi c’est un problème pour les labels. Alors, on m’a sorti que les groupes se reposaient trop sur les lauriers et laissaient faire tout le boulot de communication aux labels. Certes ! Mais est-ce pour autant une excuse recevable ?