Necro Weasel – Isolated and Incompetent
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Déjà ?
On n’aura pas attendu longtemps la suite des premières aventures de Necro Weasel.
Niveau productivité, ils font forts, chez les Finlandais…
Entre l’album 2020 sorti le 20 décembre dernier, l’EP 2 sorti huit jours plus tard, voilà déjà un nouvel EP, même pas un mois après, Isolated and Incompetent !
Faut-il qu’ils s’emmerdent ferme, du côté de Tampere !
Hate Forest – Hour of the Centaur
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 9/10
Roman Saenko a beau être une légende du black metal ukrainien, force m’est d’admettre que ça fait belle lurette qu’un album de Drudkh ne m’a pas séduit, restant encore et toujours accroché à Blood in Our Wells. Pourtant, après m’être mangé la claque infligée par Precambrian, une autre de ses formations, via l’album Tectonics paru en 2020, je me suis tout à coup rappelé que le mec était aussi derrière Hate Forest, dont j’avais des souvenirs cuisants bien qu’anciens.
Camera Obscura Two – D.Ö.D.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
C’est que ça faisait un moment que ça lui trottait dans la tête, ce projet, au bassiste Alberto Penzin (ex-Schizo) : c’est en 2007 qu’il a conçu ce projet musical mais ce n’est qu’en 2010 que ça a pris forme, lorsqu’un certain Giulio GTB (Cripple Bastards) est venu le rejoindre pour pousser de bonnes varies gueulantes dont il a le secret, suivi de près par un deuxième bassiste en la personne d’Andrea Ragusa (ex-I Will Kill You) en 2011.
Colossus – Degenesis
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
Outre le fait que le catalogue de Comatose Music fleure bon le sang frais, mon attention a surtout été retenue par le fait que Colossus a dans ses rangs Von Young, de l’excellent Lividity. Ses comparses n’étant pas non plus des manches et ayant trainé dans de nombreuses formations aussi underground que méritantes, il ne m’en fallait pas plus pour écouter Degenesis, premier album de la formation.
Beloved Enemy – Another Side
Note du SoilChroniqueur (Eireen Dole) : 9/10
Né en 2007, le groupe allemand de gothique sombre Beloved Enemy revient après sept années d’absence.
Avec un nouvel EP intitulé Another Side .
Abiotic – Ikigai
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
J’ai découvert les américains d’Abiotic en 2012 lors de la sortie de leur premier album Symbiosis directement chez Metal Blade Records. Normalement, le deathcore, ce n’est pas trop mon truc mais j’avais tout de même été séduit par la brutalité et la technicité de l’ensemble, sans pour autant en faire un disque exceptionnel. En gros : du boulot honnête.
Furious Trauma – Decade at War
Note du SoilChroniqueur (Jaymz) : 6,5/10
Amateurs de thrash à l’ancienne, cet album est pour vous !
Furious Trauma est loin d’être le plus connu des groupes de thrash, mais formé en 1988 au Danemark, par Lars Schmidt (basse et chant) toujours aux manettes et Klaus Jansen, les danois sortiront trois solides albums dans les années 1990 avant un break de 15 ans et l’envie du désormais vétéran Lars de se remettre à composer.
Hellrock – This is Metal
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Purée, ça fait plaisir !
Oui, ça fait un putain de plaisir d’entendre un groupe capable de nous faire autant ressentir son amour du ‘pur’ heavy metal, celui de la première moitié des années 80, quand le genre est passé du balbutiement à quelque chose de non seulement crédible, mais aussi pérenne !
Insidious Disease – After Death
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8/10
Avec des membres ayant appartenu ou appartenant à des formations comme Napalm Death, Morgoth, Malevolent Creation, Nile, Dimmu Borgir, ou encore Susperia, Insidious Disease sort cet fin octobre leur deuxième album, After Death, dix ans après un Shadowcast en demie teinte. Les défauts de ce dernier très certainement pris en compte et avec un CV qui envoie toujours autant du lourd, on est en mesure de se demander si cette fois-ci on aura droit au must du must.
SuidAkrA – Lupine Essence
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9/10
« Ultra-nostalgie : Nostalgie du passé immédiat : « Merde, ça allait tout de même mieux la semaine dernière. » Douglas Coupland
En ce moment, si les labels étaient personnifiés par une seule entité morphologique, de préférence humanoïde, je les verrais bien comme des gentlemen gracieux, avec de beaux costards, les cheveux gominés, l’air fier et le port altier, en train de fumer une sorte de gros cigare bien baveux.