
Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 8,5/10
Wire Edge : quatuor Parisien fondé dans la première décennie des années 2000 : si le groupe puise son inspiration entre le heavy et la cold wave, il est inspiré par des groupes tels que Mastodon, Tool et la scène alternative des années 90.
On va découvrir ici le premier album du combo parisien Workhorse Empire : dix titres empreints d’émotion et de technique.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7/10
Un peu d’originalité ne peut pas vous faire du mal.
Lecks Inc est un one man band français formé en 2009 et qui nous revient avec un quatrième album montrant un virage complet de style.
Le groupe a trouvé l’interrupteur et allumé la lumière.
Avec Lecks INc on se souvenait de E.G.O. qui était très Métal Extrême et très sombre. Avec ce nouvel opus A.L.I.E.N le groupe s’oriente dans l’industriel avec des sons plus modernes et bien plus étranges.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
Vous avez dit underground ?
Originellement un one-man-band crée par le Philippin Zachariah sous le nom de Zamora de 1991 à 1995, Kratornas a vu arrive, en 2016, le batteur GB Guzzarin pour le seconder !
Underground parce que le gaillard a certes sorti trois albums (Over The Fourth Part of The Earth)en 2007, “The corroding age of wounds” en 2009 et Devoured by Damnation en 2016) au milieu de sept demos, quatre splits, deux EP, trois compilations et un single !
Ce Pestilence est donc la huitième démo pour Kratornas… mais propose trois titres enregistrés en 2007 et qui ont fini sur le deuxième album de 2009.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8.5/10
« Le loup mange de toute chair, excepté de la sienne. » (Proverbe basque)
J’aime la symbolique du loup, tout comme beaucoup d’autres symboliques animalistes dans les cultes païens, ou modernes (encore que les deux peuvent être de concert). Ayant fait la chronique, il y a peu, d’un groupe au nom évocateur (Sainte-Marie des Loups), je m’étais mis à refaire des recherches sur cet animal que j’admire, et qui est trop souvent détrôné par certains lobbyistes. Vous avez deviné de quoi je cause évidemment. Vous connaissez probablement depuis le temps mon lien spirituel avec les cultes nordiques, mais étrangement, le sens philosophique du loup que je préfère a toujours été grec. Les Grecs faisaient un lien sincère entre le dieu Apollon, symbolique de la Lumière dans toutes ces définitions, et le loup car ce dernier était fils de Leto, transformée en louve par Zeus. D’où le surnom de « Apollon lycien » que donnaient les Grecs.
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Note du SoilChroniqueur (STRÖM) : 8/10
Aujourd’hui je vous propose des artisans australiens, des travailleurs, des passionnés. Bien que présents depuis plus de dix ans, le groupe fait tout pour parvenir à la formule qui lui permettra de ravir au mieux nos oreilles, et il semble qu’il soit parvenu à un degré de qualité que je qualifierais de remarquable. Cet album est très bon, et les amateurs de Dimmu et Cradle devront se pencher sur leur cas, la chanteuse Mel rappelant parfois Dani Filth.
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Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 6.5/10
« Les corsaires des uns sont les pirates des autres. » Armand Robichaud
Vous connaissez cet effet de mode qui consiste à assimiler un groupe qui essaye tant bien que mal de sortir du lot avec un groupe déjà ultra connu et parfois, ultra décrié ? Eh bien, aujourd’hui, je vais m’évertuer à faire… Tout le contraire !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
La belle petite autoproduction que voilà !
Devastruction, sorte de compromis tant nominatif que musical de Destruction et Devastation, est formé à Dortmund en 2011 sous le nom d’Incivism (et sortira deux démos sous ce nom) avant d’en changer en 2016. C’est l’année suivante que sortira un EP Alien thrash force attack, déjà en autoproduction, sur lequel figura le titre “Thrashers from out of space” composé lors des années Incivism et présent sur la deuxième démo Stay Thrash (2013).
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Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 6/10
« Tout ce qui est fait dans le présent affecte l’avenir en conséquence, et le passé par rédemption. » Paulo Coelho
Pour cette nouvelle chronique, j’ai fait le choix de ne pas tomber dans le cliché éternel de la rédemption chrétienne. Donc, en prenant une citation de Paulo Coelho, j’honore d’une part, ma femme qui adore cet auteur et, d’autre part, parce qu’il y a des clichés qu’il serait bon, au 21ème siècle, de commencer à déchirer… La rédemption est (trop) souvent associée aux égrégores catholiques, les plus puissants du monde justement parce qu’on leur accorde trop de place.
Naïvement, je pensais qu’en prenant le groupe lorrain Redemption, je casserais enfin un peu ces dogmes désuets qui nous inondent de mensonges. Il n’en est rien, mais vous saurez pourquoi plus loin.

Note du SoilChroniqueur (STRÖM) : 7 /10
Voici un album qu’il est important de chroniquer bien qu’il soit sorti depuis quelques mois. En effet, l’ambition derrière ce projet indépendant me fait dire qu’il ressortira peut-être bientôt sur un label, ou que le second album sera, lui, propulsé sur le devant de la scène par une grosse écurie.
Né d’une collaboration internationale entre des musiciens d’origine différente, dont l’Egypte, le concept derrière cet album est lié à l’union de tous les peuples, rien de vraiment original je vous l’accorde.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9/10
Formé en 2015 et originaire de Syracuse, ville américaine située dans l’État de New York, Ecliptic Vision sort l’année suivante un premier album, Dissimilar Dimensions, puis enchaîne avec Omphalos of the Void, un EP paru en 2017. Ce début juillet voit l’arrivée de leur second album, au titre homonyme, et toujours pas signé, ce qui n’a pas l’air de les préoccuper !
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