Corvius – Signals
Edit 15 mars 2024 : Un album, deux avis !!!
Note du SoilChroniqueur (Jaymz) : 6,5/10
Note de la SoilChroniqueuse (Miss Chrys) : 9/10
Corpus Diavolis – Elixiria Ekstasis
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8.75/10
“Un petit trot est une cure contre nos démons.” Benjamin Disraeli
On n’en parle pas beaucoup dans le milieu du metal, mais il y a dans le procédé du blasphème qui est promulgué un peu partout, tous genres compris, et qui met à l’honneur de manière toutefois un peu plus discrète selon l’horizon dans lequel on se situe, la sexualité. Mais la sexualité qui ne va pas dans les sentiers de la douceur et de l’amour. Il est question de passion, de folie et d’appétit féroce pour la chair.
Salò – L’Appel du Néant
Note du SoilChroniqueur (Fast Freddy) : 9/10
La sortie d’un premier album est toujours un moment particulier, elle permet de marquer le point de départ, l’origine et l’âme d’un groupe. Dans tous les registres musicaux, on a tous à l’esprit pour nombre de formations, le premier album qui nous a secoué, bouleversé ou encore sonné comme une révélation, là où d’autres ne nous ont pas donné l’envie d’y revenir !
Fifty One – Love / Hate
Note de la SoilChroniqueuse (Eireen Dole) : 7/10
Formé en 2015, le groupe Fifty One est originaire de Tarbes, en France.
Il s’inspire principalement de la culture Californienne punk rock style Green Day, Blink-182, etc…
Merrimack – Of Grace and Gravity
Note du SoilChroniqueur (Fast Freddy) : 8,5/10
Voilà maintenant trente ans que Merrimack, combo parisien de black metal, sévit et répand sa musique malsaine sur les pauvres mortels que nous sommes ; fort de cinq albums, d’un EP et de quelques splits, le groupe, dont seul Perversifier figure au rand des membres originels, a fait fi des changements de line-up survenant au gré du temps et poursuit sa route en nous offrant un nouvel opus intitulé « Of Grace and Gravity ».
Mars Red Sky – Dawn of the dusk
Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10
Permettez que je vous parle de Mars Red Sky, un groupe de stoner rock psychédélique français fondé en 2007 à Bordeaux.
À leur actif déjà cinq albums dont le dernier paru en 2023, « Dawn of the dusk » a reçu de bonnes critiques, d’où mon envie d’en faire une chronique.
Effectivement, ce trio a su faire sa place dans un genre qui est quand même assez underground, pour en faire quelque chose d’assez personnel.
Explications.
Vociferian – L’os qui germe
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8.5/10
« Les loups dévorent les agneaux. La douleur est tout ce que le faible peut opposer à la volonté. L’espoir de susciter sa pitié. » Fabrice Colin
Dirty Black Summer – Gospel Of Your Sins
Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10
Sorti fin 2023, voici le premier « vrai » album du groupe français Dirty Black Summer qui a pour nom « Gospel Of Your Sins ». Au menu de ce tout jeune groupe, né lors du confinement, un mélange des genres entre son grungy, rock alternatif des 90’ et quelque chose de noir, de « traînant », d’assez proche du dark, voire légèrement de Black ou venant d’un stoner un peu « plaintif ».
Après, quand je dis « jeune groupe », ses membres sont des musiciens confirmés venant de groupes tels que Svart Crown.
Une musique où l’on peut penser, par petites touches, à des groupes comme les Deftones, Alice In Chains.
Anthares – After the war
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Pour sa deuxième vie, on ne peut pas dire que les Bretons d’Anthares ne prennent pas les choses au sérieux !
Une première partie de carrière entre 1996 et 2001, pendant laquelle ont été enregistrés une demo éponyme en 1997 et un premier album “Pro Memoria” deux ans après avant de splitter, puis une reformation en 2013 avec, à la clé, un EP (“2 my last breath”) en 2014, un deuxième album “Addicted to chaos” (2019) et enfin cet “After the war” qui s’annonce d’ores et déjà comme le cassage de nuque de cette fin d’hiver.
Anthropovore – Parthénogenèse
Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 8/10
Il y a plusieurs façons d’appréhender le black metal quand on est français.
Il y a peu, j’ai fait la chronique du groupe Abduction et de leur album « Toutes Blessent, la Dernière Tue ». Leur chant en français, leur démarche musicale, contribuent à dispenser une musique « éclairée », poétique, romantique.
Et me voilà face au nouveau méfait du groupe français Anthropovore, vous savez, ce combo composé de deux énergumènes, Stéphane Prados (guitares) et Simon Perrin (guitares, basse et chant) qui chantent, eux aussi, dans la langue de Molière, mais qui jouent, eux, d’un black plutôt old school, légèrement teinté de death, violent, mauvais comme une tique qui éructe sa haine de l’humanité.