
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9/10
« Il y a eu dans le monde autant de pestes que de guerres. Et pourtant pestes et guerres trouvent les gens toujours aussi dépourvus. » Albert Camus.
Faisons un petit bond en arrière si vous le voulez bien, du temps où la musique n’était pas ce qu’elle est aujourd’hui, où la musique métal n’était que le méandre futuriste inaccessible à cette époque. Nous sommes au temps des grands rois scandinaves, de Håkon VI très exactement. Oslo devient à ce moment-là un ville très puissante, qui atteindra même une apogée économique exceptionnelle pour l’époque. Puis vint l’année 1349 et l’arrivée de la Peste Noire qui causa son déclin aussi exponentiel que l’était sa puissance.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Cela avait peut-être commencé comme une grosse farce mais, six excellents albums plus tard, autant admettre que Cannabis Corpse est une formation à part entière et que son Death Metal, principalement influencé par les vieux Cannibal Corpse bien sûr, tient incroyablement bien la route.
Sans tout connaître sur le bout des doigts, j’avais adoré « Tube of the Resinated », l’avant-dernier « Left Hand Pass » frôlait la perfection, et c’est donc avec un plaisir non feint que l’on retrouve le trio américain pour onze nouvelles pièces de choix.
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Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8/10
On va commencer par le CV :
– Florent Mounier, tu situes ? Bien ! Actuel batteur de Cryptopsy, groupe de brutal death metal grind technique deathcore, j’en passe et des meilleurs. Juste… le gars il dépote sévère !
– Rune Eriksen, tu l’as aussi ? Ancien guitariste du groupe de black metal norvégien Mayhem, dans lequel il jouait sous le nom de Blasphemer, très bien, mais encore ? Mais encore guitariste pour Aura Noir, groupe de black / thrash metal, également norvégien. Pas mal, hein ?

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9.75/10
« J’essaie de vivre comme les dieux. Je rejette tout de ce monde…. L’honneur et la gloire, l’amour de soi-même, même la honte. Je ne me soucie que de la volonté des dieux. Ce n’est qu’alors que tout peut passer dans le monde, que les voix des dieux peuvent être entendues. Et puis leur esprit habite en moi, et je sens la capacité de guérir et de prophétie. Et prendre les péchés du monde… Sur moi-même. » – Harbard dans la série « Vikings« .
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 9/10
Quatre titres, seize minutes, les Espagnols de Wormed ont décidé de marquer leur retour avec un EP défiant la gravité, toujours chez Season of Mist.
Il faut dire que si l’on recherche le pendant européen d’Origin et Cryptopsy, le quatuor se pose en concurrent plus que sérieux.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Ça, concernant l’amour du black metal, du heavy metal… et de Bathory, il ne s’en cache pas, le père Abbath !
Inutile de revenir sur son ancien groupe, Immortal, qui perpétuait déjà à sa manière cette tradition mêlant black metal bien cru et heavy metal typiquement old school, ça a été maintes fois dit et répété, et autant en revenir à ce qui nous intéresse aujourd’hui, cet Outstrider qui arrive trois ans et demi après un album homonyme chroniqué en ces pages (ici), et, pour nos amis complotistes, un an après le Northern Chaos Gods de son ancien groupe qui, lui aussi, reste pour le coup ancré dans la même couleur (black, mais pas que) musicale…

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10
Je viens juste de finir d’écouter une première fois ce nouvel et onzième album des Belges d’Enthroned, groupe dont une des particularités est d’évoluer sous ce nom alors qu’il n’y a plus un seul membre originel, Nornagest(chant) faisant office de vétéran (depuis 1995) et de leader de la formation.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
J’avoue qu’en dépit de ses grandes qualités musicales, je suis resté assez éloigné de la discographie de 1349, étant resté sur l’aliénation mentale Revelations of the Black Flame (2009) qui laissait présager une orientation plus expérimentale au regard du précédent et excellent Hellfire (2005).
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Note du chroniqueur (Gibet) : 9,5/10.
« La vierge voilée de Strazza émerge du vide, teinte aux couleurs de la mélancolie et du rêve. Les yeux fermés, attendant Dieu, emprisonnée dans la douceur de son voile transparent, elle ne pense à rien. Tranquille, elle profite. Le silence… » semble nous dire cette (vraiment) magnifique pochette de Luca Pierro.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10.
Chronologie rapide des faits. 1 : écouter vite fait le dernier album de Misery Index et le trouver pas terrible. 2 : voir le groupe sur scène le 4 avril au Glazart en compagnie des excellentissimes Wormrot et rester soufflé par leur prestation dantesque. 3 : réécouter Rituals of Power pour bien sûr me rendre compte qu’il est en fait mortel et que ma première impression peut être balancée aussi sec aux chiottes.