
Note du Soilchoniqueur (Celtikwar) : 10/10
Vous n’arriverez même pas à imaginer à quel point c’est énorme.
Death Dealer est ce que l’on peut qualifier de Supergroupe, une formation réunissant les meilleurs noms possibles. Le légendaire guitariste Ross The Boss (sans doute le vrai créateur du heavy metal), le chanteur dévastateur Sean Peck que vous retrouvez dans Cage, The Three Tremors, etc., Mike Lepond qui a fait claquer ses cordes dans Symphony X, Stu Marshall de Night Legion et Dungeon et le cogneur de futs Steve Bolognese que vous retrouvez dans l’excellent Ross The Boss ou encore Into Eternity.
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Note du SoilChroniqueur (M.L.A.M.) : 7/10
Nightfear, quintette espagnol, vient ici nous présenter son troisième album « Apocalypse ». Il débarque dans les bacs cinq ans après « Drums of War ». Je dois avouer que je ne connaissais pas du tout et que ça fait du bien parfois de faire des découvertes intéressantes et c’est justement le cas ici – si vous êtes fan de Power Metal, ce groupe est pour vous…
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7/10
L’Italie pays riche en Power Metal Symphonique.
Cela fait longtemps que l’on n’avait pas entendu parler du combo Vision Divine, et pour cause pas de nouveauté depuis 2012 et un Destination Set To Nowhere qui avait bien porté son nom. Pourtant, ce groupe de qualité a sorti d’excellents albums dans ses débuts, dès Vision Divine en 1999 et, à cette époque, un album voyait le jour tous les deux ans.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Freddom Call kitsch ?
Freedom Call qui ne varie pas sa recette d’album en album ?
Freedom Call capable, album après album, de concourir pour la pochette la plus stéréotypée de la planète ?
Hep hep, tu ne crois pas que le quatuor de Nuremberg s’en bat les Erdnüsse à s’en faire des litres d’huile ?
Pour leur dixième album et pour fêter dignement leur vingt ans de carrière, les quatre artistes, à l’énergie positive assumée, n’ont rien trouvé de plus original que de nous coller un acrostiche avec les cinq lettres composant le mot “metal” avec en prime une pochette dont ils ont le secret.
Après tout, deux comptes ronds la même année, faut marquer le coup !

Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10
Entre mille et un projets musicaux, le multi-instrumentiste Tommy Johansson (guitariste de Sabaton) trouve toujours le temps et les bonnes idées pour composer un album de power metal.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 6/10
Un roi continue de se battre jusqu’au bout pour la défense de son royaume.
Rhapsody Of Fire est la formation tenue d’une main de fer dans un gant clouté par Alex Staropoli le claviériste qui, depuis le départ de Fabio Lione en 2016, essaye de préserver son titre de seigneur du power metal.
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Note du SoilChroniqueur (Ström) : 9/10.
Il y a maintenant plus de vingt ans que le jeune Martin Steene décidait de définitivement nommer son groupe Iron Fire, ce qui, je vous l’accorde, n’a aucun sens… Mais c’est tellement METAAAAL ! Car là est tout l’intérêt de ce groupe que j’affectionne tout particulièrement, sur lequel j’ai beuglé avec mes meilleurs amis, une bière à la main… C’est un groupe de passionnés, et surtout UN passionné, un Danois plus tout jeune maintenant qui aime le Metaaaaal, les vikings mais aussi et surtout les films d’horreur.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10.
Ils se moquent de tout ! Déjà rien que leur nom, pastiche à Manowar sur lequel ils ont rajouté “of Steel” pour se foutre de la gueule de leurs compatriotes de Rhapsody qui ont rajouté “of Fire” sur leur nom !
Non, ils ne respectent rien, tout est dérision, autodérision, délire total, mais avec un talent, tant individuel qu’en groupe, bien réel ! Parce que si les mecs ne se prennent pas au sérieux de la première à la dernière seconde de ce quatrième album après Others Bands play, Nanowar gay! (2005), Into gay Pride ride (2010) et A Knight at the Opera (2014), musicalement, c’est du lourd !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Alors ça, c’est bien une reformation pour le moins inattendue, de celles qu’on n’espérait plus ! Il faut dire qu’entre 1989, année du split, et 2017, on n’avait plus entendu parler de la formation américaine Fifth Angel hormis lors d’une brève reformation en 2010 pour le Keep it true Festival de Lauda-Koenigshoffen en Allemagne. C’est ensuite en 2017 que le groupe refait parler de lui pour un show à Seattle et il semblerait que ce dernier coup de kick les a redémarré pour de bon !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10.
Avec un album en moyenne tous les deux ans, les Teutons de Brainstorm reviennent avec une nouvelle galette et ce qu’il y a de remarquable avec le quintette d’Heidenheim, c’est qu’on sait d’avance à quoi s’attendre. Le Power Metal racé du groupe a son propre son, sa recette bien à lui, pour nous envoyer un lot de compositions efficaces et ce n’est pas avec ce douzième album que les choses vont changer.