by Metalfreak | Déc 19, 2025 | Chroniques
Note du SoilChroniqueur (Alain The Red) : 8/10
The Rods est un groupe de heavy metal originaire de Cortland, dans l’État de New York (États-Unis). Formé vers 1980 (certaines sources indiquent 1979) par David “Rock” Feinstein (guitare et chant), Steven Starmer (basse et chant) et Carl Canedy (batterie et chant), le trio impose rapidement sa marque.
Souvent comparés à un « Motörhead Américain » pour leur formation en power trio, leur simplicité et leur énergie brute, ils n’ont jamais connu un énorme succès grand public, mais ont su s’imposer dans les cercles du metal underground.
Pour les amateurs de metal old-school des années 80, leur discographie regorge de pépites trop souvent sous-estimées.
Après plusieurs années de silence, ils sont revenus sur le devant de la scène, comme le prouve ce dernier brûlot.
Le cerbère a toujours la rage et n’a pas dit son dernier mot.
Des morceaux comme « Make me a Believer » ou « Wild Dogs Unchained » donnent une furieuse envie de headbanguer.
Tracklist :
Eyes of a Dreamer (5:04)
Rock and Roll Forever (5:13)
Mirror Mirror (5:10)
Tears for the Innocent (6:22)
Wild Dogs Unchained (4:14)
Time to Rock (5:09)
Run Run Run (4:10)
World on Fire (6:48)
Make Me a Believer (4:52)
Hurricane (5:32)
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Chronique “Wild dogs”
Chronique “Let them eat metal”
Chronique “Heavier than Thou”
Chronique “Brotherhood of metal”
Chronique “Rattle the cage”
Chronique “Live at Rose Hall”
by Metalfreak | Nov 25, 2025 | Chroniques
Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 8/10
Fans de death qui vous agrippe le cervelet du premier coup, voici My Darkest Hate.
Arrivés sur la scène en 1998, ils ont sorti leurs quatre premiers albums entre 2001 et 2006. Ensuite, arrive « Anger Temple » en 2016 et puis… une décennie plus tard, ils réapparaissent avec « Rust and Bones », un nouveau méfait tout beau tout frais. Le genre de groupe avec une carrière en « pointillés », le seul membre original étant le guitariste Jörg M. Knittel, pour le reste du line up, il y a eu, vous vous en doutez, beaucoup de mouvements.
D’emblée ce qui frappe, c’est leur son genre « du gros rouge qui tache », à commencer par la voix de Claudio Enzler, un peu dans la veine d’un bûcheron très en colère. Et puis leur musique n’est pas faite pour les « midinettes ». « Rust », le morceau qui débute ce bal, se prend en pleine tête, compact, genre poutre de bois brut ; de plus son refrain heavy, basé sur trois-quatre accords simples, te fouille les tripes de suite sans plus te lâcher.
Riff thrashy à la sauce Legion Of The Damned quand déboule « Vengeance My Brother », morceau lui aussi possédant un refrain taillé dans le même bois que sur le titre précédent. Bref, il y a un côté heavy dans leur metal mort, tel ce « Deceiver », composition simple, guerrière… Mais pas que !
Prenez « Sinister Warfare », au tempo lent, distillant une ambiance mortifère, porté par un riffing serpentin et répétitif s’engouffrant ensuite dans du metal mort pur old shool avant de muter en mode « thrashy ». Ils varient le menu. Pour la petite histoire, on trouve en guest dans ce titre, un certain Dave Ingram de Benediction !
Blast beat et growl acide pour » Flammenland » » à grands coups de rythmiques sous tension. Martèlement de blast beat à l’écoute de « When the Abyss Opens », voire une vraie couleur death mélodique sur la composition de fin, à savoir « Our Legion, Our Pride ».
Il est clair, que ce ne sont pas de supers techniciens, ce qui n’est d’ailleurs pas leur propos. Seulement voilà : tout est bien en place, carré, réfléchi.
Comme quoi nul besoin d’en faire des tonnes pour marquer l’auditeur. Leur metal mort est d’une redoutable efficacité, malgré ses décharges « de gros sel » !
Bref, les amateurs d’un death à la Obituary devraient y trouver leur gamelle, avec un très léger soupçon dans l’état d’esprit de certains titres, d’un Debauchery.
Vous mordez l’esprit.
Perso, j’adore ce genre de démarche !
Tracklist :
Rust (3:17)
Vengeance My Brother (4:21)
Deceiver (3:07)
Sinister Warfare (3:50)
He Who Never Sleeps (4:22)
Flammenland (3:40)
King of Slaves (3:28)
From Ruins I Rise (4:12)
When the Abyss Opens (3:09)
Our Legion, Our Pride (4:47)
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by Metalfreak | Nov 14, 2025 | Chroniques
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
“Skull and crossbones, blood in sight
Burning sails light up the night
Skull and crossbones, piracy
They’re the tigers of the sea” (Stormwitch, “Skull and crossbones”, album « Walpurgis night » – 1984 –)
On n’aura pas attendu longtemps une suite à l’excellent “Sungazer”, premier album des Allemands de Skull & Crossbones, comprenant, rappelons le, quatre anciens membres de Stormwitch.
Plus que trois, désormais, dans la mesure où le batteur Marc Oppold (Tyrant) est parti, remplacé en 2024 par Bernd Heining (Goblins Blade, Parhelyon, Subway, ex-Balda Beast, ex-Saidian, ex-Sharon, ex-X-Ray, ex-Ivanhoe…).
Et là, le quintet nous offre une nouvelle bombe de heavy (power) metal à classer entre les meilleures productions d’Helloween et de… Stormwitch.
En même temps, avec un nom pareil et avec des membres issus de Stormwitch, il y avait des chances qu’il y ait quelques nostalgies.
Celà dit, ce nouvel album de Skull & Crossbones confirme tout le bien qu’on a pu penser d’eux lorsqu’ils nous ont proposé l’excellent “Sungazer” en 2023.
Dix nouveaux titres, presque 50 minutes de musique, le tout au service d’un heavy metal puissant, aux titres très accrocheurs et aux refrains imparables : on adhère de suite, dès la première écoute.
“Echoes of eternity” déboule sans crier gare : gros riffs puissants pour un speed metal décoiffant ! Clairement, on nage dans les eaux d’un excellent Helloween ! Chant aigu, riffs massifs, couplets / refrain imparable, solo démentiel : si on est dans des sentiers bien balisés, il faut reconnaitre que l’entrée en matière est réussie et fera mouche en concert.
“Labyrinth of time” est plus heavy, au mid tempo incendiaire mais on reste sur la même recette ! Et, autant spoiler l’affaire de suite, tous les titres sont du même tonneau, et réussis !
Tout au long de l’album, on pense tant à Helloween qu’à Stormwitch (on le saura…) mais aussi à Blind Guardian, Judas Priest, Iron Maiden voire au Queensrÿche de la grande époque.
On ne peut que saluer la qualité des musiciens et de la production : tout est millimétré et efficace.
Et les morceaux de bravoure ne manquent pas : que ce soient les compositions les plus nerveuses (l’intense “Echoes of eternity”, “Time thief”, “The price”, “Thunderstorm”, “Passing hours”, “Eye of wisdom”, “The ocean’s call”), les titres plus heavy (“Labyrinth of time”, le poignant “The illusionist” à l’intro très Stormwitch) ou le plus intimiste “Nocturnal dreams”, tous ont cmme dénominateur commun d’être facilement memorisable et diablement efficaces.
Et que dire de certains refrains absolument divins (“The price”, “Thunderstorm” et surtout le très Helloween “Passing hours” en tête), à rechanter en chœur pendant les concerts ?
Bref, Skull & Crossbones nous offre un des albums de heavy / power metal les plus savoureux de cet automne : énergie positive et bonne humeur communicative en prime !
Tracklist :
Echoes of Eternity (5:00)
Labyrinth of Time (5:05)
Time Thief (4:59)
The Illusionist (5:07)
The Price (3:59)
Thunderstorm (5:16)
Passing Hours (6:14)
Eye of Wisdom (4:45)
Nocturnal Dreams (4:22)
The Ocean’s Call (4:11)
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Chronique “Sungazer”
by Metalfreak | Oct 10, 2025 | Chroniques
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Rholalalala, c’te vieux nom qui remet de suite des souvenirs d’il y a presque quarante ans !!! C’est que j’en ai bouffé, du Warrant, lors de mes années lycée, quand, avec une petite bande de potes chevelus, j’étais en recherche de speed metal ! Attention, je parle du Warrant Allemand, pas des peroxydés de Los Angeles qui nous balançaient du glam à la pelle. Non, ici, on parle de speed metal, celui qui prône la Deutsche Qualität à grand renfort de riffs rapides et saccadés et de rythmiques enlevées. Si l’histoire d’amour a commencé début 1985 avec l’EP “First strike”, qui m’avait bien scotché avec des “Ready to command” ou autre “Bang that head”, c’est bien avec l’album “The enforcer”, la même année, que j’avais pris une belle claque derrière la nuque, album qui m’a fasciné tant par ses titres bien plombés (“The rack” et son riff de malade, “Send ya to Hell”, “The enforcer”, “Die young” et “Torture in the tower” en tête) que par son artwork avec ce bourreau bodybuildé inquiétant !
Après ces deux pépites coup sur coup, le groupe splitte la même année ! Va comprendre… Ce n’est qu’en 1999 que le bassiste / chanteur Jörg Juraschek reformera le groupe avec le guitariste Oliver May qui restera jusqu’en 2011, et quelques batteurs passeront par là également. En 2014, c’est en trio avec le guitariste Dirk Preylowski (Raging Rob, ex-Human Bastard), le batteur Thomas Roseman et l’opiniâtre Jörg Juraschek que Warrant nous sort le très bon “Metal bridge” d’une quinzaine de titres comprenant, comme pour faire la jonction avec un passé qui ne peut être oublié, des réenregistrement de “The enforcer” et “Ordeal of death”. Les fans pouvaient enfin poser une oreille sur une heure de nouveau matériel ! Mais la vie de Warrant semble ne pas être un long fleuve tranquille : Jörg Juraschek, depuis, a complètement refondu le line up de Warrant et recrutera, en 2015, le guitariste Michael Dietz (Wicked Kemao, ex-Chimaera). C’est en 2022 que viendront le batteur Marius Lamm (ex-Aurora Falls Down) et le second guitariste Adrian Eric Weiss (Forces at Work, SubOrbital, ex-Gloryful, ex-Thought Sphere, ex-Ways of Desolation). C’est sous ce line up que sort aujourd’hui cet attendu “The speed of metal” !
Onze ans d’attente, quand même ! Et, quelque part, ça valait la peine d’attendre. Tant de changements et de péripéties n’auront pas entamé la passion du bassiste / chanteur, désormais seul membre originel, qui continue de perpétuer sa vision et partager son amour du metal rapide. Parce que, s’il y a un bien qu’une seule chose qui est moderne dans cet album, c’est bien sa production, aux petits oignons, qui met tant les instruments que le chant en valeur : enregistré et mixé par Martin Buchwalter aux Gernhart Studios (Troisdorf), puis masterisé par Michael Schwabe au Monoposto (Düsseldorf), cet album bénéficie d’un son monstrueux qui nous fait dire que si “The rack” avait eu un tel traitement, il aurait été encore plus explosif ! Également produit par Jörg Juraschek et préproduit par Norman Jonas, il est clair que le groupe n’a rien laissé au hasard. Et là, clairement, Warrant se replonge dans ses racines : bon vieil heavy metal, souvent en mode speed, avec un travail des guitaristes tant sur les riffs que sur les solos (quel plaisir à écouter sur “It’s up to you”) mais là où Warrant nous prend à contre-pied, c’est qu’il n’hésite pas à se faire quelques incursions dans le hard rock comme pour “It’s up to you” (initialement composé en 1988), mais aussi lors de la reprise de The Sweet, “Wind city”, que le chanteur tenait à chanter un jour !
Évidemment, Warrant sans son bourreau sur l’artwork n’aurait pas été Warrant ! Comme pour prouver que le groupe ne compte pas se trahir, l’artiste Gyula Havancsák (Accept, Tankard, Stratovarius, Pänzer, Grave Digger ou Destruction) et déjà responsable de la pochette de “Metal bridge” a une nouvelle fois retranscrit la férocité de ce fameux “Hooded man”.
D’entrée, l’album débute par une intro acoustique (“Blood Moon prelude”) comme pour rappeler son passé de 1985 : en effet, on a eu le même genre d’intro sur “The enforcer” avant que “The rack” n’explose tous les tympans qui passaient à proximité. Et ça ne loupe pas : “Cut into pieces” met de suite tout le monde d’accord : Warrant est en grande forme ! C’est puissant, nerveux, ça ouvre l’album tout en puissance. On ne demande rien d’autre qu’un nouveau brûlot purement speed metal. En dix titres pour trois quarts d’heure de furie, Warrant oscille entre le pur speed metal (“Cut into pieces”, “Demons”, “Falling down”, “Salvation”, “Regain the fire”, “Scream for metal”), plus mid tempo avec du heavy metal furieux (“Cry out” et ses chœurs entraînants) avec, comme dit plus haut, des incursions dans le hard rock (“Windy city”, “It’s up to you”) avec pour dénominateur commun une capacité à se montrer accrocheur dès la première écoute et un travail de sape des guitaristes purement hallucinant !
En clair, retour en force pour ce Warrant made in Germany et là, pour le coup, on espère vraiment que cet album est synonyme d’un début de nouvelle carrière des plus flamboyant. Cela ne sera que mérité !
Tracklist :
- Blood Moon Prelude (Instrumental) (1:07)
- Cut Into Pieces (5:41)
- Demons (4:07)
- Falling Down (4:15)
- Windy City (reprise The sweet) (7:46)
- Cry Out (6:02)
- Salvation (3:35)
- Regain the Fire (3:09)
- It’s Up to You (4:18)
- Scream for Metal (4:34)
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by Metalfreak | Sep 26, 2025 | Chroniques
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Alors seulement jeune adolescent en quête de sensations fortes musicalement parlant, je garde un souvenir assez fort de cette formation Allemande (Essen) qu’est Darkness. Il faut dire qu’avec, coup sur coup, deux albums bien féroces comme l’ont été “Death squad” (1987) et “Defenders of justice” (1988), j’avais de quoi satisfaire mes envies de thrash metal. A l’époque, ayant grandi à 500 mètres de la Suisse et moins d’un kilomètre de l’Allemagne, les radios locales, qu’elles émettaient depuis l’un comme l’autre de ces deux pays, nous offraient quelques émissions de metal pas piquées des hannetons, et même en France (à Saint-Louis avec Radio One et à Mulhouse avec Radio Bollwerk), on avait droit à notre dose hebdomadaire de metal ! Un luxe à l’époque. Ceux qui ont connu le temps où internet n’existait pas encore savent de quoi je parle. Hormis la presse spécialisée, il n’y avait que comme ça qu’on pouvait découvrir de nouveaux groupes. Une autre méthode était de squatter nos disquaires favoris et d’y passer les après-midi à découvrir. Le Bollwerk Disc de Mulhouse ou l’Atlantis Records de Bâle n’avaient aucun secret pour nous… jeunes kids de l’époque !
C’est grâce à une de ces émissions que j’ai découvert Darkness, avec le titre “Death squad” issu de l’album du même nom ! Et d’emblée, j’ai adoré, comme à peu près toute la scène Teutone très vivace à l’époque, répondant en la regardant droit dans les yeux à la scène Américaine, la Bay Area en tête.
A cette époque, je n’écoutais que très peu les démos, la haute autorité parentale ne goutant que très peu à l’idée d’envoyer de l’argent par courrier pour s’octroyer de cassettes au son parfois plus que douteux ! Il faut dire que, à force de tapetrader avec des appareils parfois bizarres, on obtenait d’excellentes cassettes de souffle… Il était juste dommage de percevoir un peu de musique dans ce brouhaha… Bref… Darkness, ça fait quand même quarante années que ça existe ! Et en quatre décennies, il s’en passe, des trucs ! Changements de nom (Destroyer, puis Darkness, puis Eure Erben, puis de nouveau Darkness), line up inconstant, changement d’orientation musicale, passant du pur thrash metal à un techno thrash plus alambiqué pour revenir aux racines, séparations, reformations… Non, la vie de Darkness n’a pas été un long fleuve tranquille. Quarante ans de carrière mais – seulement – six albums avant celui-ci, un live (“Bocholt live squad” en 2005) et deux EP… auxquels on peut rajouter un album et encore deux EP de l’époque Eure Erben. Mais quels albums ! Quasiment un sans faute : il n’y a guère que “Conclusion & revival” qui n’a pas eu de succès… Pourtant, avec le recul, il conviendrait de lui redonner une chance. J’avoue avoir fait partie de ceux qui l’ont rejeté, pensant que Darkness pouvait sempiternellement refaire du “Death squad” ou du “Defenders of justice” sans qu’on n’éprouve de lassitude. Mais bon, autre époque… bon nombre de groupe de thrash metal se sont tournés vers le techno thrash, pensant que pouvaient être Mekong Delta, Coroner voire Watchtower qui voulait. Darkness n’était pas le seul dans ce cas… Destruction, Deathrow, Living Death, Holy Moses ou à moindre mesure Kreator ont essayé de s’engouffrer dans le créneau, pour mieux revenir, pour certains, à leurs premières amours ensuite, les autres ayant sombré corps et âme !
Mais là, Darkness, depuis sa reformation en 2013, est revenue à un thrash metal des plus crus et des plus old school. Les trois albums “The gasoline solution” (2016), “First class violence” (2018) et “Blood o canvas” (2024), ainsi que l’EP “Over and out” (2020) en sont autant de preuves flagrantes. Et putain que ça fait du bien. Et histoire de fêter dignement ses quarante ans, se fend d’une sorte de compilation consistant à réenregistrer d’anciens titres en les combinant avec quelques nouveaux. Et c’est clair que, se prendre des titres issus des démos (“Victims”, “Iron force”) et d’autres des trois premiers albums (“Battle to the last”, “Death squad”, “Soldiers”, “Burial at sea”, “Defenders of justice” et “Predestined destiny”) avec le son actuel, ça décoiffe sévère ! L’instrumental “The gates” met d’entrée tout le monde d’accord et ensuite, c’est parti pour presque une heure d’une véritable leçon de thrash metal ! Certains titres sont d’une sauvagerie hors norme (“Death squad”, “Last round is on us”, le court “Victims”, “Iron force”, “Defenders of justice”), d’autres plus travaillés (“Burial at sea” qui monte en puissance, les sept minutes de “Predetermined destiny”) ou alors se cantonnent dans un thrash metal tout ce qu’il y a de plus classique et efficace (“Terror for terror”, “Battle to the last”, “Soldiers”, “Proud pariah”), mais chacun est un hommage vibrant à une scène thrash metal toujours aussi vivace.
Et putain que ça fait plaisir !!!! Happy thrashin’ birthday !
Tracklist :
- The Gates (Instrumental) (2:00)
- Terror for Terror (4:11)
- Battle to the last (6:14)
- Death Squad (3:15)
- Soldiers (4:22)
- Burial at Sea (6:10)
- Last Round Is on Us (4:00)
- Victims (2:32)
- Iron Force (3;18)
- Defenders of Justice (5:52)
- Predetermined Destiny (7:51)
- Proud Pariah (4:29)
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