Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Aaaah, les reissues, les mêmes, l’art de refaire du neuf avec de l’ancien… Parfois, jouer de la redite peut s’avérer catastrophique et les exemples sont légion. Combien de groupes ont maladroitement réenregistré d’anciens de leurs succès en espérant spéculer sur un passé glorieux ?

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9.5/10

“La connaissance des mots conduit à la connaissance des choses.” Platon

Le choix de la citation n’est pas anodin. Platon a été précurseur de bons nombres de principes philosophiques et sociétaux que l’on continue encore aujourd’hui de parfois citer en exemple. Cependant, cette citation montre que bien connaître ce dont on parle est la base d’une bonne compréhension de la réalité qui nous entoure. Je suis souvent curieux de comprendre pourquoi untel groupe utilise untel mot pour s’offrir une identité artistique.

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 8/10

Le black metal ! Pas mon univers préféré, étant plus accroc au death. Pourtant, ce style musical, vecteur d’émotions branchées sur la souffrance ou d’un certain mal-être, possède une particularité : il est parfois conduit, au lieu d’un groupe, par seulement un ou deux musiciens… Qui demandent à d’autres compères de venir participer.

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 8/10

Il y a des groupes doués, vraiment à part, talentueux, mais qui restent dans la confidence. C’est le cas de The Lord Weird Slough Feg, formation originaire de Pennsylvanie, née en 1990 et ayant à son actif une dizaine d’albums. Ce groupe est peu connu dans nos contrées et c’est dommage. Aussi, c’est avec le plaisir d’un guerrier voulant porter la bonne parole que j’écris cette chronique. Si je permets au moins à l’un d’entre vous de découvrir ces musiciens, j’en serais vraiment heureux.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Bon sang, les voilà de retour ! Le trio sicilien, Xenos, désormais nommé Xenos A.D., revient avec sa troisième petite tuerie intitulée “Reqviem for the oppressor” et, même si on attend la suite de “The dawn of Ares” depuis quatre ans, le temps ne les a pas calmés.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10

« Behold ! I am the lord Satan, the grand master of Hell I have come to bare witness to the information of those who disbelieve Succumb or feel my wrath as I release this Power From Hell !« 

C’était en 1985, j’avais à peine 15 ans, lors d’un tour chez mon disquaire habituel à Mulhouse à qui j’avais demandé de me faire écouter ce truc à la pochette qui me plaisait beaucoup. En vinyle, le CD n’existait pas encore… Et autant dire que sous le format 33 tours, l’artwork claquait encore mieux.

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10

Qu’ils soient connus ou faisant partie des « seconds couteaux », bon nombre de formations, après des années de silence, essayent de faire renaître leur « bébé ». C’est le cas du groupe anglais de thrash metal Toranaga qui, à la fin des années 80’, sortit deux albums ayant pour noms « Bastard Ballads » et « God’s Gift ». Le groupe se sépare et se reforme brièvement en 2010, pond un nouvel album « Righteous Retribution », puis de nouveau… arrête tout… pour recommencer en 2024, grâce à l’opiniâtreté du chanteur Mark Duffy.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9.25/10

“L’encre du savant est aussi précieuse que le sang du martyr.” Proverbe arabe

Récemment j’ai été interrogé sur une question cruciale sur la relation que j’entretiens avec la musique black metal. C’était une question volée, rien d’officiel, vous ne la verrez pas en interview. Mais comme il est vrai que j’entretiens un rapport très complexe avec ce type de musique que je ne pratique réellement pas depuis longtemps au chant par ailleurs, la question mérite d’être posée. Le black metal, pour moi, est actuellement le style de metal qui parle le mieux des sentiments enfouis, d’une manière globale.

Note du SoilChroniqueur (Ti-Rickou) : 4 pics/5

!!! Article également lisible >> ici << !!!

Et voilà, alors que j’ai clôturé mes sorties d’albums de mai depuis un bout de temps et que, comme tout le monde le sait, le thrash ce n’est pas mon style de prédilection (pour les trucs brutos à la maison, c’est plutôt à Madame qu’il faut s’adresser), je vais vous prouver que je ne suis pas non plus hermétique au genre. Non mais ! Donc, pour commencer, la pochette est fun (et de un !), ensuite, j’aime bien ce label (et de deux) et puis j’ai un bon feeling (et de trois). Le point culminant de ma petite démonstration personnelle, c’est : même pas peur !!

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 8/10

Le death old school se porte bien, c’est une évidence. Rien qu’en France, si on pouvait comptabiliser toutes les formations, connues ou non, officiant dans ce « noble art », on risquerait d’être surpris. Ceux-là se nomment Red Dead. Ils sont nés à Bayonne en l’an 2011 et l’album dont je voudrais vous parler, à savoir « Paths Across the Graves », est leur troisième méfait.