
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
FUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUNNNNNNNNNN !!!!!
Ou comment se prendre une bonne décharge bien violente bourrée d’énergie pendant à peine plus d’une demi-heure pour plus de vingt titres dont les seuls mots d’ordre sont “défonce”, “speed”, “rage”, “mosh”, “crossover”, “violence” et “headbanging”.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10.
L’avantage avec la musique contemporaine, c’est qu’à la différence de la littérature, par rapport au nombre de sorties enregistrées chaque année, il y a quand même une majorité de choses qui sont acceptables alors que l’on est noyé sous les auteurs inutiles qui n’ont rien d’autre à raconter que leur petit Moi étriqué et nombriliste.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Les chiens mordent toujours plus fort que leurs maîtres, les chats griffent toujours plus profond que leurs maîtresses, le jardin de mon oncle est toujours plus grand que le chapeau de ma tante et Benighted frappe toujours plus fort que tous les autres groupes de Death Metal…

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Dites voir les gars, c’est qu’on a failli attendre !!!
Cinq ans après un excellent V8 qui non seulement nous ramenait Vulcain sur le devant de la scène mais en plus nous prouvait qu’ils étaient de retour en pleine forme, voilà qu’ils nous balancent un Vinyle des plus croustillants qui confirme tout le bien qu’on a pu penser d’eux, que ce soit sur album ou en concert.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6/10.
Pas de bol, Foscor poursuit avec Les Irreals Versions la voie quelque peu insipide que j’avais décrite en ces pages lors de la sortie de Les Irreals Visions (2017) : un Dark Métal (moi je parlerais plutôt de Pop sombre) fait uniquement de doux arpèges et de voies claires, de piano et de langueur d’où les grosses guitares sont totalement absentes.

Note du SoilChroniqueur (Le Révérend) : 9,5/10.
Cela fait presque vingt ans, que le trio KEN Mode apporte à la planète musicale une discographie de haute volée et d’une rare homogénéité. Pourtant, les Canadiens ne sont pas vraiment connus chez nous, sorti d’un cercle restreint d’amateurs éclairés. Leur classement dans la sphère Hardcore les prive sans nul doute d’un plus large public metal ou rock, peu friand du son coreux ! Cela est pourtant bien dommage, car on pourrait plus parler ici de Noise-Rock biberonné au hardcore et punk…

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10.
Il y a deux ans, Existence is Horror m’avait laissé plutôt septique. Je reconnaissais l’efficacité des compositions mais également leur manque d’originalité, problème qui en faisait selon moi un album à l’espérance de vie plutôt limité. Cependant, comme j’ai lu dans bon nombre de magazines que Future Cult propulsait le trio américain dans des sphères d’inspiration seulement fréquentées par l’élite, que les compositions renouvelaient complètement le style Black Sludge, etc., je ne pouvais que m’intéresser à ce prétendu OVNI.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10.
Récapitulons : un groupe belge qui arrive à faire sonner du Death Metal old school à la Suédoise comme celle de l’école US. En voilà un programme ! Que ce soit le logo, l’artwork, et l’attaque des riffs sous accordés, on nage dans les eaux des premiers Entombed, Dismember, Unleashed, Grave… avec un chant proche des Cannibal Corpse, Jungle Rot ou autre Suffocation. Quant au niveau technique, rien à redire ! Tempo principalement rapide, batteur multibras, chant guttural et possédé, on a la totale : un vrai retour de 25-30 ans en arrière.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10.
1997. Tsjuder sort son premier EP Throne of the Goat après une trilogie de démo. Pochette en noir et blanc, ce logo éternel, le pur son de l’authentique Black Métal.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10.
Avant même d’évoquer cette réédition largement améliorée de Symposium of Rebirth, troisième album des Français d’Agressor, je crois qu’il serait bon de commencer par rendre un hommage sincère à tous les groupes qui ont fait que la scène hexagonale a aujourd’hui la qualité que l’on connaît, tous les groupes qui ont essuyé les plâtres, tous les groupes qui jouissent à présent d’une reconnaissance à rebours mais qui, à l’époque, ont dû supporter le dénigrement d’être des pionniers dans leur pays et devant batailler ferme pour être reconnus à l’étranger, la lutte étant alors bien plus dure pour un groupe français que pour des Américains, des Anglais, des Allemands ou des Suédois par exemple.














