Note de la SoilChroniqueuse (Eireen Dole) : 7/10

Formé en 2015, le groupe Fifty One est originaire de Tarbes, en France.
Il s’inspire principalement de la culture Californienne punk rock style Green Day, Blink-182, etc…
Un petit plus pour la pochette noire ornée d’une rose rouge style tatouage, j’aime beaucoup.
C’est soft, mais accrocheur.

Dés le début de l’album, on sent clairement l influence du groupe Green Day, à tel point que j ai cru à une copie conforme.
Musicalement, c’est très bien fait, la voix est mélodieuse et porte très bien l’Anglais.
Signé sur le label M&O Music, le groupe voit ce nouvel opus mixé et masterisé par Bertrand Poncet et Bastien Lafaye du groupe français Chunk ! No, Captain Chunk, référence du hardcore mélodique peu connu en France mais qui remplit les salles aux États-Unis et dans la plupart des pays Anglo-Saxons.

C’est du  bon punk-rock où, tout est joué rapidement avec d’ailleurs une batterie qui donne le tempo et, une guitare énergique  qui distille de bons riffs.
Sur scène le groupe doit avoir un bon feeling avec le public si l’on reste dans le contexte des groupes comme Sum-41.

J’avoue malgré tout que j ai eu une impression de déjà-vu (ou plutôt déjà-entendu) sur cet album qui m’a laissée sur ma faim.
J’ai trouvé cet album assez linéaire et sans surprise. C’est malheureusement le point faible pour ma part. Seule la chanson « The irish punk » se démarque par son refrain entrainant.

Mais bien sûr, pour les fans de cette scène Californienne des années 2000, c’est un très bon album à écouter.

Tracklist :

01. Adios Motherfucker
02. Stroke Of Midnight
03. Dead End Situation
04. Wearing Black
05. The Irish Punk
06. Living Hopeless
07. In My Head
08. Our Paradise
09. Budd’s World
10. Tall Can Lovers
11. Silly TV Shows
12. The Last One

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