Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10.
Encore un groupe pour lequel j’ai toujours eu une affection particulière : Warrior Soul, avec le toujours vindicatif Kory Clarke au chant. Je vous entends d’ici : “Et merde, Chris va encore nous raconter sa vie…” Et bien oui !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10 

Groupe formé en 2011 et déjà fort, avant cet Unleash the Storm, de deux EPs (Monarch to the Kingdom of the Dead en 2012 et Summon the Dead deux ans plus tard), d’un excellent album Into the Abyss (2015), de pas moins de six splits (avec Nocturnal Vomit, Morbider, Slaktgrav, Blessed By Perversion, Slaughterday, Slaughtered Priest, Death Courier et DreamLongDead) et d’une compilation (Once entombed… en 2016), les revoilà nous offrir un EP cinq titres, dont trois reprises, limité à 500 copies.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8/10 

Tony Dolan, « the Demolition Man », successeur de Cronos au sein de Venom fin 80, définit les canadiens de Vantablack Warship de « Cool Slayer ». Les membres de ce groupes sont tous issus de la scène underground Montréalaise : Yannik Pilon au chant vient d’Arseniq33, le guitariste Pat Gordon de Ghoulunatics et les Ekorchés, le batteur Pierre Pitre vient également d’Arseniq33 et de Foreshadow, le second guitariste Thierry Hivon de Brutal Chérie et Sacarsm, et le bassiste Kurt Clifford est issu de Foreshadow également. La mixité et leur expérience musicale ont donné rapidement naissance à un EP éponyme en 2015 et sort cette année l’explosif Abrasive pulmonic Speak.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 9/10

Depuis que j’ai découvert Abigor, en 1998, avec Supreme immortal Art, les Autrichiens sont devenus l’un de mes groupes de Black Métalfavoris. J’aime la complexité de leur musique, sa profondeur, son renouvellement constant, le son glacial, le climat de guerre et de satanisme dans lequel baigne chaque sortie, c’est un tout qui forme une identité à part.

Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10

Parmi ces groupes hors catégorie du Black Metal, de par le chant clair unique et propre au grand frontman, notre cher Alan, sur des riffs black/folk metal à la Bathory ou Celtic Frost, on y trouve Primordial, qui depuis sa constitution ne cesse de nous épater avec d’excellents albums, uniques et plus profonds que les Ténèbres !

Chaque mois, un petit récapitulatif des albums chroniqués, des interviews réalisées, des photos et reports publiés, sera proposé :

Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 7.5/10

Yo les petits jeunes : si vous nous lisez, ceci vous est adressé. Au lieu d’écouter de la pop de merde, écoutez du Metalcore, c’est bien pour grandir musicalement (ou encore mieux si vous voulez passer au niveau supérieur, commencez directement par les classiques du Hard Rock et Heavy Metal, le reste viendra proportionnellement au nombre de poils qui pousseront).

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 7/10 

Après une démo parue en 2014, Heralds of the stars, le trio toscan de Vexovoid sort chez Earthquake Terror Noise son premier album entièrement orienté vers la science-fiction, bourrée de monstres, de planètes à conquérir, de vaisseaux spatiaux et plein d’autres trucs extraterrestres bien flippants. Embarquons donc à bord de notre astronef au départ de l’Italie avec pour mission la conquête de tout l’univers et ainsi y déverser Call of the Starforger.

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 7/10

Autant j’avoue avoir déjà entendu nombre d’accents anglais pourris sur du chant clair, autant avec le quintette suisse de Way of Changes, réussir ce pari sur du growl tenait de la gageure… Challenge accepted !

Et franchement, c’est plutôt con d’avoir cette tare de prononciation, parce que ça a aiguisé mon spidersense de maniaque dès le premier titre et a gâché mon écoute le long de ce premier album qu’est Reflections, dans un style Metalcore mélodique au rendu instrumental maitrisé, plutôt honorable bien que pas transcendant non plus au niveau des idées de compositions pas mal entendues déjà et sélectionnées pour être efficaces. Et puis si les 45 minutes pour 10 titres passent assez aisément, c’est que la qualité sonore est au niveau également, et c’est le cas de la première à la dernière piste sur des morceaux qui bougent bien, de la première à la dernière piste également.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10 

Formé en 1999, on ne peut pas dire que ShadowKeep inonde le marché du disque avec le nombres d’albums qu’ils sortent puisque cette nouvelle offrande éponyme n’est que le quatrième full length du groupe, mais que ce soit leur premier EP (ShadowKeep en 1999), puis Corruption within (2000), A Chaos Theory (2002) et The Hourglass Effect (2008), ils ont toujours pratiqué un Power Metal un rien progressif qui les a fait se ranger aux côtés de pointures du genre comme Crimson Glory, le Queensÿche de la grande époque ou Fates Warning. C’est dire la qualité du groupe.