
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Décidément, depuis 2010, on ne peut pas dire qu’Accu§er soit au chômage : quatrième album depuis leur reformation en 2008 après « Agitation » (2010), « Dependant domination » (2011) et l’incroyable « Diabolic » (2013) (chroniqué ici :http://www.soilchronicles.fr/chroniques … bolic-2013), ce « The forlorn divide » semble vouloir confirmer tout le bien qu’on a pensé du précédent effort.
Car Accu§er, malgré un changement de line up qui a vu Uwe Schmidt remplacé par Denis Rybakowski aux lead guitares, joue la continuité avec ce nouvel album.
Inutile de dire que ceux qui ont aimé « Diabolic » vont adorer celui-ci : je terminais sa chronique par « Toujours est-il qu’avec ce « Diabolic », on ose espérer qu’Accu§er va enfin trouver les lettres de noblesse qu’ils méritent : un tel album, même de thrash estampillé old-school, ne peut pas passer inaperçu, ne doit pas passer inaperçu, même signé sur un petit label »…

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg): 8.5/10
« On choisit ses amis, on ne choisit pas sa famille », en voilà un proverbe qui ne s’accorde pas avec le Metal, tant on peut faire les deux ! Et parfois, les liens de parenté se remarquent comme le nez au milieu de la figure – obvious, isn’t ? Mais partons de ce principe et imaginons une photo de famille, car même si la photo n’est pas bonne, on pourra y voir le bonheur en personne et la douceur d’un soir. Sur cette photo, on voit papa Slayer et Papa Pantera – ou MAMAN Pantera si vous préférez, m’enfin on sait tous que le Metal, c’est le mariage pour tous et partouze – entourés des tontons/tatas Anthrax, Municipal Waste, Metallica, Megadeth, Suicidal Tendencies et Kreator. Dans un coin, les petits cousins Trivium et Children of Bodom (le cousin finlandais) font des doigts pendant que papy Mötörhead se meurt à petit feu après sa dernière attaque, ayant déjà rédigé son Testament.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
En maintenant 35 années d’existence, Voivod a su, avec le temps, créer son propre son et son propre univers, et ce ne sont pas les incessants changements de line up qui auront changé un tant soit peu la ligne de conduite que se sont fixés Denis “Snake” Bélanger et Michel “Away” Langevin.
Encore une fois, Voivod aura changé son bassiste : bienvenue à Rocky qui prend la place une nouvelle fois abandonnée par Jean-Yves “Blacky” Thériault, lui-même ayant succédé à Jason “Jasonic” Newsted.
Côté guitares, Daniel “Chewy” Mongrain, déjà présent sur “Target Earth”, est devenu membre à part entière en remplacement du regretté Denis “Piggy” D’Amour.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Et ça y est ! Encore un album de thrash chroniqué par Metalfreak !
Et oui, on ne se refait pas !
J’adore ce style de musique qui est mon genre de prédilection depuis un certain « Show no mercy », c’est comme ça !
Alors découvrir de nouveaux groupes se réclamant de groupes qui ont fait la gloire du thrash metal dans les années 80 reste un plaisir non feint, surtout lorsque la qualité est au rendez-vous !
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Note du SoilChroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 7/10
Bacillus anthracis, ou de son petit nom Anthrax, n’est pas simplement le terme anglo-saxon de la « maladie du charbon » mais aussi celui d’un des pères fondateurs du Thrash US dans les 80’s – avec cette image de « pères fondateurs », j’imagine trop la tronche de Joey Belladona à coté de celles de James Hetfield, Dave Mustaine et Tom Araya sur le mont Rushmore. Contrairement à ses comparses californiens, les newyorkais avaient ce petit plus d’apporter cette touche hip hop et rap émanant de leur ville natale, qui les distinguaient de leur confrères en donnant un coté pas forcément super sérieux et davantage basé sur l’amusement.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Et bim, c’est reparti : Deathroned est le 666.666ème groupe à nous balancer un thrash old school qui ne puise son inspiration que dans les albums du genre qui sont sortis entre 1985 et 1988.
Pour ce trio parisien, on ne va pas se mentir, on a affaire à une musique totalement passéiste mais suffisamment bien foutue pour s’y retrouver.
Vous avez aimé « Ignorance » de Sacred Reich, « The legacy » de Testament, les premiers Slayer, le premier Exodus, le Whiplash de «Power and pain », le Kreator de « Endless pain » ? N’allez pas plus loin, cet EP est pour vous !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10
Ils résument tout en annonçant le onzième titre de ce live : « We are the metal forces »…
Onslaught, une histoire d’amour entamée en 1985 avec la pose sur ma platine du premier album “Power from Hell”.
Ah, ça, j’en aurai usé, des diamants à lire cet album du premier son de cloche de « Damnation » jusqu’au dernier grattement de « Mighty empress ». Avec une tuerie comme ça entre les oreilles quand on a à peine quinze ans, si on m’avait dit il y a plus de trente ans de ça que je chroniquerais un album live de ce groupe on ne peut plus culte sur la scène thrash metal mondiale…
Il avait tout pour l’époque, cet album : ces relents punk et death metal propres à un genre anglais en devenir, qui a vu des Napalm Death, Bolt Thrower ou autre Extreme Noise Terror s’engouffrer dans le genre par la suite.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 5,5/10
Qu’est-on en droit d’attendre de la part d’un groupe de thrash ?
Se prendre des riffs rapides plein les oreilles ?
De se manger des mid tempo assassins avec des accords meurtriers ?
Avoir un chant rageur, éraillé de préférence, qui éructe une haine de la société ou au contraire nous déclame des lyrics bourrés d’humour (ou les deux à la fois) ?
Avoir une section rythmique épileptique ?
Tout ça en même temps ?

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Et un nouveau groupe de thrash du pays des kangourous, un !
Pour ceux qui suivent un peu les chroniques sur Soil Chronicles, ils verront qu’Envenomed n’est pas le premier combo du genre chroniqué ici qui vient d’Australie, les derniers en date étant In Malice’s Wake et Harlott, le premier étant déjà signé chez Punishment 18 Records.
Sorti initialement en autoproduction en juillet 2014, le label a vu le quatuor de Melbourne signer chez lui pour ressortir ce beau petit brûlot de thrash metal mélodique.
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Note du Soilchroniqueur (ShaK) : 5/10
J’espère que vous maniez le second degré avant d’entamer cette chronique. Car, autant vous prévenir tout de suite, je n’accroche pas du tout au principe du All Star Band. Sorte de « nouveau » concept qui consiste en fait à accumuler les poids lourds (sic) du métal, balancer des noms à qui veut bien l’entendre à grand renfort de tweets ou posts FB foireux, histoire de faire semblant de créer une pseudo attente insoutenable des métalleux du monde entier qui seraient prêts à se ruer sur un album qui révolutionnerait la musique. Sous prétexte que les guests présents vaudraient bien, à eux seuls, qu’on se déleste de quelques euros (ou dollars, ou wuhan, ou roupies ou roubles ou je ne sais quelle autre monnaie).
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