
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 4/10
Bon, s’il y a une chose que j’ai apprécié tout particulièrement après la première écoute de cet album, c’est bien sa durée : 27 minutes au compteur, pour huit titres, ce sera amplement suffisant !
Pour le reste, ça ne passe pas, mais alors pas du tout !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
Pas trop tôt !
La dernière fois que j’avais chroniqué un album de ce trio de fous furieux norvégiens, j’avais terminé mon écrit par un sympathique « On en veut encore, et avant 2018, non mais ! » (si si, là : http://www.soilchronicles.fr/chroniques … on-helvete).
Il est vrai que si sept années s’étaient écoulées entre la sortie de l’antépénultième « Desert Northern Hell » (2004) et son successeur « Legion Helvete » (2011 donc, pour ceux qui suivent), cette fois ce ne sont que quatre petites années qui séparent ce petit nouveau avec son prédécesseur, et le tout sans split dans l’intervalle ! C’est sûr, ça change tout !

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8.5/10
De toutes les choses dont j’aurais eu besoin pour bien commencer l’été, une réédition du pourtant incontournable « Unquestionable Presence » d’Atheist n’en faisait pas partie. Mais on connaît l’histoire : les nouvelles sorties discographiques vont se faire de plus en plus rares sur le marché entre juin et août mais il faut quand même que les affaires continuent. Alors on ressort du vieux du placard, du culte certes mais du vieux avant tout afin de jouer à fond sur l’engouement actuel pour le Old School.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
Doit-on penser qu’une formation qui débute en conquérant le trône, puis devient Roi des rois pour se proclamer enfin Monarque est orgueilleuse ? Prétentieuse ? Trop ambitieuse ? Que ses dents rayent le plancher ? Parfois oui. Beaucoup de groupes s’imaginent tout en haut de la pyramide, se voient bœuf quand ils ne sont que grenouilles, bref, font preuve d’un manque flagrant d’humilité et d’auto critique. Mais tout cela n’a jamais concerné Erik Rutan, son C.V. parle pour lui.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Du point de vue de l’emballage, ce premier album éponyme de Wildlights est une belle réussite : superbe pochette signée Brian Mercer, qui réalise encore une fois un travail parfait, et excellente production signée Matt Hyde, connu pour ses collaborations avec Slayer, Monster Magnet, Fu Manchu ou encore Porno For Pyros. En revanche, si l’on considère l’aspect purement musical, je conçois deux réactions possibles, le pré requis minimum étant d’apprécier le Heavy Rock, légèrement Stoner.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Aussi con que cela puisse paraître, en 2000, on commençait l’année certes avec la gueule de bois mais également avec le Phoenix Rising des Australiens de Deströyer 666.
Sans être particulièrement amateur de leur style, j’ai toujours trouvé à ce groupe un certain talent pour écrire de très bons riffs et cet avis se trouve être conforté avec ces huit pièces de Black Thrash Métal, légèrement mélodiques et Heavy mais toujours puissantes.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10
Que la technologie et les formes modernes de communication révèlent les paradoxes de l’être humain, ce n’est pas nouveau. Les gens affirment avoir soif de rencontres et de contacts humains mais ils se réfugient derrière leur ordinateur plutôt que dans la convivialité des bistrots ou des salles de concerts et, selon le même mécanisme, des groupes comme Drudkh revendiquent le fait de ne jamais faire de live ou d’interviews mais ils ont des comptes Facebook et Twitter… A moins que tout ne soit orchestré par Season Of Mist mais j’imagine mal leurs salariés gérer la communication des Ukrainiens par ces moyens-là… Bref, tout cela me laisse perplexe…
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Enfin !
Enfin arrivé, ce quatrième album de Shape Of Despair, et dire que les fans de Doom l’auront attendu, espéré ou fantasmé n’est pas exagéré !
Que ce soit avec « Shades of… » (2000), « Angel of Distress » (2001) ou l’intemporel « Illusions Play » (2004), le groupe finlandais n’a jamais déçu et cette attente de plus de dix ans avant la sortie de ce « Monolity Fields » a été bien longue pour avoir la suite de la carrière d’un des maîtres du Funeral Doom.

Note de la SoilChroniqueuse (Balkiss) : 9/10
Je vais être claire dès le début, je suis sous le charme de This Is No Fairytale. Voilà. D’aucuns diront que les orchestrations rappelant certaines BO des œuvres de Tim Burton donnent une légèreté indigne (oui, d’accord, j’exagère un peu quand même) à la discographie du combo néerlandais, et bien, autant vous dire que je ne suis pas d’accord. Parce que le trio a déjà fait son petit bonhomme de chemin, un petit retour sur le parcours de Carach Angren s’impose.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Originellement sorti en 2007, Season Of Mist continue de rééditer avec Nefarious Dismal Orations les anciennes œuvres d’Inquisition. Je ne vais pas revenir sur la nécessité réelle d’une telle entreprise car à part le lifting de la pochette, au demeurant très belle mais qui ne vaut pas selon moi la sobriété crasse de l’originale, je ne vois pas de modifications majeures apportées à ce disque au demeurant très bon.
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