Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Là, je sens que je vais me régaler.
Imagine, High Roller Records et Patrick W. Engel, qui semblent avoir décidé de remasteriser tous les albums de heavy metal et consort de la première moitié des années 80, s’attaquent maintenant à une grande partie de la discographie du légendaire Tank, celui qui a vu le jour avec Algy Ward en tant que bassiste / chanteur et les frères Mark (batterie) et Peter (guitares) Brabbs, partis en 1983 pour laisser la place aux guitaristes Mick Tucker et Cliff Evans avec qui Algy Ward est désormais en bisbille concernant le nom du groupe.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
– On dit que tu as été mordu par un cobra Royal.
– Oui c’est vrai… mais après cinq jours d’agonie épouvantable… le cobra est mort. (« Expendables 2 : unité spéciale »)
Note du SoilChroniqueur (M.L.A.M.) : 8/10
C’est donc dix ans après sa formation que le quintet espagnol nous propose ici son quatrième album « Triumph and Tragedy » qui sort enfin chez High Roller Records.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Riche idée de la part du label High Roller Records que de ressortir l’un après l’autre les albums des cultes The Rods, toujours, à l’heure actuelle, emmenés par les indéboulonnables compères que sont Carl Canedy et David “Rock” Feinstein.
C’est en 1986 que cet “Heavier Than Thou” voit le jour, soit un an avant le split de la formation qui ne renaîtra qu’en 2010, pour voir ensuite paraitre les excellents “Vengeance” (2011), “Hollywood” (2015) et surtout le dernier “Brotherhood of Metal” (2019), chroniqué chez nous.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
On n’aura pas attendu longtemps entre le live (“Live”) de décembre 1983 qui m’avait fait découvrir et aimer The Rods à l’époque et ce “Let Them Eat Metal” à l’artwork qui attirait de suite l’œil et à le scandale (le PMRC, en ce temps, n’aimait pas trop qu’on le titille vers le dessous de la ceinture).
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Chez High Roller Records, c’est devenu une habitude, on ressort d’anciens albums de heavy ou de thrash metal à tour de bras.
C’est même avec un certain plaisir qu’on se réécoute de bons vieux brûlots, passés injustement inaperçus pour certains, légendaires pour d’autres, et il semblerait que Patrick W. Engel, qui s’en est fait une spécialité dans le remastering, a encore du travail pour quelques décennies à ce rythme.
Et, quelque part, ce n’est pas pour déplaire à nous autres nostalgiques du old school.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Chez High Roller Records, c’est devenu une habitude, on ressort d’anciens albums de heavy ou de thrash metal à tour de bras.
C’est même avec un certain plaisir qu’on se réécoute de bons vieux brûlots, passés injustement inaperçus pour certains, légendaires pour d’autres, et il semblerait que Patrick W. Engel, qui s’en est fait une spécialité dans le remastering, a encore du travail pour quelques décennies à ce rythme.
Et, quelque part, ce n’est pas pour déplaire à nous autres nostalgiques du old school.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
Une réédition d’un album de Protector, ça ne rajeunit pas.
Il faut dire qu' »Urm the Mad » (1989) et sa pochette toute moche fut l’un de mes premiers 33 tours et même si, avec le recul, c’est loin d’être le meilleur album de thrash qui soit, à l’époque cela me remuait pas mal.
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Nous sommes en 1982.
L’Argentine envahit les Malouines, on assiste à la naissance d’Amandine, premier bébé éprouvette français, ainsi qu’aux décès de la divine Romy Schneider, du génial Patrick Dewaere et de la princesse Grace de Monaco, Harald Schumacher met impunément KO Patrick Battiston en demi-finale de Coupe du Monde, le Blaireau gagne son quatrième tour de France, Helmut Kohl devient chancelier de la RFA…
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Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9.5/10
“Tous les pays du monde qui n’ont plus de légendes seront condamnés à mourir de froid.” Patrice de La Tour du Pin
Oui, j’ai un peu la flemme d’écrire une nouvelle introduction, et comme cette nouvelle chronique concerne une réédition du seul et même album nommé Will of Gods Is a Great Power par, une fois n’est pas coutume, High Roller Records, les spécialistes des albums en réédition, je trouvais l’introduction tout à fait opportune! Comme quoi, la boucle continue de se boucler. Mais je ne cache pas ma satisfaction ce soir.