Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 8/10

Salut les gens !
Je voulais vous parler du nouvel ADX sorti il y a peu et qui se nomme “L’empire du Crépuscule”.
À l’écoute de cet album, j’ai envie d’établir un parallèle avec le dernier Judas Priest « Invincible Shield ». Pourquoi ?

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10

Il est de bon ton, parfois, de sortir de sa zone de confort et de lâcher le temps d’un EP toutes les sonorités old school auxquelles je reste irrémédiablement cramponné en temps normal.
Parce que là, on parle de neo metal, de hardcore, de metalcore et de tous ces trucs en –core qui, faut savoir rester honnête, ne sont pas forcément ma came.
Mais là, les (seulement) cinq titres pour un tout petit quart d’heure que dure cet EP dégueulent d’une énergie qui ne peut laisser indifférent.

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 8/10

Salut les gens !
Vous connaissez Poste 942 et son nouvel album « #Chaleurhumaine » ?
Non ?
Et bien si vous aimez un rock fortement métallisé et plutôt éclectique, vous devriez.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9,75/10

“Un fou ne fait jamais autant que réaliser à sa manière la condition humaine.” Jean-Paul Sartre

Ixion est un groupe que je suis depuis quasiment les débuts, et mon arrivée dans le webzine m’a permis de faire en chronique ce qui s’apparente encore aujourd’hui à un vrai coup de foudre artistique : L’Adieu aux Etoiles. Un album extraordinaire, d’une beauté remarquable pour le style proposé. Mais je m’égare ! Il aura fallu attendre quatre longues années au duo breton qui a posé ses fondements (ses bases hein, pas les postérieurs…) en 2004.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

On en a tous connus, des mecs comme ça, dans les concerts.
Tu sais ? Ce genre de gars qui a découvert “Nothing else matters” la semaine dernière et qui se prend pour un caïd du metal extrême parce qu’il n’avait jamais entendu quelque chose d’aussi violent quand il a poussé ses recherches sur le metal plus loin et a découvert… “Enter sandman”.
Alors il te raconte sa fabuleuse découverte, toi qui essaies tant bien que mal de profiter du concert du groupe qui passe à ce moment précis sur la scène devant toi.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10

A tous les bons vieux (hard) rockers qui sont en perpétuelle recherche du meilleur tribute possible à la musique qu’ils vénèrent depuis si longtemps, vous devriez vous arrêter un instant sur ce premier album des Parisiens de Sleazy Town.
Parce que là, il y a de la matière ! Quantitative en effet, qualitative surement !!!

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10

Salut les gens !
Créé en 2013 à Antibes, Swarm et ses musiciens ont le sang chaud. Sorti en février, un an après l’EP « Mad in France », ils enfoncent le clou dans le mur du quotidien avec cet « Omerta » qui assoit un peu plus leur volonté de s’imposer dans le ciel cocorico du metal français.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

Il aura fallu deux ans aux Bretons de Slaves Of Imperium pour accoucher du successeur du prometteur “Observe Analyse Sanitize” qui proposait déjà dix titres d’un savoureux mélange de thrash et de death metal, avec pas mal d’éléments modernes donnant un groove qui les distinguait déjà des formations du même genre.
Et on ne va pas y aller par quatre chemins : le quintet confirme tout le bien qu’on a pu pensé d’eux en 2022 avec ce “New waves of cynicism”.

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10

Salut les gens !
Grand fan de Lofofora devant l’Éternel Dieu (ou Démon) metal, je suis toujours Reuno dans ses pérégrinations musicales.
Faut dire que le bonhomme a diversifié sa carrière via des groupes comme Mudweiser, des participations avec les Tambours du Bronx et puis… Madame Robert qu’il a eu l’idée de fonder avec Stef (ex-bassiste de Parabellum) !

Note du SoilChroniqueur (Mike Edward Teach) : 9/10

Réveille le punk qui est en toi, fais un fuck à tes problèmes, Resto Basket t’apprendra à rester positif et toujours jeune !!
Pour leur troisième EP, les keupons de La Tour Du Pin lâchent les chevaux avec sept morceaux qui envoient du bois. Encore un groupe qui a une place particulière pour moi, car il est rattaché à mes années étudiantes, symbole de mes premières années de liberté loin de ma campagne natale (paradoxe assez surprenant par rapport à mon titre coup de cœur, vous allez voir).
Resto Basket, c’est aussi certains de mes premiers concerts sur la scène Grenobloise.