(Metalfreak)

Chaque semaine, une sélection des vidéos du moment vous est proposée : avec du lourd, de l’émergent, du surprenant, du connu, du pas connu… mais tous méritent le coup d’œil / oreille !
Alors soyez curieux, il se cache souvent des pépites insoupçonnées dans le lot.
Avec Clawfinger, Leah Martin-Brown, April Art & League Of Distortion, Future Palace, Victim Of Fire, Wax Mekanix, Midnightmares (feat. Ralf Scheepers), Power Metal Rangers, Birdshot, Stonebirds, Bastard Cröss, Agenbite Misery, Boum Patat, Evoken, Orbstruct, Savage Lands (live Hellfest), Hooded Menace (reprise Duran Duran), O.D.C., Kraton et Mezzrow.

Note de la SoilChroniqueuse (GothicMelody) : 6/10

Amy Mcdonald est de retour avec un nouvel album, après plus de quatre ans d’absence. « Is This What You’ve Been Waiting For ? » est le sixième album de l’artiste anglaise. Un album de dix titres, toujours aussi rock, voire un peu pop-rock à certains moments.

Pour être honnête, après la première écoute, je n’ai pas été transcendé par cet album. Pas mal de titres semblent être taillés pour la radio, c’est intéressant, ça reste en tête, mais rien de très novateur. C’est gentillet, et je me suis un peu ennuyé.

Note du SoilChroniqueur (Alain The Red) : 7,5/10

Bien qu’existant depuis 2006, Call of Charon nous plonge dans les ténèbres avec « Tales of Tragedy ». Ce deuxième album est brutal et mélodique et plus sombre que son prédécesseur.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 6.5/10

“Les seules limites sont, comme toujours, celles de la vision.” James Broughton

Jamais je n’avais trouvé cette citation aussi parlante dans le milieu artistique. Avec l’avènement des réseaux sociaux dans le paysage musical, on se rend compte de plus en plus que faire de la bonne musique n’est plus un critère de sélection en soi. Il faut désormais faire du visuel, de la visibilité même. Maintenant, on regarde le nombre d’écoutes sur Spotify, on regarde les vues sur YouTube, etc. Quid de la qualité de la musique ?

Note du SoilChroniqueur (Alain The Red) : 5/10

Groupe formé en 2012 au Canada dans le Nouveau –Brunswick sous le nom de Abysseral Throne, celui-ci changera de nom en 2018 suite au changement de direction musicale et deviendra Ancient Thrones. Deux EP à leur actif et un album sorti en 2020 (“The Veil”) : “Melancholia” se veut être un album concept de 57 mn structuré sur les cinq étapes du deuil.

Dernière chronique écrite par notre chroniqueur et camarade III… Repose en paix. Nous nous joignons à la famille et ses ami(e)s dans leur deuil et leur détresse.

Note du SoilChroniqueur (III) : 8,5/10

Nous voici aujourd’hui sur une nouvelle ère sombre à laquelle je suis très heureux de me pencher. Une très belle découverte faite récemment après avoir échangé avec l’un des fondateurs du groupe. Ce sont des passionnés et on le ressent sur l’intention et l’impact que procure leur musique.

Note de la SoilChroniqueuse (Viv Hante) : 8/10

« En tournant autour du soleil, nous ressentons la nature cyclique de la vie : le jour et la nuit, les quatre saisons, la naissance et la mort, et la danse éternelle entre déclin et renouveau. » Faber Horbach.

Note du SoilChroniqueur (Alain The Red) : 8,5/10

Plonger dans les méandres d’un vampire solitaire qui doute en fin de compte que l’éternité n’est pas une fin en soi, l’album “Die Close” m’a agréablement surpris par son atmosphère mêlant gothique et sonorités sludge.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

“Say Kids, What time is it ? It’s time for… mosh !!!”
Bon, ok, pour avoir la référence de cette introduction, il est de bon ton d’avoir quelques connaissances dans la house music (les plus curieux peuvent toujours aller faire un tour >> ici <<) et il est fort à parier que le commun des thrashers auquel s’adresse cette nouvelle bombe de crossover par les vétérans de The Prophecy²³ ne pipe pas un mot de ce que je suis en train d’avancer.
On s’en fout !

Note de la SoilChroniqueuse (Freya) : 8/10

Et me voilà reparti pour embarquer dans un bateau de noirceur confortable à la barbe des Chrétiens surtout et autres trinités de religions soi-disant dominantes.
Une traversée en compagnie d’une petite équipe de suppôts de Satan et sa clique de joyeux drilles, à défaut d’être de zitoire.
Stoppons là les blaguounettes de fin de chaussettes et tenons la barre trente merveilleuses secondes.