
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10.
Il y a peu, je chroniquais le dernier F.K.Ü. qui orientait ses lyrics sur les films d’horreur sortis en 1981. Et bim, aujourd’hui, je me reprends un album d’un groupe de Thrash Metal, bien sur old school, qui parle de films d’horreur des années 80 avec une musique qui n’aurait pas fait tâche (de sang) à l’époque.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10.
Du Thrash, encore du Thrash, toujours du Thrash Metal. Non, définitivement, je ne m’en lasse pas. Musique de vieux pour certain(e)s de mes chroniqueurs dont les initiales du pseudo évoquant une poupée sanglante commencent par un “B”, je continuerai, moi Chris “Metalfreak”, thrasher invétéré à faire connaître des groupes que mes oreilles considèrent comme intéressants, prometteurs, comme sortant un tantinet du lot d’un genre qui n’offre pas toujours beaucoup de surprises mais qui fourmille de petits groupes qui font très bien le métier !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10.
Décidément, depuis leur retour sur le devant de la scène thrash teutonne, Accu§er semble avoir décidé de nous balancer une nouvelle déflagration sonore avec une régularité digne d’une horloge helvétique.

Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10.
Ils n’ont même pas conquis la terre et ces thrashers suédois veulent déjà conquérir le cosmos ! Ça ne sera ni l’un ni l’autre pour cette fois-ci, mais peut-être qu’ils arriveront à conquérir tous les thrasheurs sur terre ? En tout cas ce qui est sûr c’est que l’album est le meilleur de ce qu’ils ont pu faire jusqu’à présent !

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10.
Sixième compilation pour nos Thrashers, sans compter les albums Live qui sont des Best of déguisés, cela commence à faire beaucoup à mon goût, d’autant qu’on en a eu trois en l’espace de six ans : Alcoholic Metal (2012), Oldies & goldies (2014) et donc ce Hymns for the Drunk.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10.
Les noms en –tor ou –tator m’ont toujours fait marrer ! A croire que, quand on est dans le black ou le thrash metal, c’est un passage oblige ! Ah, ça, on en a vu passer, des Kreator, Annihilator, Patator, Caféstentor ou autre Tétouatator !!! D’ici à ce qu’on ait le “Umlaut” de rigueur (les trémas, pour ceux qui ne suivent pas), on n’aura pas beaucoup de questions à se poser sur le genre proposé…

Note du SoilChroniqueur (Erikillmister) : 9,9/10.
Voilà enfin sur mon bureau ce fameux Century of Decadence que j’attendais avec impatience, avide de savoir ce que pouvait valoir sur galette cette machine de guerre qu’est Obsession en live. Le moins que je puisse dire, c’est que je n’ai pas été déçu ! Cet album est une véritable boucherie, vous prenant aux tripes dès l’entame pour ne plus vous lâcher jusqu’à ce que la dernière note résonne. Je vous l’avais annoncé… Une fois mordu, vous ne décrocherez plus !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10.
Un petit EP sans prétention qui défouraille méchamment, ça fait toujours plaisir ! Comment se prendre un bon quart d’heure d’astiquage d’esgourdes avec cinq titres à l’agressivité remarquable ? Hein, j’vous en d’mande un peu ? Facile, demandez à nos amis Belges : ils ont un petit groupe de Thrash Metal à Meetjesland qui s’appelle Devastatiön (avec le Umlaut sur le ‘o’, s’il vous plait) et qui ne demande qu’à vous voir vous décoller les cervicales sur leurs titres.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10.
Voilà le premier album de ce (très) jeune groupe Catalan : hormis le chanteur d’une trentaine d’années, les musiciens ont tous la vingtaine et font déjà preuve d’une réelle maturité pour un groupe de Thrash Metal, style qui demande malgré tout un minimum de bagage technique. Formé en 2012, le groupe sort un EP “A new Order for Attack” l’année suivante. Un changement de batteur plus tard, voilà les Barcelonais qui arrivent avec un premier album signé chez l’incontournable label Espagnol Xtreem Music.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10.
Il fallait s’y attendre, à ce que ça arrive un jour : si le dixième album de Destruction était un premier volet de “Thrash Anthems”, on pouvait penser que le quinzième, dix ans après, allait en être une suite.














