
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Les revoilà !
Un de mes gros coups de cœur de l’an dernier avait été leur premier album « Pulses of Pleasures », une grosse baffe speed / thrash metal, old school comme il se doit, à la croisée des Razor (on rappellera que le nom du groupe belge est le titre du deuxième album des Canadiens), Exciter, Agent Steel ou autres Skull Fist ou Speedtrap pour les plus récents.
Formé il y a neuf ans, Evil Invaders a déjà sorti une demo (« D-emokill ») en 2009, un EP éponyme en 2013, leur premier album donc l’an dernier et ce nouvel EP quatre titres « In for the Kill » qui nous concerne aujourd’hui.

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 9.9/10
Chroniquer un album de The Agonist, c’est comme chroniquer un album d’Arch Enemy : y a un avant et un après. Et ici, c’est d’autant plus intéressant que leurs généalogies se recoupent. Pour faire simple et à peu près compréhensible dans cette embrouille digne d’un épisode des Feux de l’amour, Vicky Psarakis, actuelle chanteuse de The Agonist, remplace Alissa White-Gluz depuis leur 3ème album, Eye of Providence (février 2015) ; Alissa White-Gluz, actuelle chanteuse d’Arch Enemy, remplace elle-même Angela Gossow depuis War eternal (juin 2014) – NB : faudra que je le chronique un de ces jours –, qui elle est irremplaçable depuis Wages of Sin (avril 2001) mais ne s’occupe plus que du management d’Arch Enemy. Les comparaisons entre les belles – ce qui ne gâche rien – et talentueuses Alissa et Vicky vont donc immanquablement arriver sur le tapis et, moi-même, j’avoue que je ne m’étais pas encore penché sur le sujet en profondeur, même si me pencher sur chacune, sur un tapis ou autre part et en profondeur ne serait sans me déplaire. L’exubérante brune-bleue Alissa contre la blonde d’apparence sage Vicky, ça, c’est du clash intéressant. On s’y colle donc pour Five qui, comme vous pouvez intelligemment le présumer, est le… le combientième ? Ouiiii, le 5ème album de The Agonist ! (Toute mon estime tardive ira quand même à celui qui n’a pas su trouver la bonne réponse…)
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 8/10
La messe est dite.
Un live de Powerwolf , c’est avec un plaisir non dissimulé que l’on attaque l’écoute de cet album. Il faut dire que lors du Hellfest 2014, Powerwolf avait mis une baffe énorme à un public légèrement aviné. Ressentira-t-on autant d’énergie en l’écoutant le matin, au réveil ?
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 7.5/10
J’en ai rêvé, ils l’ont osé ! Depuis années – plus d’une décade – que j’attendais un featuring d’Yvette Horner avec Cannibal Corpse, j’ai l’équivalent avec le dernier album des teutons de Finsterforst, sans l’artwork sur lequel elle jouerait de l’accordéon avec ses tripes… Allez, #YØLØ !
Oui, vous avez bien lu : si c’est en italique, c’est parce que c’est le titre de l’album ! « Les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnait ! » et pour le coup, ils osent ! On passe d’une ambiance « voulez-vous slammer, grand-mère » digne des meilleurs bals pogottant du fin fond de la cambrousse à un « Hava Nazgula » de bar-mitsvah jazz metal… Z’ont bien changé les guinguettes de nos jours, non ? Marche dans la Forêt Noire du pied gauche, ça porte bonheur ! Faut croire qu’ils se sont aussi laissé influencer par leurs compatriotes de Berlinski Beat par moments…
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 5/10
Je vous mets au défi d’écouter l’heure de « Red Robes » sans bailler.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8.5/10
Quand je reçois un dossier intitulé « Jinjer », je me dis que les expéditeurs sont juste dyslexiques et que « coool, ils se sont plantés et je vais avoir droit à une collection de photos de jolies rouquines ». Bon, en fait, je n’ai reçu « que » le dernier album, King of Everything, de Jinjer.
A défaut de jolie rouquine, on a une brune teigneuse au chant, un clone vocal de Gwen Stefani (No Doubt) qui ferait du growl majoritairement – et quel growl ! –, accompagnée de ses 3 acolytes ukrainiens. J’étais déjà tombé hasardeusement au cours de mes pérégrinations youtubesques – entendre par là que j’avais mis à défiler une random playlist en fond sonore pendant que je bossais sur mon PC – et l’écoute aléatoire de « Sit, stay, roll over », morceau clipé qui circule depuis fin octobre déjà, m’avait déjà interpelé.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 7/10
Même s’ils ne font pas dans le reggae, Deadlock ne manque pas d’air : nous pondre un album qui avait tout pour être excellent et le rendre aussi fade…
Hybris porte aisément bien son nom : un hybride de style qui démarre sur les chapeaux de roues, avec une base Modern Death à tendance swedeath/melodeath, des riffs incisifs (bien que pas assez pointus à mon sens, mais bon) évoquant un peu Mors Principium Est avec sa contenance de growl comme ligne textuelle, pour mieux laisser la place à la voix puissante et maitrisée de Sabine Scherer (Margie Gerlitz remplace désormais depuis avril dernier cette ancienne claviériste/vocaliste), tantôt popisante, tantôt poussée, le tout sur une structure un peu alambiquée. Bref, ça partait bien pour le groupe allemand qui enchaine ensuite des passages à trois voix aux timbre dissocié sur « Carbonman » (growl masculin + clair masculin + lyrique féminin)…
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 6/10
Il y en a pour qui il est difficile de cacher leur lien de parenté. Je pense aux gens du Nord…
Non, pas ceux de la région Nord/Pas-de-Calais… « Hauts de France » pardon, qui ont dans les yeux le bleu qui manque à leur décor et qui ont aussi suffisamment de tares locales à assumer avec Pierre Bachelet et Dany Boon (pas de malentendu, fidèles lecteurs ch’ti, on vous aime quand même)… Non, ceux au Nord du Nord, au Nord de l’Europe. Parlons donc de Dawn of Disease.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Il y a trois ans de ça, je disais le plus grand bien du précédent album (lien en fin de chronique) tellement la formation canadienne m’avait convaincu de par son pur thrash old school aux relents punk manifestes.
Lors de l’interview qui s’en est suivie, ils disaient que sept titres étaient déjà composés et qu’ils étaient particulièrement rapides et agressifs…
Il faut leur reconnaître une qualité : ils ne mentent pas !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Ils l’avaient dit, répété, juré, craché : Candlemass ne sortira plus d’albums.
Jusqu’à présent, ils ont tenu parole : « Death thy lover » est un EP.
Certes plus long que certains albums avec ses 26 minutes, mais un EP quand même !
Donc, pas un album.
Toujours est-il que retrouver du nouveau matériel des maîtres du doom fait toujours un plaisir fou.
Avec une pochette signee Erik Rovanperä (Crucified Barbara, Avatarium) qu’on pourrait croire créée pour un obscure groupe de black ou de death metal, Candlemass revient trois ans après le split avec Entombed avec quatre nouveaux titres.
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