Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Ouf, on est sauvés : Toulouse n’est pas seulement la ville qui a fait naître Bigflo & Oli ou Jain, n’est pas que la ville chérie de Claude Nougaro, mais la ville rose est également le bastion des Psykup, Punish Yourself, Sidilarsen… et il faudra désormais compter avec Corporal Punishment !

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 8/10

Salut ! Aujourd’hui, je voulais vous parler de “In Sublime Presence”, un album sorti en 2024 créé par The Dawn Razor.
C’est en fait le projet du guitariste/chanteur Sylvain Spanu accompagné pour cette galette de Sami (Leivato, Jirfiya) à la guitare et aux backing vocals, Florian (ex-Grimhowl Grave) à la basse et aux backing vocals, ainsi que de Simon (ex-Lanwill) à la batterie. Le fil rouge de sa musique étant de transmettre en sons, le mouvement pictural « sublime » associé à la période romantique.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

“Les 2Sisters balancent leur son depuis plus de 10 ans sur les scènes de Paris et d’ailleurs. Entre Motörhead, les Sonics et les Stooges, ces 4 brutes vous balancent un rock puissant pour vous en mettre plein les oreilles : des riffs incisifs, des solos rageurs, de la fuzz, de la wah wah et beaucoup de sueur ! Préparez-vous car leurs concerts sont à l’image de leur musique, sauvages et habités.”

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

• « Ma maman disait que ça existait pas les monstres, que c’était pour rire, mais y’en a.
• Oui, il y en a, ça existe.
• Alors pourquoi les grands ils disent ça ?
• Parce que d’habitude c’est vrai. » (Dialogue entre Rebecca “Newt” Jorden et la Lieutenant Ellen L. Ripley, Aliens – le retour, James Cameron, 1986)

Note du SoilChroniqueur (Jaymz) : 8/10

Trank fût une belle découverte fin 2021 grâce à un bel article dans Rock Hard puis un ponçage en règle de leur premier opus « The Ropes ». Les néo Haut Savoyards ont su me convaincre avec leur métal moderne / heavy rock, aux influences variées, quelque part entre le vrai Muse (celui des deux premiers albums), Deftones, Depeche Mode – surtout les intonations de Mitch au chant – et, parfois, un peu de Tool.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

Misfortune ou l’art de brouiller les pistes. Il est vrai que nous aimons tout mettre dans des tiroirs bien précis et surtout qu’il n’y ait rien qui dépasse, surtout pas ! Après tout, quand on aime appeler un chat un chat, on ne peut accepter qu’il y ait le moindre semblant d’angle dans un cercle qu’on espère parfait.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Les Montpelliérains de Murder At The Pony Club sont de retour après un “A true story” remarqué sorti en avril 2018.
Les quatre gaillards avaient déjà séduit leur petit monde avec cet hybride de rock alternatif mâtiné de stoner à haute teneur énergétique, le tout saupoudré d’un brin d’humour décalé parfois corrosif.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Tout d’abord, un petit peu de culture ne nuit point : merci Google pour ces précisions : Muhūrta est une unité Hindoue de mesure du temps avec nimiṣa, kāṣṭhā et kalā dans le calendrier hindou. Dans les Brāhmaṇas, muhūrta désigne une division du temps : 1/30 de jour, soit une période de 48 minutes. Une autre signification du mot « moment » est également courante chez les Brāhmanạs.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

“Plongez dans une expérience musicale unique avec Chakora et leur nouvel album « Fractured Fate », une fusion harmonieuse de Groove Metal et de Rock psychédélique.”
Ce n’est pas moi qui le dis, c’est la bio.
Dit comme ça, on y va directement, sans se poser de question.
Et quand on s’écoute cet album de Chakora “Fractured fate”, on sent qu’on a droit à quelque chose d’excellent.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Garage rock ? Punk rock ? Trash (sans “h”, merci) grunge ? Tout ça à la fois ?
Tarah G. Carpenter et son projet Tarah Who ? ne se pose pas la question des étiquettes, elle s’en fout du moment qu’on lui laisse libre court à sa création musicale.
Après trois albums (“Little out there”, “Supposedly, a man” et “The collaboration project”) et deux EP (“Federal circle of shame” et “64 women”) depuis dix ans, on ne va plus lui dire comment elle doit s’y prendre pour nous envoyer du rock ‘n’ roll pur jus entre les oreilles.
Du moment que ça reste spontané et authentique, elle continue.