
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
J’en avais déjà parlé lorsque j’ai chroniqué les deux albums précédents des Finlandais de Oz, j’ai toujours eu une vraie tendresse pour ce groupe et ce depuis qu’ils avaient sorti les fabuleux titres “Search Lights” et “Turn the Cross upside down” respectivement sur les compilations “Scandinavian Metal Attack” volume 1 (1984) et volume 2 (1985) !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Après le cheval de Troie, madame Hun de Troyes, voici The Prophecy²³…
Vingt ans de carrière l’année prochaine, un EP (“Immortal attitude”) en 2007 et voilà qui arrive leur quatrième album après “… Into the pit” (2010), “Green machine laser beam” (2012) et “Untrue like a boss” (2014) avec toujours ce crossover / thrash metal bien délirant, combinant une énergie punk et hardcore (beaucoup), death metal (un peu) et évidemment thrash metal (principalement) !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Qu’on se le dise : ceux qui ont adoré le Assassin de “The upcoming terror” et d’”Interstellar experience” ne vont plus s’y retrouver.
C’est comme ça, les choses changent, évoluent… Parfois en mal, parfois en bien !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Parmi les dictons souvent ressortis à tout va par la sagesse populaire, il y a celui qui consiste à dire que les chiens ne font pas des chats. N’importe quel étudiant en premier mois de zoologie est capable de sortir un principe aussi fondamental, et il est fort à parier que la chose ne lui ait pas échappé depuis bien longtemps.
Et, quelque part, il y a des principes héréditaires qui ne trompent pas non plus… Et là, on ne parle pas éthologie, zoologie ou de toute autre science portant sur les animaux et qui finit en -logie… même si le groupe californien Hatriot, pour son troisième album, continue à se la jouer bestial comme tout groupe de (bon) thrash metal qui se respecte. Là encore, on parle d’évidences !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
They are Nitrogods and they play rock ’n’ roll…
La référence évoquée par cette phrase est difficile à cacher tant Nitrogods se complaît à nous balancer une musique fidèle à celle que proposait le trio du regretté Lemmy.
Motörhead est mort, irremplaçable, non remplacé, et chaque sortie d’un groupe qui officie dans ce putain de rock ’n’ roll crade avec ce chant rauque ne fait que nous le confirmer !
Non que Nitrogods n’a pas le talent nécessaire pour jouer une musique Motörheadienne à souhait, loin de là : on aurait même tendance à dire qu’ils en sont les plus proches, poussant l’insolence à frôler la perfection dans leur approche de la bande à Lemmy.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10.
Je l’entends encore, l’autre, là, me dire d’un air moqueur : “Mais que t’arrive-t-il, Chris ? Toi le thrasher invétéré, qui d’habitude ne jure que par des riffs saccadés, de préférence rapides, avec des chants agressifs, criards et growlant, voilà qu’après Within Temptation, tu nous chroniques le nouvel album d’Imperia, et en des termes plus que très positifs ? Tu es sur que tout va bien ?”

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10.
Vingt ans de carrière pour ce groupe allemand de pur Heavy/Speed à l’ancienne qui prône les valeurs d’une musique sans concession ni tentative de modernisme.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10.
Warpath fait partie de ces groupes, allemands, qui officient dans un Thrash Metal plus moderne tout en s’inspirant de certains côtés old school d’autres genres.
Ainsi, si la tendance principale est impitoyablement thrash, on ne se retrouve pas surpris d’y trouver des éléments doom ou death dans leurs compositions, ce qui fait que lorsqu’un groupe comme Warpath nous balance un album tel que ce Filthy Bastard Culture, on peut se manger treize titres et plus d’une heure en une seule fois sans qu’on trouve le temps long, tant cet album se veut aussi riche qu’homogène.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Les thrashers teutons d’Essen de Darkness reviennent deux ans après l’excellent précédent album et avec leur mascotte déjà présente sur les pochettes – signée cette fois Timon Kokott (déjà créateur des pochettes de Horn, In Fury, Teutonic Slaughter ou FreaKings) de Death Squad (1987), Defender of Justice (1988) et The Gasoline Solution (2016) [Soilchronique ici], comme pour donner une suite logique à leur carrière, mettant définitivement de côté leur Techno Thrash – pourtant bien foutu mais un rien complexe – de Conclusion & Revival (1989).















