
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
J’en rigole encore : le mail d’insultes que j’avais pris parce que j’avais osé, lors de la chronique de “Resilient”, commettre un véritable crime de lèse-majesté en affirmant que « Rogues en vogue » était un mauvais album là où la science infuse qui se faisait surnommer ‘Rock ‘n’ Rolf’ (ça, c’est de l’originalité inhérente à un flagrant manque de personnalité qui n’a d’égal que son manque d’objectivité) n’y trouvait que des hymnes qui auront révolutionner le Metal ! Eh oui, même Running Wild peut être en manque d’inspiration, même Running Wild peut faire des album plus en dedans, n’en déplaise à quelques groupies effarouchées…
D’autant que, je persiste et signe, hormis les carrément mauvais (« Rogues en vogue » (2005) ou « Shadowmaker » (2012)) et les moyens (« Victory » (2000) ou « The Brotherhood » deux ans plus tard), Running Wild peut s’enorgueillir de nous avoir fourni des albums hauts en couleur et, encore aujourd’hui, je prends un réel plaisir à m’écouter des « Port Royal » (1988), « Death or Glory » (1989), , « Black Hand Inn » (1994), « Masquerade » (1995) ou les deux premiers albums « Gates to Purgatory » (1984) et « Branded and exiled » (1985).

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Formé en 2002, le quintet Bulgare Rampart a la particularité de ne plus avoir dans son line up de membre originel : le membre le plus ancien étant la chanteuse Maria Dièse arrivée en 2006.
« Codex metalum » est le quatrième album full length de ce groupe de heavy metal old school après « Voice of the Wilderness » (2009), « War behest » (2012), un EP « A Tale to Cold » (2012) et « Завера » (2013).
Acteurs plus que crédibles de la scène est-européenne, le groupe a partagé les scènes avec des groupes comme Flotsam And Jetsam, Scanner, Blaze Bayley, Hate, Arkona, Witchburner, Picture, Lonewolf ou Wizar et joué sur quelques festivals en Allemagne (Taunus Metal Open Air), Grèce (Rock You to Hell Fest), Bielorussie (Metal Crowd Festival), Pays Bas (Dynamo), Angleterre (Guildford and London), Hongrie (MetalWar Fest), France (Rising Fest II) ou Belgique (Iron Steel Fest).

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 5.5/10
La fin justifie-t-elle les moyens ? LE sujet bateau chaque année dans les annabacs de Philo… On ne prendra pas 4 heures pour y répondre en citant du Platon, du Machiavel ou du Montesquieu, mais 54 minutes de Jewel of the Vile par Necromancing the Stone, en abordant sous l’angle « La fin de l’album justifie-t-elle le moyen de tout le reste ? »
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 9/10
Être la Metal Queen est une titre qui se mérite.
On ne peut pas s’autoproclamer Metal Queen, il faut se battre pour mériter ce statut. C’est à force de headbang , de poings levés et de passion donnée à son public que Doro est devenue l’acclamée Metal Queen. Une reine depuis trente ans.
Trente années se sont écoulées, et qu’est ce qui a changé ? Seulement l’age du public venu assister à la célébration, les premiers adorateurs ayant quelques cheveux blancs viennent avec leurs enfants pour l’événement. Le temps par contre n’a pas d’effet sur la belle Doro et glisse sur sa belle chevelure blonde.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 8,5/10
Un bon groupe de Heavy, ça te tente?
Oui, mais il y a Heavy et Heavy… Voilà, ça y est, le débat commence… Est-ce que c’est du Heavy Metal à Hymne comme le fait Manowar, du Heavy Metal plus Speed à la Helloween, mais encore un Heavy Metal à la Iron Maiden avec ses guitares ? Un Heavy au chant surpuissant comme Judas Priest ? Un Heavy plus aérien comme la permanente de Twisted Sister ?
La réponse sera : un Bon Heavy et ferme ta gueule!
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8/10
Combien de comédiens, acteurs, comiques et humoristes français auraient suffisamment de bollocks pour assumer d’aimer le Metal ? Combien de marins, combien de capitaines assumeraient de s’aventurer dans cet Oceano Nox ? Oui, certains vont me rétorquer « attends, t’abuses, y a quand même Dédo ! » En effet, et il joue de cette particularité, singularité dirais-je même, pour se démarquer de la clique à Jamel. Quand Ultra Vomit part en cacahuète en faisant du Blague-Metal (et le fait bien, de manière débile, marrante mais réfléchie et bien construite), ils restent des metalleux, tout comiques/humoristes soient-il… Et si on peut rire d’entendre Samy Naceri tenter de la punchline dans le rap ou Elie Semoun nous faire dans le sirupeux de la bossa nova « à la française », lequel aurait passé le cap du violent dans un pays de culture de masse devenue étouffante et édulcorée au point de cacher ses talents musicaux par des télé-crochets vantant/vendant des chanteurs de karaoké comme les futures stars, formatés aux minauderies et aux clichés du paraitre populaire bienséant et politiquement correct ? Et si la team du Groland s’en amuse à ses heures perdues, à passer pour des keupons anarchos, ça fait davantage parti du costume que de l’art de vivre…
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Note du Soilchroniqueur (Erikillmister) : 8/10
Coucou, les revoilou ! Je veux parler de nos potes de Grand Magus ! Fidèles à leur habituelle vitesse de croisière, à savoir un CD tout les deux ans, JB Christofferson, Fox Skiner et Ludwig Witt, remettent le couvert en 2016 avec cette fois Nico Elgstrand (Entombed) à la production, le nouveau bébé des suédois s’appelant « Song of Sword ».
Ça démarre très fort avec « Freja’s Choice » sorte d’hymne heavy metal, relayé magistralement par « Varangian » dont le refrain, digne des meilleurs Manowar ne demande qu’a être scandé par des hordes de barbares métalliques headbangant furieusement sur « we are wariors » ; Ça se calme un chouia ensuite, du moins le croit-on… Car une fois la myriade d’arpèges chiadés passée, le naturel qui n’a pas vraiment eu le temps d’être chassé revient au triple galop, sous forme d’un « Forged in Iron, crowned in Steel » le bien nommé.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg): 6/10
Fede Alvarez, le réalisateur du – bon – remake d’Evil Dead (sous l’égide et l’appui du réalisateur originel Sam Raimi et de son acteur fétiche Bruce Campbell), a dit lors d’une interview à l’avant-première du film au Grand Rex à Paris en 2013 que le problème avec les remakes, c’est que les fans n’ont pas envie d’aller les voir par crainte d’être déçus, tellement ils ont eu l’habitude d’en voir des mauvais qui salissaient l’esprit du film d’origine. Avant d’entrer dans toute polémique cinématographique, oui, j’ai bien aimé ce remake parce que, s’il s’éloignait pas mal de l’original – je ne vais pas vous spoiler mais vous risquez d’être déçus si vous vous attendez une séquelle ou une préquelle – il prenait un point de vue et un axe différent, sans exclure les nombreux clins d’œil, ce qui fait que par conséquent il apportait un regard neuf à la franchise – que je déteste ce terme que je trouve extrêmement commercial.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8.88/10
Alléluia mes frères et sœurs, le jour est idéal pour prêcher la bonne parole de notre sainte mère l’Eglise du Metal.
Une chose est sure, ce qui anime Metal Church – vous auriez bien compris que c’est d’eux dont je parlais – c’est la Passion ! Si « le pape a dit que l’acte d’amour sans être marié est un péché », eux sont mariés au Heavy Thrash depuis des années et forniquent toujours dans le même lit dans la fidélité la plus totale, au niveau du son/grain/couleur (on se croirait sur un CD sorti dans la fin des 80’s) par delà l’esthétique même.
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