
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Qui veut écouter du Black Métal puissant, brutal, bien produit et très correctement exécuté ? À ceux-là, je ne peux donc que conseiller d’écouter le nouveau Devourer, Dawn of Extinction : huit compositions extrêmement efficaces dès lors qu’il s’agit de bombarder l’auditeur.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Ne serait-ce que grâce à des groupes comme Enthroned (qui nous promettent une bombe atomique en juin avec leur nouvel album Cold black Suns), Saqra’s Cult ou Paragon Impure, on a de bons souvenirs de la scène black metal belge.
Pour leur nouvel album, le troisième après Vrondor I : Epitaph of Mass-Destruction (2007) et Vrondor II : Conducting the Orchestra of Evil (2009), tous deux réussis, Thronum Vrondor a recruté un nouveau chanteur en la personne de SvN (Dodengod, ex-Anesthesy, ex-Fleshmould) et reste ancré dans un Black Metal très cru, surtout très rapide, à l’intensité remarquable…
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10.
J’ai sans doute écouté un peu trop vite un lien promotionnel concernant Blodskam car j’avais souvenir d’un titre dissonant, limite Ambient, chose que je ne retrouve absolument pas dans ce premier album du duo suédois Là-bas.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
L’été 2016, je découvrais Astrophobos avec leur EP Enthroned in Flesh (chronique ici) qui proposait une vingtaine de minutes d’un Black Metal mélodique aux forts relents des Dissection, Dawn, Mörk Gryning, Naglfar ou Sacramentum, avec des côté deathisants que ne renierait pas Necrophobic. Depuis ? Deux singles, “Simulacrum” en 2017, “Begotten in Black” l’an dernier et enfin ce Malice of Antiquity, deuxième full length après Remnants of forgotten Horrors.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10.
Un poil mystérieux, ces gens là ! On sait qu’ils sont chiliens, qu’ils ont formé le groupe en 2017, qu’ils sont apparemment quatre si l’on en juge par les photos promos, que cet EP Thy Will be done est leur première sortie studio, qu’ils ont un Facebook et un Youtube et qu’ils pratiquent un Black Metal très cru, principalement (très) rapide et qu’ils n’hésitent pas à coller des atmosphères sombre pour illustrer leur propos.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10.
Sortie initiale : 24/12/2018
Je profite de la réédition vinyle de Trouvère à heures perdues pour dire un mot sur ce dernier et septième album de Sale Freux, formation française de Black Métal qui jouit déjà d’une solide réputation dans et en dehors de nos frontières.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10.
Comme cela est annoncé sur leur site officiel, les Allemands de Darkened Nocturm Slaughtercult pratiquent donc du Pure Fucking Black Metal. De toute façon, compte tenu de l’esthétique de la formation (photos, logo, pochette), il aurait été de toute façon difficile de se méprendre quant au contenu de Mardom, sixième album d’une discographie qui commence à être conséquente.

Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10
Pourquoi être plusieurs quand on peut mener à bien (ou à mal, parce que le bien est une insulte dans le vocabulaire du Black Metal, pour bien caricaturer). En 2004 naît le projet d’un homme, Thomas Eriksen, multi-instrumentiste talentueux qui a trouvé sa voie (et voix) dans le Black Metal. On lui compte deux EP et trois albums à ce jour.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Ne serait-ce que grâce à des groupes comme Enthroned (qui nous promettent une bombe atomique en juin avec leur nouvel album Cold black Suns), Saqra’s Cult ou Paragon Impure, on a de bons souvenirs de la scène black metal belge.
Pour leur nouvel album, le troisième après Vrondor I : Epitaph of Mass-Destruction (2007) et Vrondor II : Conducting the Orchestra of Evil (2009), tous deux réussis, Thronum Vrondor a recruté un nouveau chanteur en la personne de SvN (Dodengod, ex-Anesthesy, ex-Fleshmould) et reste ancré dans un Black Metal très cru, surtout très rapide, à l’intensité remarquable…
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Ström) : 7/10.
Le Black Metal est à mon sens un des genres musicaux les plus individualistes, en atteste la quantité énorme de one-man-bands dans le style, le besoin de mentionner le caractère solitaire et presque onaniste de certaines créations provenant sans doute de l’attente de l’auditeur vis-à-vis de tout ce qui découle du rock et de ses trios et quatuors mythiques qui habitent notre mémoire.














