Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 5/10
Pourquoi diable Kampfar nous sort un tel album ? Pourquoi un tel intrus dans cette belle discographie, bordel ? Pourquoi utilisé-je ces termes ? Tout simplement parce que c’est le plus mauvais, le pire ! Au revoir – ou adieu ? – le bon vieux Black Folk/Pagan (même s’ils ont eu des périodes de pur Black, mais du bon, alors !) que nous livrait Kampfar et bonjour le Black bancal… Grosse déception de la part d’un groupe que je respectais beaucoup ! Bon, j’exagère légèrement, ça s’écoute mais ça ne se réécoute pas !
Je garderais tout de même quelques titres : l’éponyme « Profan », tantôt ambiant, tantôt pêchu avec quelques passages sympas, ou encore « Daimon », ainsi que cette moitié ambiant à partir de 3:05 de « Pole In The Ground » où le clavier fait acte de forte présence et casse la monotonie de cet album… Histoire d’être sympa, je ne vais pas couper la poire en deux et garder tout le morceau. Sinon tout le reste de l’opus est trop linéaire et homogène, au point qu’on a l’impression de réécouter le même morceau à chaque fois.
Si son prédécesseur, Djevelmakt (2013), était bon mais pas très bon, ce nouveau, Profan, marque une baisse niveau notable. Hé oui, certains progressent et d’autres régressent… Un moyen pour préserver l’équilibre nul dans ce monde ou contrecarrer la théorie de l’évolution. A méditer en écoutant autre chose que cet album. Le seul gros plus de Profan c’est la pochette !
D’ailleurs, avis de disparition du violon présent dans les précédents albums, même ponctuellement, ici il n’y en a aucune trace !
Dans les oubliettes…Next !
Tracklist:
1. Gloria Ablaze
2. Profanum
3. Icons
4. Skavank
5. Daimon
6. Pole In The Ground
7. Tornekratt
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