Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

Je n’ai jamais caché mon côté à la limite du “C’était mieux avant” tant ma nostalgie envers les années 80 et l’explosion de ce qui fait encore aujourd’hui une grande partie de ma culture musicale actuelle est énorme.
A peine adolescent avec un budget musique équivalent à celui que j’allouais à la crème Clearasil, j’ai pris les débuts du speed, du thrash et du black metal en plein dans ma figure pleine de comédons.
Autant dire que toutes ces petites impuretés en ont pris plein les oreilles, et moi avec !

Note du SoilChroniqueur (Mike Edward Teach) : 8/10

Beastö Blancö, que de souvenirs !
Comment oublier mon tout, tout, tout premier concert de ma vie, avec ma bande de potes à la date du 8 décembre 2017, par une froide soirée d’hiver, à l’Ampérage (Grenoble) ?
Et pourtant, qu’est-ce que c’était chaud.

Note du SoilChroniqueur (Mike Edward Teach) : 8/10

“Je n’ai pas besoin d’une maison extravagante, pas d’enfants, de voiture, de femme horrible. La seule chose que je veux, c’est ce que mes parents ne veulent pas : être dans le grand livre du heavy metal.”
Ce couplet est tiré du morceau “Book Of Heavy Metal” de l’album du même nom, je pense que, comme moi, tous ceux qui l’ont écouté ont eu des frissons, et en cela résume notre passion, voire pour certaines personnes un mode de vie pour notre Metal préféré, bien que cela soit un peu cliché et extrême, je vous l’accorde.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

“Mayhemic destruction, death’s the call
Crushing with abduction, wants to kill them all
Eternal devastation, oozing with pain
Manifestation, live for Satan’s reign
Mayhemic destruction !” (Mortal Sin, 1987)

Il est de bon ton d’avouer que, lorsqu’on me parle de thrash metal et de “Mayhemic”, je ne pense pas de suite à cette formation de black / thrash metal Chilienne, mais bien de la bourrasque australienne et éponyme de 1987 que Mortal Sin avait sortie en 1987 sur l’album “Mayhemic destruction”.
Et pour les point communs, on ne va pas aller beaucoup plus loin.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

Je ne sais pas ce qu’ils mettent dans les Chardons Lorrains, mais, à Nancy, on a quelques formations bien brutales pas piquées des vers. Entre Scarve, Necroscum, Torment, Blockheads et bien évidemment Mortuary, on avait déjà notre lot d’énervés.
Ben v’là-t-y pas qu’on nous en recolle un, dis donc !
Et ceux-là, ils ne sont pas là pour enfiler des perles.
Demonist, que ça s’appelle.
Et ils ne sont que trois pour foutre tout ce bordel…

Note du SoilChroniqueur (Yaiba) : 8.5/10

Depuis que j’ai découvert le monde de Rivers of Nihil avec leur album « Where Owls Know My Name » en 2018, j’attends avec impatience chaque nouvelle sortie du groupe.
L’annonce d’un nouvel EP a donc immédiatement éveillé ma curiosité.

Note de la SoilChroniqueuse (Musta) : 7,5/10

Forgotten Tomb est un groupe de black metal italien fondé en 1999 par Herr Morbid.
Initialement un one man band, Forgotten Tomb comptera de nouveaux membres à partir de 2004 lors de la sortie de Love’s Burial Ground. Les deux premiers albums, Songs To Leave et Springtime Depression sont des chefs-d’œuvre de la scène Depressive Black Metal.
Le groupe propose de nombreux albums et évolue progressivement vers du black metal plus accessible avec des influences doom et goth. L’ensemble de la discographie des Italiens est très convaincante et cohérente, mis à part, peut-être, We Owe You Nothing, paru en 2017.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

S’il est une qualité à reconnaitre chez certains groupes de thrash metal old school, c’est bien celle de l’authenticité. Et le groupe de Palerme, Ireful, formé en 2019, a indéniablement ce trait de caractère.
On ne va pas se mentir, ce premier album après un EP “The walls of madness” en 2021, a tout ce que peut demander le fanatique du genre qui ne cherche pas sa révolution.

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7/10

Salut les gens !
Aujourd’hui, on va donner dans le crossover / thrash metal du groupe canadien Supermodel Taxidermy.
Après pas mal d’EP, voici leur premier « vrai » album qui a pour nom « At What Cost ».

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

Que font le bassiste qui chante Ryan Waste et le guitariste Nick Poulos quand il ne sont pas pris par Municipal Waste ni par Volture, leurs deux autres groupes ?
Ils jouent pour un autre ! Bonne réponse !