
Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10
Il y a quelques années, je suis tombé en arrêt face au titre « Trend Killer », tiré de l’album « Exit Wounds » du groupe de thrash / death metal suédois The Haunted. C’est devenu un de mes « hits » préférés, dans mon best of personnel. Cette composition voyait le retour du chanteur Marco Aro au sein du groupe, avec son gosier perpétuellement en colère, genre hardcore. Un groupe au parcours inégal avec de très bonnes galettes et d’autres plus « tièdes » en recherche d’expérimentations pas toujours réussies.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
“J’aime la musique italienne”, qu’elle m’a dit ! Pour un premier rendez-vous Tinder, ça partait bien. L’Italie, le romantisme, Venise, une certaine idée de la sophistication et de la sensualité. J’étais de suite séduit ! La rencontre s’était faite dans un bar, tranquille, au calme, à l’ambiance lounge et tamisée. On apprenait à se connaître, se parlant gentiment, calmement, les yeux dans les yeux, nos mains se cherchant de temps en temps, la complicité naissante, la soirée parfaite. “Tu viens boire un dernier verre à la maison ?”, qu’elle me dit ! Un peu mon n’veu ! Plutôt deux fois qu’une…
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
C’est ainsi : tous les deux-trois ans, les Allemands de Lord Vigo reviennent avec un nouvel album sous le bras. Et comme tous les deux-trois ans, il finit comme album de chevet dans la CDthèque bien fournie de votre serviteur, On ne va pas se mentir, Lord Vigo est totalement incapable de produire un mauvais album ! Encore aujourd’hui, trois ans après le sublime “We shall overcome”, je continue de me mettre l’ébouriffant “Natural habitat” dans mes playlists. C’est dire si ce titre m’a marqué, à l’instar des trois derniers albums du groupe.
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Photographe : Cassie di Carmilla
Reporter : Quantum
Gardes-vestes et courageux conjoint(e)s : Anne-Lise et Jérémy
Quel bonheur pour moi de reprendre enfin la route du Beaujolais ! Décidément, je ne pensais pas que revenir à Lamure-sur-Azergues me procurerait autant de joie. Il faut dire que l’édition précédente, je l’avais ratée pour des raisons personnelles mais surtout impérieuses.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Ce qu’il y a de sympa avec Raskal, le boss de Steel Shark Records, c’est que – sûrement parce qu’on est de la même génération – on a quasiment la même vision du hard rock et du heavy metal et que nos goûts respectifs sont du coup assez similaires.
Aussi, lorsqu’il me propose un de ses coups de cœur musicaux – et vice versa – nous tombons assez rapidement d’accord.
Donc, lorsqu’il me présente un groupe qu’il a signé sur son label (>> ici <<), je sais plus ou moins d’avance à quoi m’attendre et il y a de grandes chances que j’apprécie. Ce ne sont pas les groupes Witchspëll, Leather Witch, Bastet ou Midnight Race qui diront le contraire.
Bref, là, je me retrouve avec le premier album, “Final defiance”, des Rouennais de Steel Razor et ce n’est pas encore cette fois-ci que je vais changer d’avis concernant ma confiance envers ce label.
Mieux que ça, le quatuor normand fait partie de mes coups de cœur de ce printemps.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 10/10
En 1987, alors au lycée, je me délectais d’un live que bon nombre, dont moi, considèrent encore aujourd’hui comme un des plus beaux jamais sortis dans le monde du rock : “Live in the city of lights” des Ecossais de Simple Minds.
Un pur bijou regroupant les plus beaux titres sortis jusqu’alors par la bande à Jim Kerr, enregistré – hormis le titre “Someone somewhere (in summertime)” à Sydney – au Zenith de Paris les 12 et 13 août 1986, soit il y a bientôt 39 ans.

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Et c’est la troisième et dernière journée du Frontiers Rock Festival qui commence. Je ne suis, comme la plupart de mes copains, plus aussi fringuant qu’au premier jour. Et si vous pensez que, peut-être, je me fais vieux, je vous invite à vivre au moins une fois cette expérience et à venir voir en direct live la prochaine édition de ce fest.
Quoi qu’il en soit, c’est encore une sacrée journée qui nous attend avec des noms pour le moins prestigieux ! Allez go, je rentre dans le Live Club.

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Après la très bonne journée d’hier et après avoir profité largement de la douceur de vivre à l’italienne, me voici de retour devant le Live Club pour la deuxième journée du Frontiers Rock Festival 2025 et, rien qu’à l’affiche, ça promet du bon, voire du très bon.
Une grosse pensée pour Ti-Rickou qui devait couvrir ce fest avec moi mais qui a malheureusement dû être hospitalisé il y a deux jours. Je vais donc profiter pour deux. C’est parti !

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Quelle joie de revenir en Italie pour l’Edition 2025 du Frontiers Rock Festival ! Je n’ai pas pu m’empêcher de profiter un peu en amont des joies de l’Italie et c’est après une nuit revivifiante dans le Val d’Aoste que j’arrive au moins deux heures avant le début du fest à Trezzo sull’Adda, commune proche de Milan. Il faut dire que je connais bien l’endroit pour avoir déjà fait deux Frontiers Fest dont le dernier d’avant le confinement. En plus, j’aime beaucoup le Live Club. Comme je m’y attendais, je retrouve plein de copains français qui ont fait comme d’habitude le déplacement mais je retrouve également des copains italiens rencontrés lors des précédentes sessions. Comme vous l’aurez compris, le Frontiers, c’est une grande cousinade !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
Par soucis d’honnêteté, je me dois de reconnaitre que ce troisième et avant-dernier album d’Hexenhaus n’était pas et n’est toujours pas mon préféré des trois premiers que ROAR réédite pour ce mois de mai 2025.
Même si le groupe semble avoir gardé la recette de ce thrash metal technique qui a fait sa renommée avec les excellents “A tribute to insanity” et “The edge of eternity”, on ne peut pas non plus leur reprocher une perte d’inspiration, leur talent de composition n’étant pas remise en cause. Mais on a quand même l’impression de tourner en rond.
Beaucoup de technique, de changements de rythmes et / ou d’atmosphères comme pour les deux premiers albums mais les titres se veulent (encore) plus complexes et moins faciles d’accès que leurs prédécesseurs.
C’est avec un nouveau bassiste en la personne de Conny Welén (qui fait les beaux jours des excellents Mezzrow) remplaçant haut la main le très bon Marty Marteen que le quintet suédois donne le jour à ce troisième album.














