Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Dans les bonnes surprises de l’été, on peut parler de ce premier EP du quintette Sabotage, qui arrive à retranscrire la furie et l’urgence des premier albums des groupes de thrash de la Bay Area dans les mid eighties. Formé en 2018, Sabotage sort deux singles (“Freedom incomplete” et “Against your will ready to kill”) la même année, avant cet EP “The order of genocide”, en digital et en autoproduction.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6/10

Pour un album tel que « Trinity of Deception », je vais me contenter de rester factuel car si je pars dans la description littéraire, je n’aurais définitivement pas grand-chose à dire sur ces sept titres.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 5/10

Un premier album avec plein de titres à parenthèses pour dire que ce sont des rééditions, des versions orchestrales et des featurings, ça me laisse d’emblée Noté. Cela pue à plein le nez le remplissage inutile, le truc pour dire que, quand même, on ne va pas faire un pauvre EP dont tout le monde va se foutre alors, hop, les petits plats dans les grands et, surtout, on fait les fonds de tiroirs.

Interviewé : Michael (basse/chant)

Intervieweuse : Bloodybarbie

Note de la SoilChroniqueuse (Balkiss) : 8,5/10

Wow ! Laissez-moi vous dire que c’est quand même du lourd ! In Mourning se surpasse sur cet album ! « Gardens Of Storms » est le troisième volet d’une trilogie débutée en 2012 avec « The Weight Of The Oceans » (qui se trouve être mon préféré) et continuée en 2016 avec « Afterglow« .

Note du SoilChroniqueur (Arno) : Je ne veux me fâcher avec personne/10

C’est sûr, je ne suis pas le mieux placer pour parler de Rob Halford et de sa carrière. J’avais bien aimé Fight mais, mis à part « Painkiller » (1990), je n’ai jamais été très friand de Judas Priest. Alors pourquoi parler aujourd’hui de « Celestial », cinquième album sorti sous le nom de Halford ? Peut-être parce qu’à l’approche de Noël, j’ai envie de magie, de comptines, de refrains entraînants, de chansons qui font « hohohoh » (« Morning Star »)… bref, de me reposer les oreilles et le cerveau.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8/10

Originaire d’Ile-de-France, Hatred Dusk renaît de ses cendres en 2016 après une longue pause. Le groupe se forme dans les années 90 et sortira trois démos de cette époque jusqu’à l’arrêt en 96.
2018 verra la parution d’un EP de trois titres, dont deux sont issus d’une de leur démos, que l’on retrouve également sur leur premier album, au titre éponyme qui parut fin novembre, signé par Mystyk Prod.

Note du SoilChroniqueur (Le Révérend) : 8,5/10

La scène Doom actuelle n’a plus grand-chose à voir avec celle de la fin des années quatre-vingt.
Les fans comme les groupes se sont multipliés au fil des années, évoluant, en accouplant la musique originelle avec d’autre style, tel le Sludge, Stoner, Psyché, etc.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Fallait oser ! Là où Manowar a perdu à peu près 210% de crédibilité – du moins en France – après son refus de jouer au Hellfest pour des raisons dont, finalement, on se contrefout, on se retrouve à écouter le premier album d’un Steavy Metal qui arrive à nous balancer une musique au moins aussi kitsch que celle des guerriers vieillissants, avec une efficacité qui en laissera plus d’un pantois !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Une fois n’est pas coutume, et je préfère prévenir de suite…