Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Birdflesh.
Trio suédois.
Groupe déconneur et plein d’humour.
Grindcore, crust.
27 années de carrière.
Six demos, deux EP, douze splits, deux lives, une compilation, cinquième album !
Premier album depuis The Farmer’s Wrath en 2008.
24 titres courts.
27 minutes de furie furieuse.
Donc titres très courts.
Donc chronique courte, avec phrases courtes !
Outrance musicale non-stop du début à la fin.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10

En matière de Death Metal, il n’est pas toujours possible de se prendre des baffes du niveau d’un Mass Infection sur Shadows Became Flesh (2018) par exemple, mais ce n’est pas pour autant qu’il faut arrêter de rechercher de la nouveauté car l’excellence n’est peut-être pas loin. D’où l’écoute du premier album des Portugais de Nihility : Thus Spoke the Antichrist. Huit titres, moins de trente minutes de musique, on sent déjà que les gars ne sont pas là pour faire dans la dentelle et éterniser leurs histoires morbides, ça va droit à l’essentiel.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8/10

« Pour détruire la racine du mythe, il faut anéantir la semence même de l’homme. » — Robert Marteau

J’ai une histoire assez particulière, presque mythique, avec Mythark. Outre nos scènes partagées (surtout une magnifique à Saint-Étienne avec le fameux spectateur qui se jetait telle une mouche écrasée sur les murs de la salle en hurlant « Mythaaaaaaaaaaaaark »), j’ai toujours suivi avec attention l’avancée à petits pas de ce groupe qui a su se bonifier avec le temps qui passe pour sortir un premier album. Pourquoi ? Pour deux raisons : l’une, parce qu’ils sont très sympathiques ! Et l’autre, parce que leur musique mérite tout notre intérêt car ils officient dans un genre dont on a toujours le sentiment intrinsèque d’avoir fait le tour : le black symphonique.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 5/10

Je ne peux pas faire comme si je ne savais pas. Je possède Visceral Massacre Memorabilia (2008) et Opusgenitalia (2006), j’ai vu la formation sur scène lors de la dernière édition du Netherlands Deathfest, je ne pouvais donc pas m’attendre à adorer le dernier album de Holocausto Canibal : Assintonia Hertziana.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,999/10

24 mars 2017 : For the Fallen
23 mars 2018 : The Silent Vigil
21 juin 2019 : Requiem for Mankind
Je ne veux pas rouspéter ni froncer le sourcil, messieurs de Memoriam, mais pouvez-vous m’expliquer ce retard de trois mois dans la livraison de ce nouvel album ?
Non, parce que, quand on habitue les fans à une telle régularité et surtout à un tel niveau musical, il faut s’attendre à ce qu’on soit un tantinet exigeants !

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10

Il est difficile de concevoir que les Américains de Seraph in Travail, pour leur second album, ne soient toujours pas signés car, à l’écoute de ces huit titres pour près d’une heure de musique, je ne vois que des arguments en leur faveur. Des arguments en leur faveur pour obtenir un contrat, pas forcément des arguments qui attireront mes faveurs, ce n’est pas la même chose, il y a au moins une des deux composantes dont les musiciens se moquent très probablement.

Intervieweur: Celtikwar
Interviewé: Laurent

Suite à la programmation de trois groupes du label Finisterian Dead End au Hellfest 2019, Soil Chronicles retrace avec Laurent l’histoire entre le festival et le label.

Note de la Soilchroniqueuse (Skyline) : 9/10

Un nouvel album du quatuor suisse Monkey3 est toujours une invitation au voyage qu’on attend impatiemment dans le hall de l’aéroport pour un vol qui nous fera planer. Et cette attente a duré 3 ans. Me concernant, je dirais plutôt 6 ans. Un peu déçue par Astra Symmetry, sorti en 2016 après le brillantissime The 5th Sun, je me demandais si le groupe allait réussir à me reconquérir. 

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10

Allez, je vais prendre quelques minutes de ce savoureux dimanche pour vous toucher un mot d’une toute nouvelle formation Black Metal venue d’Australie, Altar Defecation, et de son premier EP, Anno Domini Luciferum.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

Quand la bio nous dit que « Deflesher est un groupe de death metal fondé en 2013 en région parisienne. Leur musique est inspirée par les plus grands noms du death metal et allie la puissance et le groove des riffs lourds avec la rapidité et la technique, qui pourrait leur donner la place du maillon manquant entre Cannibal Corpse et Slayer.