Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Qu’a fait Brett Clarin entre 1996, date de sortie de son premier album « Life Is a Near Death Experience » et 2020 où paru « Multitudes of Emptiness » ? Je n’en sais rien mais sa productivité au sein de Journey Into Darkness semble être revenue puisque « Infinite Universe, Infinite Death » est encore tout chaud.
Un troisième LP donc, toujours dans une veine black symphonique très dans l’esprit Emperor – Limbonic Art, sans arriver au niveau de ces derniers mais sans pour autant être ridicule, pas mal pour un type tout seul !
En effet, l’utilisation des claviers est particulièrement judicieuse, tantôt en nappes propices à la création d’ambiances astrales (« Scattered Amongst the Stars ») tantôt en tant que « vrais » instruments avec des partitions qui rehaussent judicieusement les guitares.
Le chant est également l’un des points forts, bien hystérique et criard, la clarté de la production permettant de le discerner clairement au milieu des autres instruments.
Alors certes Journey Into Darkness reste de la troisième division mais il porte bien son nom. Il y a une dimension spatiale fort bien transcrite et l’on se prend assez vite à s’immerger dans cet univers froid issu des années 90.
Tracklist :
1. Leave This Place
2. Infinite Disillusion
3. Scattered Amongst the Stars
4. Cosmic Knot
5. Impossible Universe
6. Infinite Universe, Infinite Death
7. The Briefest Moment
8. Entanglement
9. Infinite Universe, Infinite Death (Arranged)
