
Note du Soilchroniqueur (MetalFreak):7/10
« Le nom du groupe, Dead Cowboy’s Sluts, a été choisi pour rendre hommage au groupe Pantera et à ce type de métal qui aujourd’hui est plus ou moins d’un autre temps. Le mot Cowboy vient du morceau « Cowboys From Hell » de Pantera, le mot Dead a été choisi parce que ce groupe a splitté, et les Sluts c’est nous (rires). »
C’est en ces termes que le groupe annonce la couleur pour décrire l’origine du nom de leur groupe pour le moins original et revendiquent leurs influences du côté de Pantera, Slayer, Lamb Of God ou The Haunted.
Lire l'article

ThunderWarrior se penche maintenant sur la carrière des américains de Overkill.
Voici la première partie de la sage des thrasheurs New Yorkais
OVERKILL ou les Thrashers rebelles & qui ne renoncent jamais !
Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 09/10
Il n’est pas beau celui là ?
Après quelques albums un peu plus en dedans, les cinq New-Yorkais d’Overkill nous gratifient coup sur coup de deux albums hallucinants.

Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 08/10
Décidément, depuis que Max Cavalera avait claqué la porte de Sepultura, on commençait sérieusement à se demander, après écoutes et chroniques des albums de chacun des deux clans, que ce soit les Seps version Derrick Greene d’un côté, ou Soulfly de l’autre, si un jour on allait avoir droit à un album de la trempe d’un « Chaos A.D. » ou de « Beneath the remains ».
Lire l'article
Note du soilchroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Venu tout droit d’Italie, ce trio de thrash metal progressif est une excellente surprise de par sa qualité. Evoluant dans une veine à croiser entre Mekong Delta, Death Angel des débuts et Watchtower, ces Napolitains, dont deux ex-Power Beyond, ont fondé le groupe en 1994 puis sorti deux démos en 1999 et 2009, cette dernière faisant la promotion de deux titres (« Etereo » et « Mind surrounds… ») plus l’intro (« Antimateria ») de l’album à paraître, avant de nous offrir ce « The involution philosophy » réalisé tout d’abord en autoproduction avant de signer chez Pure Steel Records et le ressortir chez eux.
Résolument old school, comme l’ont été des « Victims of deception » de Heathen, « Control and resistance » de Watchtower ou un certain « Master of puppets », « The involution philosophy » regorge de titres à tiroirs entre cinq et neuf minutes bien influencés par ces albums cultissimes : à ne pas s’y tromper, si on enlève l’intro d’une trentaine de secondes, on se retrouve avec sept titres pour 48 minutes.
Lire l'article














