
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10.
Un petit EP quatre titre histoire de patienter un peu, pourquoi pas. L’initiative peut être sympathique. Il faut dire que si le dernier album date de 2016, ils nous avaient quand même bien fait poireauter entre les précédents Defiance et Wildfire. Putain, sept ans quand même !
Philip H. Anselmo & The Illegals – Choosing mental Illness as a Virtue ...
par Bloodybarbie
Note du SoilChroniqueur (Erikillmister) : 10/10.
Ce qu’il y a de bien avec Phil Anselmo, c’est qu’il ne laisse jamais personne indifférent. C’est le mec que l’on adore détester ou que l’on déteste adorer. Anselmo, est un grand, une immense figure de la scène heavy, dont il a révolutionné le style avec le formidable Pantera.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 9,5/10.
Sortie initiale : 17/03/2015
Note de l’auteur : cette chronique est initialement parue en 2015. Elle n’a pas été retouchée pour la réédition en vinyle.

Note du SoilChroniqueur (SebLag) : 8,5/10.
Lors de mes premières recherches sur le groupe j’ai pu constater que le groupe était classé
dans un registre de « Flamenco Death Metal ». Pour être honnête, j’appréhendais le résultat de ces mélanges de genres.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 9/10.
Je n’aime pas trop la ramener avec des remarques du style « c’était mieux du temps de leur premier album » mais si je devais choisir entre « Portal of I » et « Urn », je n’hésiterai pas un seul instant.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8/10.
Mon premier et unique contact avec Der Weg einer Freiheit remonte à l’année 2014 où ils passaient en première partie d’Ensiferum et Frosttide. D’emblée, j’ai été surpris par la mélancolie qui se dégageait de leurs morceaux et qui tranchait ostensiblement avec le côté épique folk des autres groupes. On ne fera pas de débat sur les incohérences dans les affiches mais du coup, j’avais eu beaucoup de difficultés à pénétrer leur atmosphère puisque j’étais préparé à des ambiances plus « dansantes ».

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10.
Après des titres d’albums parodiant Cannibal Corpse (« Blunted at Birth », « Tube of the Resinated », « The Weeding ») ou Gorguts (« From Wisdom to Baked »), Cannabis Corpse fait un beau clin d’oeil à Entombed sur cette cinquième sortie : « Left Hand Pass ».
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Note du Soilchroniqueur (Forlorn) : 7,5/10.
Du surréaliste Dark Metal Cabaret norvégien ! Oui, j’ai conscience que vous n’aviez sans doute jamais entendu ces mots prononcés dans la même phrase auparavant mais comme quoi tout est possible dans le merveilleux monde de la musique.

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 9/10
Septicflesh, avec ou sans espace entre les deux mots, a l’habitude de nous gratifier d’un chef-d’œuvre pour chacun de leur opus… Pourquoi en serait-il autrement avec Codex Omega ?
Tiens, c’est vrai ça ! Pourquoi ? Parce que je vais être un peu plus mitigé. Évidemment, on entre tout de suite dans la subjectivité et d’autres s’enquerront d’aller l’écouter et de considérer que je suis un sale con pinailleur, et ils auront surement raison, mais je précise que c’est en grand amateur des grecs – je parle de la nationalité du groupe, pas que des sandwiches idoines, même si je n’ai strictement rien contre non plus – que je me permets de faire cette prime remarque. Pourquoi, disais-je donc… A cause d’une « facilité » (le terme est éminemment relatif quand on connait la complexité des morceaux de Septicflesh) peu coutumière dans leur musique… Pire, j’ai eu une impression de « chant du cygne ».
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10.
Putride… Des fois, un simple mot peut suffire à décrire ce qu’on entend ! Pour le genre de musique pratiqué, c’est plutôt flatteur.














