Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie): 9/10

Voilà enfin ! La sortie tant attendue des maîtres fondateurs du black métal atypique, qui ont trouvé la formule magique pour faire de la musique orientale un véritable monstre ! En d’autres termes (vision de blackeux), qui ont rendu les mélodies d’orient encore plus belles, un concentré de brutalité mélodique parsemé de cette fraîcheur d’orient… C’est la définition de l’alchimie en métal : l’art de métalliser tout ce qui ne l’est pas ! En tout cas, c’est un art dont Melechesh maitrise les arcanes à merveille ! Comme je le dis toujours, c’est musicalement le côté obscure, l’alter-égo, de leur compatriote Orphaned Land.

Note du SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 8.5/10

Dans le dictionnaire métal, juste après Avatar se trouve le suédois Avatarium, même si ce sont deux styles différents. Trois lettre de plus et on passe du batman métal à du doom nuancé stoner agréablement surprenant.

Note du SoilChroniqueueuse (Bloodybarbie) : 8.75/10

Ce qui est le plus attrayant chez Sylosis après leur magnifiques artworks, c’est leur musique (non sans blague!) !
Sylosis est un groupe anglais qui puise sa source dans les profondeurs ténébreuses du Death/Thrash et qui mériterait d’être davantage mis sous la lumière. Mais bon, je ne pense pas que les ténébreux du death supporteraient un seul rayon de soleil !

Live Report : Bloodybarbie

Il ne fallait absolument pas que je rate ce concert et ce pour rien au monde, car c’est peut-être un des derniers concerts de Behemoth avant que Nergal se consacre définitivement à la country. J’avais un infime espoir de les voir un jour en concert dans une église un dimanche matin avec des effets pyrotechniques digne de ce nom (Non Bloodybarbie arrête de rêver)…

Note du SoilChroniqueur (Homer Fry) : 9/10

En France le Hardcore n’est pas énormément représenté ou alors principalement dans la scène underground (Danforth, The Butcher’s Rodeo, 91allstars), ce qui en soit est compréhensible car c’est l’essence même du style.

Note de la Soilchroniqueuse (Balkiss) : 7/10

This morning en Suède… *Mai 2014* : – T’as vu ? Deathstars va sortir un nouvel album ! – J’ai vu, j’ai vu… Je ne sais pourquoi, mais je ne me suis pas jetée sur le dernier né de «Marilyn Manson et Rammestein ont fait des bébés suédois»…

Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Décidément, Norbert Mandel, propriétaire d’une des plus grandes salles de concerts de Suisse, le Z7 à Pratteln, lorsqu’il a de bonnes idées, il ne fait pas semblant. Conseiller à Stefan Schwartzmann, batteur d’Accept, de monter un groupe avec son compère guitariste Hernan Franck et le bassiste / chanteur de Destruction, Marcel « Schmier » Schirmer, c’est quand même couillu.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10

Sous prétexte que Carcass se reforme, je ne vais pas vous faire le long et fastidieux exercice de la biographie. Je me contenterais juste de préciser que, contrairement à beaucoup de puristes, j’ai commencé à apprécier les Anglais avec Necroticism et surtout Heartwork, ce dernier restant selon moi le meilleur album de Death Métal mélodique qui soit, bien devant la soporifique scène suédoise & Co., aussi je ne m’attendais pas vraiment à un retour en grâce du Grind.

Note de la SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 7.5/10

Le saviez-vous ? Que Dani Filth, notre cher vocaliste (aimé ou détesté par la communauté métal) avait (sérieusement) rejoint un autre groupe en 2013 nommé Devilment !
Personnellement, je ne le savais pas avant de recevoir cet album à chroniquer, et je découvre ses cris bien distinguables dès le premier morceau de ce premier album nommé The Great And Secret Show, sorti le jour même d’Halloween, et ce n’est pas un hasard…

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 5/10

Sans vouloir faire de ségrégation, j’avoue que je n’ai jamais été trop attiré par la scène extrême polonaise car, même si je lui reconnais de grande qualité musicale et un savoir-faire indéniable pour la production, je trouve généralement que c’est du travail trop léché qui ne correspond pas à ce que j’attends du Death Métal.

Ainsi, Decapitated a beau être une des pointures de cette scène depuis la fin des années 90, je n’en ai jamais écouté, Blood Mantra étant mon premier contact avec la formation. Il me sera donc impossible de situer cette œuvre par rapport aux précédentes, à l’auditeur chevronné de faire les déductions qui s’imposent quant à l’évolution stylistique et au bien fondé de mes arguments.