
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 9/10
Être la Metal Queen est une titre qui se mérite.
On ne peut pas s’autoproclamer Metal Queen, il faut se battre pour mériter ce statut. C’est à force de headbang , de poings levés et de passion donnée à son public que Doro est devenue l’acclamée Metal Queen. Une reine depuis trente ans.
Trente années se sont écoulées, et qu’est ce qui a changé ? Seulement l’age du public venu assister à la célébration, les premiers adorateurs ayant quelques cheveux blancs viennent avec leurs enfants pour l’événement. Le temps par contre n’a pas d’effet sur la belle Doro et glisse sur sa belle chevelure blonde.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
Affreux, sale et méchant, telle pourrait être la définition de ce nouvel album de Nails : « You Will Never Be One Of Us ». Tous les trois ans (jusqu’à présent), le trio américain revient nous mettre la tronche dans les chiottes avec son Powerviolence radical dont l’approche Noise met tous les curseurs de bienséance dans le rouge. Les grincheux feront remarquer que dix titres pour seulement vingt minutes, avec en plus un « They Come Crawling Back » qui en fait à lui seul la moitié, c’est peut-être abusé mais n’oublions pas que l’on parle de Grindcore : même les plus acharnés reconnaissent que c’est suffisant tant l’agression constante serait difficilement supportable sur une plus longue durée.
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Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 2/10
Amis scato, voici un beau tas de merde pour vous. Amis sado, si vous voulez torturer un mélomane digne de ce nom, alors attachez le et mettez lui cet album à fond. Amis maso, si vous voulez vous auto-torturer, alors essayez d’écouter ne serait-ce qu’un demi-morceau (à jeun, pour éviter tout risque de gerber et vous salir).
Mes chers amis, les autres moins déviants, si vous avez un peu de respect pour vous-mêmes et surtout pour ce qu’on appelle “Musique” ou “Metal”, alors épargnez-vous ce supplice, ça ne serait qu’une perte de temps et d’argent. Pour ma part, je suis SM (mais pas trop scato, j’avoue) et surtout chroniqueuse, donc je me dois d’écouter au moins deux fois avant de prendre ma position, et je peux vous dire qu’aussi SM que je puisse être, ces deux fois étaient une véritable punition pour moi – « ce qui correspond bien à la philosophie SM », me rétorquerez-vous, mais j’ai aussi des limites.
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Note du Soilchroniqueur (Valquest) : 7.5 10
Déjà 22 ans d’existence pour les américains de Hatebreed, 22 ans de pur hardcore sur vitaminé, et les voilà de retour avec ce 9ème album ; The Concrete Confesionnal qui disons-le d’entrée va démonter la plupart des albums de hardcore déjà sorti cette année :
L’album démarre avec « A.D » sans fioriture ni intro : Riffs de guitare rapide et massif typés Hardcore comme Hatebreed c’est le faire, une voix puissante telle un lion rugissant à plein poumon et une batterie à 10000 à l’heure qui détruit tout sur son passage. Une chose est sûre, le groupe n’est pas prêt de changer de style ou d’innover bien au contraire.
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Note du Soilchroniqueur (Erikillmister) : 8/10
Coucou, les revoilou ! Je veux parler de nos potes de Grand Magus ! Fidèles à leur habituelle vitesse de croisière, à savoir un CD tout les deux ans, JB Christofferson, Fox Skiner et Ludwig Witt, remettent le couvert en 2016 avec cette fois Nico Elgstrand (Entombed) à la production, le nouveau bébé des suédois s’appelant « Song of Sword ».
Ça démarre très fort avec « Freja’s Choice » sorte d’hymne heavy metal, relayé magistralement par « Varangian » dont le refrain, digne des meilleurs Manowar ne demande qu’a être scandé par des hordes de barbares métalliques headbangant furieusement sur « we are wariors » ; Ça se calme un chouia ensuite, du moins le croit-on… Car une fois la myriade d’arpèges chiadés passée, le naturel qui n’a pas vraiment eu le temps d’être chassé revient au triple galop, sous forme d’un « Forged in Iron, crowned in Steel » le bien nommé.
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Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10
Les rois du Goth n’Roll sont de retour ! Quel sacré retour : après leur très bon X (2012) et sans le moindre changement de line-up, voilà que leur 11ème œuvre Universal Monsters surenchérit son prédécesseur, bien que préservant le même style musical. Nos finlandais adorés nous offrent des morceaux plus catchy et mémorables, une signature du groupe encore plus prononcée. Une chose est sûre : le plaisir est garanti et vous le ressentirez dès l’écoute du premier morceau « Dolce Vita ».
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
‘crénom, avec eux, ça ne rigole pas !
Depuis 1977 qu’ils existent, ce groupe qui s’est formé en pleine explosion du punk nous envoie leur septième album full length dans les gencives et celui là, on peut leur accorder qu’il va décoincer plus d’un prépuce emprisonné dans une fermeture éclair !
Septième album certes, mais on compte au bas mot : 7 EP, 4 splits, 10 singles, 13 ( ?) compilations et 4 lives : autant dire que ça ne chôme par chez les anglais…
Huit ans après l’ébouriffant « Disensitise » (2008), les revoilà avec ce « End of days » qui nous envoie en pleine face quinze uppercuts qui tournent autour des deux minutes et dont ils ont le secret !
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8.88/10
Alléluia mes frères et sœurs, le jour est idéal pour prêcher la bonne parole de notre sainte mère l’Eglise du Metal.
Une chose est sure, ce qui anime Metal Church – vous auriez bien compris que c’est d’eux dont je parlais – c’est la Passion ! Si « le pape a dit que l’acte d’amour sans être marié est un péché », eux sont mariés au Heavy Thrash depuis des années et forniquent toujours dans le même lit dans la fidélité la plus totale, au niveau du son/grain/couleur (on se croirait sur un CD sorti dans la fin des 80’s) par delà l’esthétique même.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8/10
« Dieu est trop haut et le tsar trop loin ». Le proverbe russe montre le caractère supérieur de la lignée des maitres de la Sainte Mère Russie durant des centenaires, ainsi que la haute estime qu’on leur porta – mais aussi l’inaccessibilité, d’où le double sens de ce proverbe, traduisible aussi en « débrouille-toi tout seul ». Choisir un titre d’album aussi pompeux que celui-ci, Tsar, tout premier qu’il soit, montre également l’ambition de haute lignée qu’on veut lui attribuer, ou du moins celle qu’Almanac veut lui offrir. Y a-t-il de quoi danser un casatchok à l’écoute dudit album ?
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Note de la soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 5/10
Je ne vais pas y aller par quatre chemins : c’est du moyen, très moyen même ! A quoi bon sortir un album deux ans après son prédécesseur (Runes en 2014) si c’est pour pondre ce troisième essai, Earthbound, aussi banal que l’était le précédent. Un essai, une fois de plus, raté ! Le problème avec Burry Tomorrow, c’est qu’au sein même d’un morceau, on a une moitié d’enfer qui déchire et une autre qui brise tout le charme.
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