Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 7/10

“Dois-je demander comment finira ce monde, ou comment a débuté cet enfer ? » Adonis

Je crois, sans rire, que j’ai vécu en découvrant le groupe suivant, mon plus profond sentiment de jalousie à l’égard d’un groupe. C’est futile, j’en ai conscience et cela relève d’une immaturité psychique totale, j’assume! Mais quand tu vois qu’un groupe est signé chez Nuclear Blast dès son premier album, tu te dis en tant que musicien amateur mais qui a secrètement envie de percer un jour, que la vie est décidément mal faite. Quand tu penses que des mecs prennent toute une vie pour parvenir à signer leur album dans un label, et qu’il y a des groupes sur Terre qui produisent leur premier album tout de suite chez, EN PLUS, un des plus gros labels du monde metal, tu te demandes bien pourquoi on se fatigue des fois.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10

Une fois n’est pas coutume ! En guise d’introduction, à la place d’une quasi traditionnelle citation, je prend un extrait d’interview réalisée par la toujours excellente équipe de Rock Hard pour illustrer ma chronique.

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 9/10

Alors autant vous dire que celui là, le Celte n’ allait pas le manquer.

Déjà qu’il n’ y a pas longtemps TontonFreak s’est découvert une passion pour Crystal Viper (ce qui est tout à fait compréhensible d’ailleurs) (NdMetalfreak : c’est de ta faute, fallait être plus rapide !) et c’est occupé de la chronique de « The Cult« . Je ne voudrais pas faire ressortir la part féminine qui est en moi et ressortir d’anciens dossiers, mais le coup avait déjà été fait avec les françaises de Furies (« Fortune’s gate« ) NdMetalfreak : encore une fois, tu n’es pas assez rapide, petit scarabée).

Note du SoilChroniqueur (Jaymz) : 8,5/10

Les super groupes, ce n’est pas mon truc.
Ça attire forcément du monde par la somme de talents et / ou de personnalités du rock / metal réunies, mais force est de constater que cela fait rarement mouche… sauf pour celui-ci !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10

Enfin !
Enfin, Scour sort le troisième volet d’une trilogie d’EP entamée avec Grey (2016) puis Red (2017).
Depuis ? Un single en 2019 d’une reprise de Bathory (“Massacre”, de l’album Under the sign of the Black Mark avec la pochette originelle de l’album) et enfin ce Black !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10

*** Attention : les clips proposés sont réservés à un public averti ***

Au printemps dernier, à la sortie de l’EP trois titres D.G.A.F., notre Arno spécialiste es-musiques-qui-font-du-bruit concluait sa chronique-express par un direct : « (…) si seize ans après « Necrosis », un nouvel album se prépare et s’il est de ce niveau, cela risque d’être pour le moins gouleyant !« 
Et bien seize ans après, le nouvel album est pour le moins gouleyant !
Point !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10

Tous ceux qui auraient parié que le décès d’un Lemmy, occasionnant par là-même la fin de Motörhead et laissant des millions de hard rockers orphelins, allait mettre Phil Campbell et Mickey Dee à la retraite en sont pour leurs frais.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Mine de rien, Benediction a fêté l’an dernier ses trente années d’existence.
Il était peut être temps de donner un successeur à Killing Music qui, l’air de rien, date de 2008.
Depuis ?
Pas grand chose mon colonel : on a bien eu droit à la ressortie sous forme de compilations de Dark is The Season / The Grostesque, deux EP de 1992 et 1994 (2015) et la collection des albums sortis chez Nuclear Blast (The Nuclear Blast Recordings) en 2018.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10

Depuis leur premier album Breaking the Silence en 1987, la musique d’ Heathen a toujours rimé avec thrash metal de grande classe !

Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 9/10

Il est enfin là ! Ce que nous pouvons dire avec Oranssi Pazuzu, c’est qu’au fil de leur treize années d’existence, le groupe à réussi à se forger une identité musicale très forte en cassant la plupart des codes classiques du Black Metal. Ils ont mis en avant un style psychédélique qui vous conduit tout droit vers un cauchemar musicale expérimental. Ce n’est pas lors de la première écoute que vous arriverez à apprécier toute la dimension de ce Mestarin Kynsi : il va falloir faire preuve de patience pour comprendre tout l’intérêt de cet opus.