
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 5,5/10
Pour une surprise, c’est une surprise !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Quand ils reviennent, ils ne font pas semblant.
Actifs de 1992 à 2004, puis un split, c’est en 2011 qu’ils se reforment avec quasiment le même line up.
Les trois membres d’origine que sont Gilles Pincet (Guitares), Franck Matthieu (Batterie) et Kristoff Henry (Chant) reviennent avec un Depraved plus nerveux que jamais !

Note du SoilChroniqueur (Homer_Fry) : 6/10
A Failing Devotion se place dans cette lignée et mode des groupes Modern Metal, soit un style Metalcore voire Deathcore, qui se répète pas mal, du coup.
Avec son lot de bons groupes mais aussi de mauvais.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Alors là : oui !
Premier album pour ce groupe irlandais formé en 2009 et belle pioche pour M&O Music.
En dix titres pour 46 minutes, Black Svan nous distille un rock / metal progressif de très haute volée aux intonations stoner des plus réussies.

Quand j’ai vu cet artwork, avec ce calme paysage de coucher de soleil et ces néons, ou lasers, je me suis attendu à une sorte d’Electro ou de Dream Pop. Un truc serein et vintage ; doux et tout droit sorti des années 80. Une chose que semblait confirmer le titre de cet album, Starshine, et la police utilisée pour l’écrire, lui, ainsi que le logo du groupe.
Hein ? De l’Electro ? Sur Soil ? Bah oui, mais on est ouverts d’esprit ici. Et puis, de toute façon, cette première impression est trompeuse. Enfin, pas tellement. Enfin, j’y reviendrai. Lire l'article

Besoin d’une bonne dose de Metal pour attaquer la rentré?
A mon avis tu devrais trouver de quoi te satisfaire…
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Voici les dates de concert des artistes de M&OMusic.
Des shows à ne pas manquer.
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Note du Soilchroniqueur (Lusaimoi) : 7,75/10
Découvert sur les planches en première partie d’Hypno5e et Betraying the Martyrs, All Dogmas We Hate m’avait fait une belle impression avec un Deathcore où la technique était au service d’un univers sombre et violent. De plus, l’énergie du groupe ne gâchait rien.
Récemment, je les ai revus avec Conjonctive, et le changement de line-up n’a rien changé au bien que je pensais d’eux.
Il était donc temps que je les découvre en studio. Et c’est chose faite avec Human Wrath, leur second album après Back to Reality paru en 2011 et leur EP Astronomical Distances, il y a un an.
Un nouvel album à l’artwork beau et lumineux, tout comme celui de son prédécesseur, mais aussi inquiétant et sombre, avec une silhouette en son centre, qui gagne le ciel dans une nuée d’oiseaux.
















