
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10.
Troisième album pour le désormais trio de Black Metal slovène Dalkhu, désormais signés chez Godz ov War Productions, eux qui ont sorti leur premier album Imperator (2010) en autoproduction, puis leur deuxième Descend… into Nothingness (2015) chez Sathanas Records.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10.
Je suis surpris que Misanthropic Rage soit toujours parmi nous. En effet, l’écoute du premier album Gates no longer shut m’avait clairement donné le sentiment du one-shot, du truc qui aurait du mal à avancer tant le concept me semblait trop fourre-tout, sans pour autant être foncièrement désagréable. Je m’étais donc trompé puisque le duo nous revient avec Igne Natura Renovatur Integra, album qui contient les mêmes défauts que son grand frère.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8,5/10 .
La scène polonaise regorge de groupe de Death Metal et c’est de ce riche vivier que nous vient Kingdom. Quinze ans qu’ils arpentent des routes pandémoniaques en semant au passage 1 EP et 3 albums, dont le dernier, Sepulchral Psalms from the Abyss of Torment, avait de forts accents blackeux. Ils nous reviennent aujourd’hui avec Putrescent Remains of the dead Ground, signé par le label compatriote Godz ov War.
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Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8,5/10.
Toi, chrétien, adorateur de la croix, toi qui crois que tu vas t’assoir à coté de ton créateur une fois trépassé, passe cette chronique et retourne à tes évangiles. Stillborn te crache à la face un EP 5 titres, Crave for Killing – « envie de tuer » en français -, plein de haine et de rage anti-religion.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10.
Premier album éponyme pour les Américains de Pig’s Blood. Un logo à la Revenge, un style proche des vieux Angel Corpse, sans la technique, ou de Profanatica, en moins malsain, tel est le programme de ces dix titres.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Vraiment étrange ce premier album de Misanthropic Rage.
Empruntant tous les chemins du Black sans jamais en choisir aucun, « Gates no longer shut » a systématiquement le cul entre non pas deux, mais trois ou quatre chaises.














