
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Ce n’est pas qu’un cliché qui a la peau dure, lorsque les Allemands s’y mettent ils sont quand même bien lourdauds, que ce soit dans le Heavy, le Thrash ou, pour ce qui nous intéresse ici, le Brutal Death Métal. Rien que le nom, Defloration, c’est de la magie pure et j’ai déjà les mains moites, voire une mi-molle rien qu’à l’idée d’écouter Dripping With Blood, premier album d’une belle lignée.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
J’adore ces groupes qui sortent de presque nulle part, pondent une seule et unique tuerie puis disparaissent corps et âmes. Avant de monter Deathcon, les membres avaient tous roulé leur bosse dans des formations toutes aussi cultes les unes que les autres et ils y sont repartis sitôt Monotremata en boîte. Et j’aime autant prévenir, la boîte en question n’est pas en carton. Ces Norvégiens nous assènent un Death Métal solide (comme un rock, dédicace à Nâdyia) et impitoyable s’appuyant principalement sur des rythmiques incroyablement massives et des tempos lourdingues sans pitié.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Ils sont Turcs, ils n’ont sorti qu’un seul album il y a six ans, est-ce que c’est bien raisonnable d’en parler aujourd’hui alors que des milliers de groupes se bousculent et ont une activité chaude (ou tiède en fonction de la qualité) ? Et bien j’imagine que pour l’auditeur à la pointe de la modernité, c’est un problème mais pour ceux qui, comme moi, s’intéressent plus à la qualité qu’à la date de sortie, découvrir Carnophage est un petit moment de plaisir brutal bien innocent et qui fait du bien. En plus, le chanteur s’appelle Oral, c’est dire s’il était prédestiné à chanter ! (Je me demande d’ailleurs si cette phrase n’est pas ma seule motivation pour faire une chronique de Deformed Future//Genetic Nightmare).
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 10/10
Très sincèrement, si je devais un jour conserver un seul et unique album de Death Métal, ce serait celui-là. Il est inégalable, tout simplement. Tout y est porté à son paroxysme pour un résultat d’une ampleur quasi surréaliste : la complexité des structures complètement délirantes (« I Cum Blood »), le chant indicible, le son poisseux qui se coagule dans les oreilles, l’ambiance écœurante de perversion (« Addicted To Vaginal Skin » ou encore ce passage où l’on entend des voix d’enfants), les noms des morceaux qui sont tous des petits bijoux de macabre, le jeu de basse ahurissant d’Alex Webster, il n’y a rien dans Tomb Of The Mutilated qui soit critiquable.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8.5/10

Note du Soilchroniqueur (Arno) : 8/10
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Note du Soilchroniqueur (Arno) : 7/10
Amateurs de Gore, de perversions putrides et de ce que l’on appelle communément le Slamming Brutal Death Métal, pour peu que cela ait un sens, il ne faudrait pas que vous soyez passés à côté de Born Headless, sympathique trio Australien qui, en 2004, nous régala avec son premier album Headless Henchmen.
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Note du Soilchroniqueur (Arno ) : 6,5/10
Le savoir faire des Suédois en matière de musique extrême n’est plus à démontrer, ce pays a toujours enfanté des groupes de grande classe. Aeon ne fera pas ombrage à ce tableau idyllique tant son Death Métal est costaud, maîtrisé, bien que peut-être trop appliqué et référentiel.
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Note du Soilchroniqueur (Arno) : 6/10
Aeon est un bon groupe. C’est techniquement irréprochable, la production est toujours au poil de cul, le premier mot prononcé sur Rise To Dominate est « Lucifer », ils viennent de Suède, à priori c’est le parcours sans fautes. Pourtant, pourquoi ai-je avec eux le très fâcheux sentiment de toujours écouter le même album ? Que l’on prenne ce disque, Path Of Fire ou Aeons Black, c’est du pareil au même.
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