
Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Vous avez aimé « Show no mercy » en 1984 ? Vous avez adoré « In the sign of evil » ? Des albums comme « Obsessed by cruelty » ou « Endless pain » n’ont plus de secrets pour vous ?
Vous allez adorer confesser vos péchés avec Slaughtered Priest, duo de black thrash totalement old school venu tout droit de la Grèce.

Jenks Miller fait partie de cette vague d’artistes protéiformes qui se laissent guider par l’inspiration plutôt que par les limitations d’un genre ou d’un style. Ce polymorphe de Chapel Hill, Caroline du Nord, en plus d’appartenir à divers groupes (Mount Moriah, Un Deux Trois, In the Year of the Pig) mène ainsi son propre navire en solitaire avec Horseback. Lire l'article

Note du Soichroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Secrets Of The Moon, groupe allemand, nous offre aujourd’hui son 5e album. Fondé en 1995 autour de Daewas, vocaliste originel de Martyrium, le groupe peut se vanter d’avoir été pour le moins prolifique avec ses trois démos, trois splits, 4 EP, une compilation, un live et donc 4 albums avant ce « Seven bells ».
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Note de la Soilchroniqueuse (Gwenn) : 7/10
Un nouveau One Man Band que je vous propose aujourd’hui. Décidément ils sont légion en ces temps de crise. Suppressions d’emplois, salaires revus à la baisse, plans de rigueur, à croire que le metal en devient touché. Trève de plaisanterie, le hongrois Tamás Kátai n’en est pas à son premier tir, Rengeteg étant le cinquième album d’un groupe né en 1998. Pour quelqu’un qui assure la totalité des instrumentaux je peux dire d’ores et déjà que le résultat est impressionnant.
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Note de la soilchroniqueuse (Gwenn) : 5/10
One Man band. Un premier split est sorti peu avant en compagnie de la formation espagnole Atrabilis. S’il réside un concept parcourant les lignes sonores de « Paysage.Octobre. », c’est la recherche d’originalité. Il ne s’agirait pas ici de placer Echancrure dans sac similaire à celui qui rassemble ces musiciens seuls en recherche de sensations fortes, se sentant capables d’un coup, de révolutionner le monde de la musique à l’aide d’un Pc et d’un bon logiciel.
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Pour être fan de Imperial, il faut quand même être doté d’une sacrée patience !
Voilà le retour des gars du sud, d’Antibes/Martigues pour être un tantinet précis, qui en sont à leur troisième véritable album en vingt ans de carrière : 4 démos entre 1994 et 1997 – dont une remasterisée en 2001 –, une pure tuerie (« Aux crépuscules ») en 1998 suivi de l’EP « Thrasher 13 » la même année, « Malmort » en 1999, un split EP avec Sabbat en 2000, un EP (« Moonblood ») en 2002, une compilation-chant du cygne en 2003 avant de splitter pour se reformer en 2008.


Note de la Soilchroniqueuse (Gwenn) : 06/10
Mories semble être un sacré coco. Etant l’unique compositeur et créateur des projets Gnaw Their Tongues et De Magia Veterum, c’est avec ce dicton de « jamais deux sans trois » que le musicien néerlandais se met au travail avec cette nouvelle formation qui porte le doux nom de Cloak of Altering.
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Note de la Soilchroniqueuse (Gwenn) : 07/10
Nine Covens. Inconnu au bataillon. C’est encore bien parce que le label Candlelight Records y appose le dénominatif de groupe de Black Metal que je jette une oreille dessus. Sur la toile, autant d’informations que de metalleux fans de Claude François, ça commence plutôt pas mal. Il ne reste qu’une interview ou quelques chroniques déjà parues pour se faire une idée de la démarche du groupe (quatre musiciens, apparemment). Mystérieux certes, comme en témoigne un Art Work des plus abstraits
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Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 7.5/10
Ah ben les rev’là, les trois vilains pas beaux de Tsjuder, prononcez « Shoe-der » s’il vous plait, je ne veux pas d’ennuis, moi !
Depuis 2006, ils s’étaient séparés pour s’occuper de leurs projets respectifs pour revenir encore plus haineux que jamais en 2010.
Parce bon, après quatre démos entre 1995 et 1996, deux EP (« Throne of the goat » en 1997 et « Atum Nocturnem » en 1999), trois albums bien brutaux (« Kill for Satan » en 2000, « Demonic possession » en 2002 et l’excellent « Desert Northen Hell » en 2004) et le DVD « Norwegian apocalypse » juste avant le split en 2006, ils n’allaient pas nous faire croire qu’ils avaient tout dit : il devait bien rester un petit soupçon de rage et de haine à nous déverser sur le coin du corpse paint, non ?














