Note du SoilChroniqueur : 7/10 (Seblack)

Comme son nom ne l’indique pas L’Homme Absurde est un quintet russe originaire de Moscou. Formé en 2018, le groupe n’en est pas a ses débuts et propose avec « Stranger » son quatrième album.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

“Un Deux, Sleazyz te coupera en deux,
Troyes Quatre, dans le groupe ils sont quatre”

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10

Quel rendement !
‘vais finir par ne plus réussir à suivre, tellement les sorties du père Campbell, accompagné de ses trois rejetons, se suivent et s’enchaînent les unes derrière les autres.

Note du SoilChroniqueur (Ymir) : 9/10

Le duo infernal du Canada nous délivre son dernier et premier opus sous ce nom. Bien évidemment, leurs noms ne vous sont pas inconnus, la scène Black du Canada a des tendances quelque peu cannibales en termes de musiciens.
« Comme des revenants parmi les ruines » est un album assez engageant, la voix est éraillée et emplie de cruauté, les riffs sont acérés et emplis de haine. Ici on ne fait pas dans la demi-mesure, cet album vous fera ressentir de la solitude et haïr le monde de manière plus générale.

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10

Portée par l’aile de Great Dane Records, voici le groupe de death Thornafire et son nouvel album « Leprosario Lazareto ». Ils ne nous viennent ni d’Europe, ni des USA, ni d’Angleterre, mais d’Amérique du Sud, via le Chili, plus exactement de la banlieue de Santiago. Comme quoi, une fois de plus, il est à noter que le metal est partout.

Note du SoilChroniqueur (Seblack) : 7/10

Huginn est le troisième album des canadiens de Wilt, qui ne nous avaient rien sorti depuis 2018 et le très réussi “Ruin”. Une nouvelle fois c’est le label Vendetta Records qui met en avant un album assez attendu mais fort court : 25 minutes pour trois morceaux, oscillant entre sept et huit minutes.

Photos + report : Metalfreak

Après deux mois de juillet et août sans avoir fait le moindre concert, de mémoire la première fois depuis que je suis dans Soil Chronicles, il était de bon ton de reprendre tranquillement avec une date lors de laquelle je savais que j’allais me régaler tant humainement que musicalement.

Déjà parce j’aime les deux groupes présents ce soir-là : les Clermontois de Looking For Medusa et les Lyonnais de Fortunato. Ensuite, parce que Markus Fortunato, bassiste reconnu qui transforme en or chaque groupe dans lequel il joue (Spirit War, Fury Age, ex-Broken Arrow, ex-Desdemona, ex-Epytaph, ex-M.Z., ex-Öblivïon / KingCrown, ex-Ashes and Dust, ex-Archange, ex-Roswell Farm), est d’une gentillesse assez rare et aussi parce que leur animal (remember Le Muppet Show ?) qui se cache derrière les fûts n’est autre que notre Sly Tale, qui a fait un temps partie de notre team, qu’il a quitté à cause de nombreux projets chronophage et qui sait que la porte lui sera toujours ouverte pour un éventuel retour parmi nous.

Photos + report : Metalfreak

Il s’en passe, des choses, dans la salle du Brin de Zinc !
Non seulement Thomas, propriétaire désormais vénéré des lieux et organisateur en chef de concerts toujours bien sentis, est capable de nous dégotter des trouvailles parfois exceptionnelles en terme de qualité, se permet de nous faire jouer des groupes pour le moins confirmés – dont les deux groupes de ce soir, Dyslesia et KingCrown – mais en plus voit sa salle être le théâtre de miracles auxquels on ne croyait plus depuis des lustres. J’y reviendrai plus tard.

Photos + report : Metalfreak

Après que mon intarissable chroniqueur Quantum a dit tout le bien qu’il pensait de « Viartannie » (2020), dernier album en date des Biélorusses de Raven Throne, deux ans après m’être régalé à découvrir « I miortvym snicca zołak…« , il était évident que, de savoir qu’ils passaient à vingt minutes de mon domicile, je n’allais pas rater la date.
C’est en première partie des quatre Finlandais de Thy Kingdom Will Burn qu’ils jouaient ce soir-là au Brin de Zinc à côté de Chambéry – Barberaz, pour être précis, pour ceux qui prennent le train en marche -. Et ça valait le déplacement.

Note du SoilChroniqueur (Ymir) : 8/10 

Si Eleine est bien connu dans le paysage du metal symphonique, c’est ici avec leur quatrième album que les Suédois nous honorent le genre. Vous verrez qu’ils ne le font pas de la manière la plus classique.
Cet album ajoute une nouvelle approche jusqu’ici plutôt surprenante, il est coutume dans le metal symphonique que la voix de la chanteuse soit au centre de la musique, mais ici que nenni !