Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10

A ma (petite) connaissance, l’Espagne et le black metal ont rarement couché pour le meilleur. A l’exception des Basques de Numen (pas vraiment des Espagnols donc), du redoutable Aversio Humanitatis et des débuts de Foscor, je ne vois guère de phare dans ce pays.

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 8/10

Esquys est un groupe mené par Sébastien Normand qui nous conte un monde mystique et enchanteur, et ce même s’il fait peur.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9/10

“Quand tu épouses de l’argent, le diable pond un œuf dans ton garde-manger.” Proverbe scandinave

Peut-être l’une des citations les plus saugrenues que je connaisse. Mais cela n’enlève rien à la chronique que je m’apprête à faire et qui est pour moi un vrai plaisir. Je pars sur un terrain connu, puisqu’il s’agit de ma troisième salve pour le groupe dûment évoqué. Il me fallait une citation de circonstance, et comme j’étais sur un mood plus détendu… Bref ! Chez Soil Chronicles, nous mettons toujours un point d’honneur à maintenir une réputation grandissante ou déjà établie, surtout il faut bien l’avouer quand le groupe est français.

Note de la SoilChroniqueuse (Freya) : 9/10

Pourquoi tant de sadisme ?
Quand on tient une splendeur à la noirceur tellement profonde qu’elle en ferait frissonner de désespoir les satanistes les plus aguerris, on se doit, en tout cas un minimum, de respecter son public…
… ou pas en fait.

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 8/10

Orkhys, jeune formation française de heavy symphonique, sort son premier disque, « A Way » en partenariat avec le label M&O Music. Le groupe aime à mélanger la vitesse et la mélodie, l’une grâce à des rythmiques de guitares qui aiment les accélérations et l’autre est menée par la douce voix de Laurène.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 9,5/10

Les fans de death technique sont vraiment à la fête en ce moment. En effet, ils ont pu se régaler récemment de trois bombes, dans des registres pourtant différents : « Desolate » d’Ophidian I, « Gloire éternelle » des intouchables First Fragment et, bien sûr, « Bleed the Future« , quatrième album de ces autres prodiges canadiens que sont les membres d’Archspire.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10

Et un one-man-band de plus. J’ai passé la journée à écouter des skeuds, la journée à me rendre compte que 80% d’entre eux sont le fruit d’hommes seuls. Il ne faudra pas trop me rebattre les oreilles avec la saturation du marché du disque, il est finalement à l’image de la société de consommation.

Photos + report : Le Marquis Arthur

Votre picard metalleux continue sa cavale de concert, me voici cette fois en Poitou-Charentes. Bien sûr bien sûr, certain dirons que je suis venu pour Seth (même si c’est vrai), j’étais malgré tout intrigué de voir un concert de Les Chants de Nihil aussi.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10

Tout le monde connaît Paul Speckmann : à sa manière, ce mec est l’un des grands noms du death metal, notamment pour ce qu’il a fait avec Master et, en 1990, alors qu’il sortait le premier album éponyme de la formation qui l’a fait le plus connaître, il jouait également dans Abomination qui publiait donc également la même année son premier album éponyme. Ce n’est pas compliqué à comprendre mais ma phrase est longue…

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Quand tu es un groupe de thrash metal émergeant, que tu viens des USA et que tu sors ton premier album en 1986, difficile de ne pas être noyé au milieu des “Reign in Blood”, “Master of Puppets”, “Peace Sells…”, “Darkness Descends”, “Doomsday for the Deceiver”, “The Force”, “Recognize no Authority” et ce, sans parler de la scène européenne en général, allemande en particulier.
Et pourtant, c’est bien monsieur Kerry King himself qui avait découvert Sentinel Beast qui, par la suite, aura tourné avec Slayer (forcément), King Diamond ou Megadeth.