
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 6/10
Actif depuis 2014 et originaire de San Jose en Californie, Aseptic sort une démo en 2015, Aseptic demo 2015, non ne relit pas, puis une autre, Proems l’année d’après. Leur premier album au titre éponyme verra le jour en 2017 et 2018 sera une année prolifique car ils enchaîneront un album, Murderous Obsessions et un ep, Senses Decay. Cascading Fluids, deuxième ep, est édité dans un premier temps en auto-prod en version digitale, puis dans un second, signé par Redefining Darkness Records pour une version… cassette.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
On ne va pas revenir sur l’historique du projet d’Ole Alexander Myrholt, cela a déjà été – succinctement – fait lors de la chronique de “Nordland”. Toujours est-il que le gaillard reprend ses bonnes habitudes de nous abreuver de nouveaux enregistrements à raison de plusieurs par an et cet album, sorti lui aussi uniquement en digital, ne déroge pas à la règle.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
On ne va pas revenir sur l’historique du projet d’Ole Alexander Myrholt, cela a déjà été – succinctement – fait lors de la chronique de “Nordland”. Toujours est-il que le gaillard reprend ses bonnes habitudes de nous abreuver de nouveaux enregistrements à raison de plusieurs par an et cet EP, sorti uniquement en digital, ne déroge pas à la règle.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Il est des artistes qui aiment passer leur vie en studio… Le Norvégien Ole Alexander Myrholt est de ceux-là : actif dans quatre groupes ou projets solos (Myrholt, Those Left Behind, Archon, Enslavement Of Beauty), après être passé dans une chiée d’autres (ex-Bortgang, ex-Diabolical Breed, ex-Hellhaven, ex-Tremor, ex-Gaia Epicus, ex-Armageddon Bound, ex-Loot the Louvre!, ex-The Whipcords, ex-Triple Six, ex-Violent X) avec un bon paquet d’albums, singles, EP ou splits à la clé.
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Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8,5/10
Tu veux de la bestialité à l’état pur ? Moi aussi et là, on va en bouffer de la charogne. Depressed nous vient de Santo André, grande banlieue côtière de São Paulo et nous joue un putain de death metal bien crade depuis 1998. Une démo verra le jour un an plus tard et il faudra attendre 2015 pour que le premier album Afterlife in Darkness atterrisse dans les bacs. Cette mi-novembre Black Lion Records signe le second, Beyond the Putrid Fiction qui, crois-moi, va t’arracher la gueule avant que tu puisses dire amen.
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Note du SoilChroniqueur (M.L.A.M.) : 5/10
Pour piqûre de rappel : Burning Witches est un groupe de heavy metal suisse dont la particularité est d’être à 100 % féminin et surtout signé chez Nuclear Blast (sur un petit label, je ne pense pas que le groupe susciterait autant d’intérêt et ne tournerait pas aussi facilement).
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7/10
L’Italie pays riche en Power Metal Symphonique.
Cela fait longtemps que l’on n’avait pas entendu parler du combo Vision Divine, et pour cause pas de nouveauté depuis 2012 et un Destination Set To Nowhere qui avait bien porté son nom. Pourtant, ce groupe de qualité a sorti d’excellents albums dans ses débuts, dès Vision Divine en 1999 et, à cette époque, un album voyait le jour tous les deux ans.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Le duo belge de Cult of Erinyes est sûrement connu des amateurs de Black Métal bien fumé, ce quatrième album « Æstivation » rendant une nouvelle fois hommage à la fange et au bizarre.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,99/10
Ce n’est pas la première fois que Ván Records nous dégotte un groupe de black metal de derrière les fagots, qui en plus a le mérite tant de sortir des clichés habituels que d’être impressionnant de richesse et de qualité. Entre Kosmokrator, Urfaust, Árstíðir Lífsins ou The Ruins Of Beverast pour ceux qui m’ont particulièrement marqué. Mais alors là…
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10
Encore et toujours du Death Métal, cette fois en provenance d’Estonie, ce qui est déjà plus rare. Pour la fantaisie, on s’arrêtera là car musicalement, la demi-heure que dure « Black Fame Order » n’en contient aucune trace. Du basique, efficace certes, mais entendu et ré-entendu mille fois chez tous les adorateurs de Grave, Bolt Thrower, etc. Cela n’enlève rien à la foi du trio, à son énergie et à sa vision efficace des choses, pas une des dix compositions n’excédant les trois minutes trente. Parfait quand, de toute façon, on n’a pas non plus forcément grand chose de neuf à raconter.
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