Note du SoilChroniqueur (Kenpachi) : 7.5/10 .

Est-il possible de parler de Metal sans parler des pays Nordiques ? A vrai dire, s’il y a une localisation dans le monde où le Metal est plus que de la musique, où c’est une véritable institution et un lieu saint pour tout metalhead qui se respecte, c’est bien dans cette zone géographique. Et si la Suède est le temple du Death et Death Mélodique, alors il semble judicieux de nommer la Norvège comme étant le pays du Black Metal.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 5/10.
Un live de Dokken avec la formation (quasi) originale ? Il y a de quoi exciter tous les anciens nostalgiques de la période faste entre Breaking the Chains (1983) et le premier live Beast from the East (1988), live pour le moins culte, à l’instar des quatre premiers albums studio du groupe, que ce soit Breaking the Chains (1983), Tooth and Nail (1984), Under Lock and Key (1985) et Back for the Attack (1987). Concrètement, toute la période d’avant un split dû aux éternelles divergences musicales qui a duré de 1989 à 1993, période pendant laquelle George Lynch et Mick Brown forment Lynch Mob.

Note du SoilChroniqueur (Kenpachi) : 8/10.
Fribourg, le canton Suisse qui fait immédiatement penser à : Gruyère, crème double de la Gruyère et ses meringues au feu de bois, fondue moitié-moitié, vacherin fribourgeois, cuchaule, moutarde de bénichon ou ses vastes paysages bucoliques que l’on retrouve sur les cartes postales de Suisse, avec du bétail un peu partout. Mais c’est aussi un lieu où il fait bon vivre, une verdure chatoyante, du chocolat, et j’en passe… Hé, dans toute cette description, je n’ai parlé de musique nulle part ! Et bien, c’est peut-être bien parce que la scène fribourgeoise, à l’inverse de la scène suisse, est bien méconnue…

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 10/10 .

Après deux EPs, The Summoning part 1 et 2 sortis en 2015 et 2016, Black Royal nous revient avec l’album Lightbringer sous le label Suicide Records. Pour les connaisseurs, l’évocation du nom de ce label est synonyme de gros son scandinave et les queues se mettent à frétiller.

En effet, Black Royal nous vient de Finlande et est forgé dans le même métal qu’Entombed, mais attention, pas dans le même moule. Nos finlandais jouent certes un Death Metal vieille école reconnaissable dès le premier titre, « Cryo Volcanic », mais gorgent celui-ci de Sludge, non sans déplaisir.

Report + photos : Antirouille

Ce samedi 28 avril, direction Saint-Etienne, ou plutôt la Tour en Jarez pour être précis, pour la première Metal Night qui réunissait Korrosiah, Kolision, Furyens, Bloodstorm et Deathawaits qui organisait tout ça.

Photos + report : SebLag

Le G3 est un show mis au point par Joe Satriani, afin de faire la promotion de son album en 1996. Ce spectacle a pour but de rassembler trois des plus grands guitaristes sur une même scène. Depuis, le G3 s’est exporté sur les 5 continents, emportant l’esprit de la guitare électrique partout avec lui. Le show se déroule en quatre parties, les trois premières étant assurées par les groupes respectifs des trois protagonistes. La quatrième les met en scène tous ensemble pour jouer des morceaux sur une sélection de morceaux reprenant des standards issus du Rock.
En 2018, Joe Satriani est rejoint par Uli Jon Roth, qui s’est illustré en tant que membre fondateur de Scorpions et John Petrucci, surtout connu pour son rôle de guitariste, parolier et membre fondateur du groupe de métal, Dream Theater.

Note du SoilChroniqueur (Forlorn) : 7,5/10
Sans introduction, on va rentrer dans le vif du sujet : Schattenmann, c’est du Oomph post-2010. Merci d’avoir suivis cette chronique, à la proch… Quoi, je dois développer ? Curieusement, ce n’est pas si nécessaire que ça. J’aurais bien tourné la chose en réutilisant la formule magique : « c’est du Oomph en moins bien ». Sauf que ça fonctionne pas vraiment, parce que c’est pas fondamentalement moins bien.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8,5/10.
Il aura fallu sept ans aux Hollandais de Purest of Pain, de l’écriture à la production, pour publier Solipsis. Merel, dans son désir d’autoproduire l’album, a lancé une campagne participative dans l’espoir de récolter 9500 euros et cette somme a été atteinte en seulement six jours. Les 14 titres ont été masterisés par Jens Bogren, connu pour son travail avec Arch Enemy, Dark Tranquillity ou Amon Amarth entre autres.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8,5/10.
Ghastly est un groupe originaire de Tampere en Finlande et a à son actif un EP, Serpentine Union, de 2013 et un album, Carrion of Time, de 2015. Death Velour est donc leur deuxième album, sorti sous le label 20 Buck Spin. Un label américain qui donne sa confiance à un groupe finlandais a le mérite d’éveiller un peu la curiosité malsaine qui dort en nous. Accordons donc une oreille attentive sur cet album des Ghastly.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 8/10.
Code Red voit le jour en Roumanie en 2004 sous l’impulsion du chanteur et guitariste Andrei Calmuc. Ils sortent 2 ans plus tard un EP, Stronger than Lust, et le groupe se sépare ensuite en 2007. Ne baissant pas les bras, il retente en 2010 et après quelques mouvements de line up, le single « Native Monster », beaucoup plus brutal, est édité. Trois ans plus tard, en 2013, Dominions of our deceitful Beliefs, voit le jour.