
Note du Soilchroniqueur (Lusaimoi) : 7/10
Si je parle souvent des artworks en début de chronique, c’est parce que c’est le premier contact que l’on a avec un CD. C’est souvent lui qui peut nous attirer ou faire qu’on va laisser de côté un album. C’est un peu aussi comme une promesse. En le voyant, quand on ne se jette pas de suite sur la musique, on peut commencer à le savourer en tentant de deviner à quoi on va avoir affaire lorsque la galette sera dans la chaîne.
Alors quand j’ai vu celui de Full of Doubts, le premier EP de A Time to Hope, son atmosphère éthérée, nuageuse, cette silhouette d’enfant qui se mêle à des plumes d’oiseau, je me suis mis à songer à quelque chose de poétique et planant. Surtout lorsque j’ai vu les tags sur le Bandcamp du groupe : Post-Hardcore et Post-Rock. Mon esprit s’est alors imaginé un mix entre un Cult of Luna et unSigur Rós.
Et, c’est ce qui peut se passer lorsqu’on attend d’avoir le CD entre les mains pour entamer la première écoute, la surprise fut de taille.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
Et c’est une bonne situation, ça, de rédiger dans Soil Chronicles ?
“Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonnes ou de mauvaises situations. Moi si je devais résumer ma vie, aujourd’hui, avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres, des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi, et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée, parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face, je dirais le miroir qui vous aide à avancer ; alors ce n’est pas mon cas comme je le disais là, puisque moi au contraire j’ai pu et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie, je ne suis qu’amour, et finalement quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent : Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? Et bah je leur réponds très simplement, je leur dis : c’est ce goût de l’amour, ce goût donc qui m’a poussé, aujourd’hui, à entreprendre la gestion d’un tel webzine mais demain, qui sait, peut-être, simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi…”

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10
Souvent, l’addition de musiciens aguerris peut donner de belles surprises !
C’est le cas des Australiens d’Earth Rot.
Voilà quatre gaillards qui ont fait leurs armes dans des formations diverses de black, de death ou de funeral doom et qui se forment en 2013 pour offrir cette musique totalement old school qui hume à plein nez la musique putride des vieux Entombed, Dismember et autres Grave.
Pour sur, le quatuor a su s’influencer du death metal made in Göteborg pour nous balancer cette nouvelle offrande de cinq titres après un autre EP « Dirt » (2014) et l’album « Follow the black smoke » la même année et qui a reçu un succès critique pour le moins mérité !

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10
Les archives dénombrent quatorze groupes nommé Purgatory et dix Hell pour un seul Paradise. Sur le papier, cela ne semble donc pas bien compliqué de faire dans l’original mais non, les mecs s’obstinent à ne lire que les deux premières parties de « La Divine Comédie ». Pourtant, un groupe de Death qui s’appellerait « Paradis » quelque chose pourrait jouer sur les oxymores et sortir un peu du lot. Bref. Le seul truc qui semble compter, c’est comment les Allemands écrivent leur nom pour se démarquer des autres formations…
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Formé en 2007, le groupe Bavarois sort un nouvel EP, trois ans après un full length “Never surrender”.
Avec ses quatre titres pour 25 minutes de musiques, “Horse of Hell”, enregistré et mixé par Tobias Hieber et Eisenhauer et masterisé au Grotesque Studios à Munich, fait la part belle à un heavy metal épique, fortement influencé par des sommités comme Grand Magus, Manowar, Black Sabbath ou surtout Manilla Road.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Formé en 2013, le groupe Letton commença ses premières armes par des reprises de Metallica, Kreator, Exodus ou Pantera avant de se mettre à composer leurs propres morceaux.
Après quelques demos, le groupe enfin formé entièrement avec l’arrivée d’un second guitariste en la personne de Max (Asthma, Varang Nord, Begotten) s’est mis à l’enregistrement de ce premier album “Well of sins”

Note du SoilChroniqueur (Lusaimoi) : 8/10
En 2011, The Long Escape avait mis, avec leur premier album The Triptych, une jolie petite claque. Du Rock/Metal dans le meilleur sens du terme, amputé de tous les défauts collant au genre (qui consiste un peu trop souvent à mon goût à du Metal aseptisé ou du Rock faussement énervé). Un album qui alliait variété, émotion et songwriting exceptionnel pour un résultat qui prenait aux tripes dès les premiers instants, et qui ne s’altérait pas au fil des écoutes. Efficacité totale et profondeur, The Triptych avait obtenu du tout jeune chroniqueur que j’étais un très beau 9,5. Une note proche de la perfection qui reflétait autant cette baffe qui m’avait été donnée, que mes encouragements pour cette jeune formation ayant pondu un album si abouti.
Son successeur était donc attendu avec une belle impatience, que l’annonce de The Warning Signal n’a fait qu’amplifier. Et aujourd’hui, maintenant que ce deuxième album est sorti, on peut dire que la gifle n’est plus aussi forte. Pour plusieurs raisons qui n’ont finalement pas de rapport avec la qualité de cette nouvelle offrande.

METALGRESIFEST VI,
Ce sera le 28 Mai 2016 à Saint Vincent de Mercuze (38)
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Pour des raisons qui des fois nous échappent, on se retrouve scotchés par ce qu’on écoute… et on se repasse les morceaux à l’envi, jusqu’à en faire son album de chevet.
Ça doit bien faire un mois que j’ai ce « An oath to the void » sur mon bureau et je me le repasse sans cesse, avec cette putain de page à remplir, à me demander par où je vais commencer ma chronique !
Alors je me le passe, et repasse, plusieurs fois d’affilée et cette chronique reste désespérément sans mot, vide, blanche…
Est-ce possible qu’on en arrive parfois à ne pas trouver les mots pour exprimer ce que l’on ressent ?

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Formé en 2006 sous le nom de Dødning avec lequel ils ont sorti un EP éponyme de quatre titres en 2009, le sextet Danois change de nom en 2010 et deux albums voient le jour en 2011 (« For wolves and vultures ») et 2013 (« Oh death »).
Un changement de bassiste plus tard, Theis Roed Thogersen remplaçant Søren Nybo Hansen en 2015, et voilà ce troisième album sobrement intitulé « Helhorse » qui voit le jour en mai 2016.
Mélange crasseux de metal, de punk, d’un soupçon de harcore et de classic rock, le groupe peut se targuer de nous envoyer un album qui fera l’effet d’un uppercut en pleine face dès sa première écoute.














