Coheed and Cambria + Agent Fresco à la Maroquinerie (Paris) le 25/01/2016 ...
par Bloodybarbie
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
J’aurais tellement envie de faire des jeux de mots pourris avec les mecs de Fleshcrawl, comme dire que Bastian Herzog n’est pas de la famille à Maurice ou encore que Stefan Hanus ne joue pas comme un cul mais « Descend Into The Absurd » prête si peu à sourire que je vais me garder de faire la moindre blague. En effet, on l’a peut-être un peu vite oublié, à tort : ce premier album date de 1992 et il fait très clairement partie de la crème de ce que l’on pouvait écouter alors : sombre, épais et poisseux, le Death Metalde Fleshcrawl, outre le fait qu’il soit encore incroyablement actuel en dépit du poids des ans, avait largement de quoi rivaliser avec un Entombed.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Wilhelm von Graffenberg) : 8.5/10
Je ne vais pas vous sortir de salade – piémontaise – ni tourner davantage autour du Pô, Forêt d’Orient, comme son nom l’indique, est un groupe… italien, qui vient de Vénétie. Quoi de plus logique donc que d’intituler son album Venetia ?
Un album de 7 morceaux dans un style Atmospheric Black Metal avec une tendance au sympho par moment, eu égard aux diverses nappes de claviers à base de cordes un peu crades – on va dire vintage – et d’orgue, et bercé dans de la musique folk (la présence permanente d’une harpiste au sein du groupe en atteste) et surtout baroque confere les grandes orgues bien cérémonieuses comme dans les préludes les plus sombres de Bach, ou encore la reprise arrangée/réorchestrée de l’Adagio d’Albinoni en morceau finale.
Lire l'article

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Que cette pochette d’un blanc immaculé ne trompe personne, « Slaves Of Virgo » du quatuor australien Five Star Prison Cell nous convie à une orgie que les auditeurs potentiels ne sont pas prêts d’oublier. Question style, j’aurais tendance à évoquer un croisement entre Meshuggah, The Dillinger Escape Plan, Ephel Duath et des plans dignes d’un Mr Bungle ou de Fantomas (« Army Of The Vigilant », « Decree NISI »), pas tant pour l’aspect purement musical d’ailleurs que pour sa capacité à enchaîner des séquences apparemment sans rapport entre elles.
Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg): 8.5/10
« On choisit ses amis, on ne choisit pas sa famille », en voilà un proverbe qui ne s’accorde pas avec le Metal, tant on peut faire les deux ! Et parfois, les liens de parenté se remarquent comme le nez au milieu de la figure – obvious, isn’t ? Mais partons de ce principe et imaginons une photo de famille, car même si la photo n’est pas bonne, on pourra y voir le bonheur en personne et la douceur d’un soir. Sur cette photo, on voit papa Slayer et Papa Pantera – ou MAMAN Pantera si vous préférez, m’enfin on sait tous que le Metal, c’est le mariage pour tous et partouze – entourés des tontons/tatas Anthrax, Municipal Waste, Metallica, Megadeth, Suicidal Tendencies et Kreator. Dans un coin, les petits cousins Trivium et Children of Bodom (le cousin finlandais) font des doigts pendant que papy Mötörhead se meurt à petit feu après sa dernière attaque, ayant déjà rédigé son Testament.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
En maintenant 35 années d’existence, Voivod a su, avec le temps, créer son propre son et son propre univers, et ce ne sont pas les incessants changements de line up qui auront changé un tant soit peu la ligne de conduite que se sont fixés Denis “Snake” Bélanger et Michel “Away” Langevin.
Encore une fois, Voivod aura changé son bassiste : bienvenue à Rocky qui prend la place une nouvelle fois abandonnée par Jean-Yves “Blacky” Thériault, lui-même ayant succédé à Jason “Jasonic” Newsted.
Côté guitares, Daniel “Chewy” Mongrain, déjà présent sur “Target Earth”, est devenu membre à part entière en remplacement du regretté Denis “Piggy” D’Amour.

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar):7,5/10
Une subite envie de légende?
Vous aimez vous évader en pensant aux paysages mystiques, vous rêvez des grandes forêts des pays nordiques, vous vous voyez côtoyer des elfes, boire une mousse avec des nains, essayer de dresser des gobelins ou encore en train de combattre des dragons ?
C’est que vous faites une crise de manque de Hopes Of Freedom.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8/10
Préparez-vous à entrer dans l’arène – et pas la reine, même s’il arrive qu’on bourre l’arène dans le sud quand on Bourg-la-Reine dans le centre – revêtez vos plus beaux oripeaux, dégainez votre muleta et vos banderilles, Mezcla et son Death Metal teinté de flamenco entre en piste avec son 4ème album, Metalmorfosis.
Les auxerrois – oui, attention : ne pas confondre avec le groupe rouennais de même patronyme, mais qui joue dans un tout autre genre – ont cette particularité de, bien que n’étant pas d’une région influencée par la culture ibérique, proposer des morceaux – quasi – totalement en espagnol (on excepte sur cet album un titre, « L’usurpateur »).
Lire l'article
















