Nickelback – Feed the Machine

Le 4 septembre 2017 posté par Bloodybarbie

Line-up sur cet Album


  • Mike Kroeger : Basse, Choeurs
  • Daniel Adair : Batterie, Choeurs
  • Chad Kroeger : Chant, Guitare
  • Ryan Peake : Guitare, Choeurs

Style:

Hard Rock

Date de sortie:

Juin 2017

Label:

BMG Management

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 4/10

On va pas en parler des heures car c’est pas vraiment ma choppe de bière… Oui, on le sait : le Celte ne boit pas de thé.

J’avais beaucoup entendu parler du groupe Nickelback dans mon jeune temps, celui de ‘Curb’ , ‘The State’ 1999 et ‘Silver Side up’ en 2001, les trois premiers albums du groupe qui, bien qu’ils ne cassent pas la troisième patte du canard, se défendent quand même plutôt bien. Depuis j’avais un peu laissé de côté se groupe canadien, jusqu’à ce qu’on m’en propose un à chroniquer avec ‘Feed the Machine’… C’est alors que je me suis dit : « tiens, pourquoi pas… On va voir ce qu’est devenu ce groupe, je savais même pas s’il avait continué… »

A ma grande surprise, Nickelback ne s’est jamais stoppé et a même été très prolifique : ‘Feed the Machine’ est le dixième opus du groupe. On peut déjà féliciter la formation pour sa longévité.

Musicalement parlant le groupe n’a pas changé… En même temps, c’est toujours con de dire cela d’un groupe car cela voudrait dire qu’il ne fait plus la même musique, donc quel intérêt de garder le même nom?… Bon passons. On a donc le droit à un Hard Rock au chant chaud et doux, des guitares présentes mais qui ne montent jamais dans les solos ultra rapides, plus une recherche de mélodies, un basse presque saturée et très présente. Beaucoup cependant de modernité (comme on en faisait dans les 90’s) musicale avec une production en béton et un son qui ne fait pas naturel. Bon après, soit le groupe à perdu de sa puissance, ou alors c’est votre Celte qui est devenu trop vieux pour ces conneries.

Il est vrai que le titre éponyme ainsi que « Silent Majority » sont deux bons titres à la rythmique assez groovante et au chant bien mené. Dans un autre registre « The Betrayal Act 1 », l’acoustique placé en clôture, est plutôt bon. Mais après, la mayonnaise ne prend pas… On a l’impression d’entendre le même titre, pas de moment qui sorte du lot… Bref, pas des plus intéressants…

Tracklist:

1. Feed the Machine
2. Coin for the Ferryman
3. Song on Fire
4. Must be nice
5. After the Rain
6. For the River
7. Home
8. The Betrayal (Act III)
9. Silent Majority
10. Every Time we’re together
11. The Betrayal (Act I)

 

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