Dethrone – State of Decay

Le 18 novembre 2020 posté par Metalfreak

Line-up sur cet Album


Kenni Öjebrandt - Basse / Simon Lundh - Batterie / Jonas Carlsson - Guitares / David Hartikainen - Guitares / Mattias Vestlund - Chant.

Style:

Death / Thrash metal

Date de sortie:

13 octobre 2020

Label:

Massacre Records

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Le retour des death / thrashers de Dethrone, à ne pas confondre avec les vétérans thrash Finlandais qui nous avaient sorti notamment un ébouriffant Let the Day Begin (1989, mais si, celui avec la pochette représentant une espèce de Jabba le Hutt du pauvre) et The Decay of a Man (1992).

Non, ce Dethrone là, c’est notre quatuor Suédois, celui qui a déjà sorti deux putains de bombes bien violentes Humanity (2013) et Incinerate all (2016), et qui revient avec un EP de quatre titres qui prouve qu’en seulement treize minutes, on peut mettre à mal les oreilles de n’importe quel fan de metal extrême !
Parce que, ok, il n’y a que quatre titres, mais quelles furies !

Là, les vétérans The Haunted ou At The Gates ont une sacrée concurrence : ces mecs ont tout compris en matière de brutalité et nous le font savoir : les titres sont d’une intensité rare (mentions spéciales à l’incroyable “Flesh Harvest”, suivi de l’énorme “Room 101”) et on se dit que le prochain full length risque de foutre un sacré boxon au niveau des cervicales des auditeurs tant on se prend un florilège de décibels grâce à des riffs ultra rapides, tranchants, sur lesquels le chant rageur et torturé de Mattias Vestlund fait de gros dégâts, le tout sous une section rythmiques des plus démoniaques !

En plus, quel son !
L’EP est produit par le groupe et enregistré par Dennis Åhman et Klas Blomgren dans les studios Shimmer, puis mixé et masterisé par Marko Tervonen (Studio MT) et ne souffre d’aucune faiblesse !
Au contraire, tout semble être fait pour que le fan du genre se prenne un pied des plus phénoménaux à l’écoute de ces quatre bombes atomiques qui sont autant d’armes de destruction massive : inutile de préciser que les dégâts seront considérables en concerts au vu des pogos que ces déflagrations sonores risquent de causer !
Mais quelles accélérations, mes aïeuls !

Bref, tout ça pour dire que, lorsque la musique est d’une telle qualité, treize minutes, c’est définitivement trop court !

Tracklist :

1. Divine Supremacy (4:32)
2. Revolt (3:41)
3. Flesh Harvest (2:27)
4. Room 101 (3:11)

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