Line-up sur cet Album


Guillaume Pihet - Batterie / Philippe Dandrimont - Basse / Charlie Fabert - Guitares / Gus Monsanto - Chant.

Style:

Hard rock

Date de sortie:

24 novembre 2016

Label:

Autoproduction

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10

Des albums comme ça, j’en redemande tous les jours ! Un tel renvoi d’influences toutes sorties tout droit du faste du rock des années 70 se doit d’être salué quand la qualité est à ce point au rendez-vous !

Deep Purple, Led Zeppelin, Cream, Ten Years After, Great White, AC/DC… pour un rendu lorgnant autour du hard rock classique des seventies, du rock sudiste, du blues (“Drugs and Pills”), un soupçon de jazz (flagrant sur l’instrumental “The Flash back – part I”), un rien de psyché et un tout petit zeste de progressif. Un vaste programme pour dix titres aussi variés que riches par quatre musiciens aussi chevronnés que talentueux : Charlie Fabert (guitariste de grands noms comme Fred Chapellier, Paul Cox, Kate Cassidy ou Janet Robin), Philippe Dandrimont (bassiste pour Chris Bergson et du Charlie Fabert Trio), ainsi que le batteur Guillaume Pihet (anciennement chez Aziz Sahmaoui & University of Gnawa)… Bref, du beau linge !

Le résultat ? Un premier album tout en mélodies, au feeling rarement aussi vibrant, magnifié par une production certes moderne mais qui retrace correctement un héritage de ces groupes légendaires précités. Et quand en prime on a un certain Gus Monsanto au chant, lui-même qui a posé ses lignes vocales sur les musiques d’Adagio, Revolution Renaissance ou Human Fortress, on comprend qu’on ne pouvait qu’avoir un album de grande qualité.

Et on a droit à tout ce que le rock a pu nous fournir de magnifique : de l’ambiance Floydienne (“Downward Slope”), du Led Zeppelin en veux-tu en voilà (le vitaminé “You can’t quit rock n’ roll”, “Time for Revelation” et son break très proche de celui de “Whole lotta Love”, “Holy Grail”), le magnifique et calme “Faith” qui se la joue Glenn Hughes, ou le très riche “Never came back home” nous proposant des belles parties de guitares, une section rythmique aux petits oignons et des chœurs féminins superbes.

On l’aura compris, Grand Media Blackout et son premier album éponyme auto-produit a tout de la réussite qui ravira les fans de classic rock qui aiment les retours aux sources.

Du grand art !

Tracklist :

1. You can’t quit Rock n’ Roll (4’19)
2. Drugs and Pills (5’35)
3. Time for Revelation (6’42)
4. Faith (6’07)
5. Never came back home (3’30)
6. Downward Slope (6’37)
7. The black Flask (Part 1) (2’07)
8. The black Flask (Part 2) (3’58)
9. I’m back (Crawling up again) (3’44)
10. Holy Grail (6’48)

Site officiel : http://www.gm-blackout.com/
Facebook : https://www.facebook.com/grandmediablackout/
Youtube : https://www.youtube.com/channel/UC_jo0tYvTMvL9PP0ItZF7jg

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1 Commentaire sur “Grand Media Blackout – Grand Media Blackout”

  1. pingback pingback:
    Posté: 1st Avr 2017 vers 1 h 00 min
    1
    Liens articles mars 2017 | Soil Chronicles

    […] Grand Media Blackout “s/t” : http://www.soilchronicles.fr/chroniques/grandmediablackout-1 Hellripper “Complete and total fucking mayhem” : […]

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