Photos + report : Metalfreak

« En rouge et noir, j’exilerai ma peur
J’irai plus haut que ces montagnes de douleur« 
Si on m’avait dit un jour que Jeanne Mas allait illustrer le live report d’un concert de black metal, je me serais posé des questions concernant la santé mentale de mon interlocuteur.

Photos + report : Manu Caron

Au Black Lab à Wasquehal, ce 25 juin, c’est soirée gros son avec du death metal brutal, mais mélodique quand même et beaucoup d’énergie.

Photos + report : Metalfreak

L’espace d’une soirée au Brin de Zinc, j’ai bien cru que Gérone était en Australie.
Hard Buds, c’est une formation Espagnole qui joue dans la cour des AC/DC, Airbourne ou Rose Tattoo avec un sens du rock des plus affutés.

Note du SoilChroniqueur (Jaymz) : 7,5/10

1996, Helsinki. quatre étudiants du Conservatoire, habiles violoncellistes, tout aussi fans de Mstislav Rostropovitch et Sergueï Prokofiev que de Metallica et Sepultura, se décident de sortir un album de reprises des Four Horsemen, uniquement aux violoncelles.

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 8/10

Salut les gens !
Une fois de plus, la Belgique s’affiche comme ayant une scène plutôt douée en ce qui concerne le metal multi facettes ou le post rock.
Après avoir chroniqué My Diligence et son « post-metal/ psych-metal/doom / shoegaze », me voici face à Cobra the Impaler, qui avec son nouvel album « Karma Colision », appuie un peu plus cette affirmation.

(Metalfreak)

Chaque semaine, une sélection des vidéos du moment vous est proposée : avec du lourd, de l’émergent, du surprenant, du connu, du pas connu… mais tous méritent le coup d’œil / oreille !
Alors soyez curieux, il se cache souvent des pépites insoupçonnées dans le lot.
Avec Wind Rose, Mother Of Millions, Death League, The Slugz, Amorphis (live), Vestige, Wolfheart, Enemy Inside, Thorium, Caliban, Jim Peterik & World Stage, Destruction (reprise Accept), Funeral, Occult Witches, Blüe Öyster Cult (live), Robse, Dream Evil, Illusions Play, Blind Guardian (live) et Metallica (live).

(Metalfreak)

Chaque semaine, une sélection des vidéos du moment vous est proposée : avec du lourd, de l’émergent, du surprenant, du connu, du pas connu… mais tous méritent le coup d’œil / oreille !
Alors soyez curieux, il se cache souvent des pépites insoupçonnées dans le lot.
Avec Floodfall, Ireful, Disbelief, Paralydium, Antéchaos, Blóð, Escuela Grind, Asenblut, Zeit, Misfortune, 1349, Elour, Vomit Forth, Mushroomhead, LeatherWolf, LizZard, Mordkaul, Avatarium, Stoneman et The Human Tornado.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

C’est décidément avec une grande régularité que le bourreau du travail Bruno Masulli nous envoie ces nouveaux albums ou singles, que ce soit avec Annihilationmancer, Power Beyond et bien sur In Aevum Agere… Et Signvm Erat et I Miti Eterni semblant être en repos depuis quelques années.
Pour suivre les aventures d’In Aevum Agere depuis 2012 et “The shadow tower” (la formation existant depuis 2004), il n’y a pas une sortie de ce projet que je ne loupe tant le doom metal classique et épique proposé reste définitivement ma came.

Note de la SoilChroniqueuse (Freya) : 9/10
Aaah, My Dying Bride !
C’est une grande histoire d’amour et de désespoir, bien entendu, entre nous. Une nostalgie mi-figue mi-raisin tout de même. Voici que le glas de la réalité sonne et me fais t’entraîner dans les souvenirs douloureux autant que voluptueux, je te rassure.
L’album de la découverte de cet univers unique, souvent imité, rarement égalé et certainement une des références du groupe, fut pour moi « The Angel and The Dark River » en 1995. Certes le gothic ne m’était pas inconnu, mais résonnait plutôt comme une ombre nébuleuse à côté de styles comme le thrash ou le death que je chérissais déjà beaucoup trop à l’époque.

Note du SoilChroniqueur (Yaiba) : 9,5/10

Lorsque j’ai découvert que The Omnific sortait un nouvel album, j’ai éprouvé une grande excitation. Ce groupe instrumental de metal progressif composé de deux bassistes et d’une batterie est loin d’être ordinaire.
Leur musique est caractérisée par une virtuosité exceptionnelle, avec les deux bassistes qui se font écho de manière harmonieuse, tandis que la batterie ajoute un toucher de percussion pour mettre en valeur les deux instruments. C’est comme si on avait créé un univers sonore où les sons s’entremêlaient pour former une toile complexe et riche.