Note du chroniqueur (Gibet) : 6,5/10.
J’ai en Sainte Horreur l’expression insupportable « Support your local scene », mise en avant par les promoteurs de groupe au succès réduit (bien qu’il puisse s’agir des membres eux-mêmes du groupe), et ce pour deux raisons : la première est qu’elle cantonne un groupe à sa popularité, fut-elle futile, ce qui n’a pas beaucoup d’intérêt parce que les groupes aspirent tous, si tant est qu’ils fassent des lives, à jouer de partout.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10.
On a là un ramassis de clichés mais, parfois, cela a du bon. Ainsi est Wolven degrade, deuxième album des Canadiens de The Black Sorcery : logo illisible, pochette crayonnée du plus bel effet, illustration traditionnelle d’une jeune femme à la poitrine généreuse prise de force, sans doute sodomisée bien sûr, par une Bête à la musculature saillante, une pleine lune en arrière-plan, rien que là on se demande si ça vaut quand même la peine d’écouter le disque.
Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10.
Il est vrai que Doro est la reine du Metal mais elle a désormais de belles concurrentes ! Depuis la première chanteuse de Battle Beast : Nitte (puis Noora en 2012 à ce jour), j’avais retiré sa couronne à Doro… Puis le troisième âge, ça se périme au bout d’un moment, il faut céder les emplois aux jeunes (je sens que je vais me faire détester par tous les papys).
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10.
On va faire court : un live de Volbeat, tel que celui là, vaut son pesant de cacahuètes !
Clairement, ce double live fait partie des belles productions qu’on peut s’écouter sans discontinuer pour peu qu’on aime ce groupe.
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 10/10.
J’avais choisi de traiter du Legacy de Orion Dust un peu par hasard, en piochant parmi la multitude d’albums que Soil Chronicles reçoit chaque mois et que nous sommes nombreux à essayer de nous répartir au maximum pour les chroniquer.
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 9/10.
La vie est une perpétuelle source d’humour noir… Jason Becker doit lui-même rire jaune : un des grands guitar heroes qui se retrouve affublé d’une maladie limite aptonyme, le syndrome de Becker, une sorte de sclérose qui vous paralyse tant les fonctions musculaires que neurales… Ain’t it ironic ?
Note du SoilChroniqueur (Ström) : 7/10.
Le Black Metal est à mon sens un des genres musicaux les plus individualistes, en atteste la quantité énorme de one-man-bands dans le style, le besoin de mentionner le caractère solitaire et presque onaniste de certaines créations provenant sans doute de l’attente de l’auditeur vis-à-vis de tout ce qui découle du rock et de ses trios et quatuors mythiques qui habitent notre mémoire.
Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8.5/10.
Dur dur de chroniquer le nouvel album de Battle Beast et celui de Beast in Black. On sent cette rude concurrence entre les deux alors qu’ils partagent le mêmes fans et public ! La crainte était que les deux groupes soient vraiment en guerre permanente de “qui a la plus grosse”.
