Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8.5/10

Oh seigneur Satan, qu’est ce qui se passe dans le monde du metal ? Quel virus de mutation a piqué Skálmöld pour changer de style de cette façon, pour passer du pur folk à du death melo (et parfois death prog) à la suédoise (« Múspell », « Niflheimur », « Niðavellir »), avec un chant imposant qui ressort terriblement (et surtout horriblement) au point de masquer ces magnifiques mélodies ?

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10

Allez, celui-là c’est pour l’amour de l’art. Il ne serait pas sorti cette année, je me le serais gardé au chaud sous le coude pour les soirées d’hiver à picoler un alcool quelconque mais bon, que sont quelques lignes pour, peut-être, vous faire connaître Brutally Deceased dont le nom et celui de son troisième album, « Satanic Corpse » sont bien trompeurs.

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 7.5/10

Salut-cifer, ici-mériès… C’est sur ce calembour foireux que débutera la chronique de Tandis que les parjures se meurent par Ave Tenebrae.

Comme on peut aisément s’en douter, le groupe du Val d’Oise, formé en 1998, disparu en 2000 et reparu en 2008, propose un deuxième album – après Les chants de Mnemosyne en 2013 – qui fait dans le Black Metal old school, typé Scandinavie, avec une arrière trame de Death et Dark,

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 7/10

Alors que j’étais en train de mettre en bouche une Chuppa, je me chuis rappelé *chip chip* « Mais au fait, faut que je chronique le dernier – en fait premier – album de Shvpes ! » intitulé Pain, Joy, Ekchtajy, Dechpair qui chuit un EP, Je Prochecutor.

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 8/10

Une vague de froid s’abat sur la France, comment se réchauffer ?
L’électricité trop cher.
Le gaz… Merde, en campagne, GDF passe pas.
Le bois, il aurait fallu penser à en faire venir… Pis j’ai peur du Père Noël, alors j’ai pas de cheminé.
Comment faire alors ?

Le glam !!! La voilà l’idée quelle est bonne !

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 8/10

Remontons donc la lande pour essayer de trouver le repère du Dahu. Vous connaissez surement cet animal légendaire : il serait issu du croisement entre un renard et un chevreuil mais il y a bien longtemps. Se nourrissant de bruyères et de baies de lande, il vit entre la Pointe-du-Raz et celle de Pen Hir… On peut voir ses traces sur les sentiers, reconnaissables entre mille autres, un sentier à deux niveaux car ses pattes gauches sont plus longues que celles de droites. Vous avez sans doute déjà rencontré ces marques sur les sentiers ?

Note de la Soilchroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10

Tranzat s’écoute de préférence sur un transat mais si vous n’en avez pas, un lit fera bien l’affaire. De toute façon, vous ne tiendrez que le temps de « Into the wood » avant que « Sumuggler Joe » ne vous excite par ses moments énervés et d’autres plus heavy rock puis vous calme par ses passages doomeux. Vous ne supporterez pas longtemps la position statique !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Quand j’étais petit, quand je demandais à mon paternel la définition d’un mot que je ne connaissais pas, il me disait de regarder dans le dictionnaire.
Était-ce par méconnaissance du sujet ou parce qu’il voulait que j’apprenne à chercher par moi-même ? D’un naturel optimiste, je continue de penser qu’il s’agissait de la deuxième option.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Parmi la multitude d’albums à chroniquer qui gravitent par notre webzine, il y a ceux qui sont des surprises agréables et ceux que, définitivement, on n’a pas envie de chroniquer tout simplement parce qu’au bout de deux écoutes successives, on n’arrive pas à rentrer dedans ou à aimer ce qu’on entend… Le premier EP de Verwoed s’inscrit dans la première catégorie.

Note de la SoilChroniqueuse (Excalibur) : 9.5/10

Certains albums sont juste là pour nous faire du bien. C’est l’une des nombreuses vertus du nouvel album acoustique d’Eric Johnson, sobrement intitulé EJ.