Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg): 8/10

Oden Ogan propose à la distribution son best of intitulé The Book of Ogan, recensant les 14 meilleurs titres choisis par le groupe et ses fans dans la discographie du groupe s’étendant de 2008 à 2015. Ma préférence va évidemment pour l’épique et tubesque « We are Pirates ! »

Jusque là, vous allez me dire : « Mais quel est l’intérêt de chroniquer un best of ? Rien de neuf, si ce n’est ce qu’on connait déjà… Si le groupe a jugé que ses meilleurs compos étaient sur ce skeud, pas la peine d’en dire plus : c’est le principe d’un « meilleur de » !» Certes… mais ce n’est pas qu’un simple best of, puisque présenté en coffret double CD et double DVD.

Note du SoilChroniqueur (Erikillmister) : 5/10

Aux dernières nouvelles, Rage n’était plus composé que du seul Peavy Wagner(membre fondateur), V.Smolsky (guitare) et A.Hilger ayant décidé de jeter l’éponge. Ce bon P.Wagner en ayant vu d’autres tout au long de la longue carrière du groupe allemand, décide alors de s’entourer de nouveaux camarades de jeu, respectivement Marco Rodriguez à la six cordes et Lucky Maniastopoulos au poste de cogneur. Pour bien montrer que Rage n’est pas mort, le bassiste/chanteur enregistre un EP quatre titres avec cette formation pour, selon ses dires, nous faire patienter jusqu’à l’album qui ne manquera pas de suivre sous peu.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Si on n’est jamais tout à fait d’accord sur la definition exacte du all-star band, on peut malgré tout dire que le line up de Reverenceest pour le moins composé de musiciens plus qu’aguerris !
Voyez plutôt : Todd Michael Hall (Riot V, Jack Starr’s Burning Starr) au chant, Bryan Holland(Tokyo Blade, Arrest) et Pete Rossi(Overland, Sanxtion) aux guitares, Steve ‘Doc Killdrums’ Wacholz (Savatage, Crimson Glory) à la batterie et Michael Massie(Overloaded, Inner Recipe) à la basse.

Note du SoilChroniqueur (Valquest) : 8/10

Sortez vos fioles d’eau bénite et vos pistolets d’argent ! Les « Werevolves of Armenia » sont de retour, prêts à dévorer une nouvelle fois l’univers du Power Metal. Le groupe n’a cessé de croître en popularité au fil de ses albums avec un Power teinté de chœurs symphoniques qui donnent ce côté « prières » aux morceaux leur permettant de se démarquer dans le style où ils opèrent. Une chose est sûre, ce n’est pas cet album qui dérogera a la règle.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

Blackwelder, formé en 2012, se présente comme ce qu’on appelle, au vu du line up, un ‘super groupe’.
C’est vrai qu’en y regardant de plus près, ça a de quoi faire saliver : Bjorn Englen (Hellion, Dio Disciples, ex-Quiet Riot, ex-Yngwie J. Malmsteen entre autres) à la basse, Aquiles Priester (Hangar, Midas Fate, Primal Fear, ex-Angra, ex-Paul Di’Anno…) à la batterie, Andrew Szucs (Seven Seraphim) à la guitare et non moins que Ralf Sheepers (Primal Fear, ex-Gamma Ray…) au chant !
Il y a en effet de quoi s’attendre à quelque chose de plutôt sympathique.

Note du SoilChroniqueuse (Bloodybarbie) : 8/10

Cela remonte à deux ans quand j’ai vu ce groupe sur scène pour la première fois, en première partie de Sonata Arctica à Lyon, et leur prestation était impressionnante et époustouflante ! Leur gros atout: la voix heavy metal féminine très puissante et unique de Noora Louhimo (la chanteuse actuelle). Du point de vue compositions, ils marquent un gros point: il est clair qu’elles sont reconnaissables parmi des millions et cachetées Battle Beast, grâce à leurs riffs entraînants et refrains mémorables. Ils n’ont pourtant sorti que deux albums jusqu’à présent: Steel en 2012 et Battle Beast en 2013, mais si jamais en lancez un, vous ne le lâcherez que lorsque vous l’aurez usé.

Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Fallait oser : décrire le genre pratiqué par ces quatre gai lurons de Nuremberg comme étant du « happy metal » ne relèvera pas cette fois ci d’une envie traditionnelle intrinsèquement rébarbative consistant à classer chaque groupe dans un tiroir musical différent, chose si chère à nos sempiternels chercheurs de repères, mais là, il faut bien se rendre à l’évidence, définir ce qu’on entend pendant 64 minutes comme du simple power metal semble presque réducteur, même si l’affubler en plus de « speed » ou de « heavy » eût une quelconque tendance à préciser un tantinet l’orientation musicale de l’œuvre.

Note du Soilchroniqueur (Metalfreak) : 7.5 /10

Le moins que l’on puisse dire, si on aime les américains de Exxplorer, quintet à la base, quatuor désormais, c’est qu’il faut savoir être patient et optimiste.
Forts d’un excellent « Symphonies of steel » à la pochette originelle fabuleuse en 1984, sorti initialement chez Black Dragon Records, label qui nous avait offert entre autres du Manilla Road, Savage Grace, Heir Apparent, Steel Vengeance ou le cultissime « Epicus Doomicus Metallicus » de Candlemass, il aura fallu attendre dix ans pour voir le suivant « A recipe of power » sortir dans un quasi anonymat ; deux ans plus tard, en 1996, sortait le « Coldblackugly » relativement inconnu par chez nous.